Appel : Marche citoyenne pour Aguel-hock, Kidal, Konna, Nampala: soutien aux FAMAS et à leurs frères d’armes de la MINUSMA et de Serval”

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A l’occasion du 20 janvier, jour anniversaire de la fondation de l’armée malienne,

Nous jeunes, membres de l’Association “Éveil-Mali”, invitons les Maliens, nos frères Africains et les Amis du Mali, à une marche citoyenne pour rendre hommage aux militaires maliens morts pour la patrie à Aguel-hock( 24 janvier 2012), Korma ( 9-10 janvier 2013),

Kidal (17 et 21 mai 2014) et Nampala (5 janvier 2015).

Ensemble saluons la mémoire du capitaine Sékou Traoré commandant de la garnison d’Aguel-hock (Janvier 2012) du colonel Fayçal Ag Kiba commandant des troupes à Kidal ( 21 mai) et de tous les soldats tombés sur le champ d’honneur pour défendre le Mali à Konna, à Nampala, à.Aguel-hock etc ….

Par la même occasion, rendons hommage à leurs frères d’armes Béninois, Burkinabés, Français, Nigériens, Sénégalais, Tchadiens et Togolais morts pour la liberté et la sécurité du Mali et des Maliens.

C’est un rassemblement de recueillement, de souvenir, de solidarité vis à vis des forces qui veillent sur notre pays, sur notre sécurité et notre liberté.

“Nous sommes Aguel-hock! Nous sommes Korma! Nous sommes Kidal! Nous sommesNampala!”

Tous à la marche citoyenne du 24 janvier à 9h. Regroupement au croisement de la route de Koulikoro et de l’Avenue de l’Armée.

Pour tout contact:

Email: [email protected].

Tel: 76 16 34 06

Président: Mohamed Cherif COULIBALY

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5 COMMENTAIRES


  1. Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a confirmé les informations de Radio France International selon qui une dizaine d’« anciens » militaires français combat actuellement aux côtés des jihadistes. Il a en outre précisé qu’il s’agissait là de cas extrêmement rares.

    Dans ce cas comme dans les précédents, tous les « anciens » militaires français impliqués aux côtés des jihadistes étant soit des légionnaires, soit des membres de la DGSE, le ministre aurait pu diligenter une enquête administrative sur le recrutement de jihadistes au sein de ces deux unités. Il n’en a rien fait.

    Pour notre part, nous confirmons que ces « anciens » militaires n’obéissent plus au ministère de la Défense, mais sont en mission de l’Élysée, à la demande expresse du général Benoît Puga, chef d’état-major du président de la République (photo).

    Déjà, en février 2012, 19 militaires français avaient été arrêtés en Syrie alors qu’ils encadraient les jihadistes de l’« Armée syrienne libre » [1]. Ils avaient été relâchés en deux fois dans le cadre d’un accord politique conclu avec le président Sarkozy lors de la libération de Baba Amr où la France avait installé un Émirat islamique. Venu accueillir lui-même à la frontière syro-libanaise les premiers prisonniers relâchés, l’amiral Édouard Guillaud, chef d’état-major des armées françaises, avait prétendu qu’il s’agissait d’« anciens » légionnaires. Cependant, le matériel de communication Otan dont ils disposaient lors de leur arrestation ainsi que les honneurs qui leur furent rendus par l’amiral attestent qu’il n’en était rien.

    En janvier 2014, la France et la Turquie avaient armé al-Qaïda pour attaquer l’Émirat islamique en Irak et au Levant (ÉIIL), ainsi que l’atteste un document présenté par l’ambassadeur de Syrie à l’Onu et dont l’ambassadeur de France Gérard Araud n’a pas contesté l’authenticité [2]. Il s’agissait alors d’empêcher le plan états-unien de création d’un Kurdistan indépendant en Irak et au Nord de la Syrie. Mais à la suite d’un accord avec les États-Unis, en mai 2014, la France cessait les hostilités contre l’ÉIIL et envoyait un encadrement militaire. En juin 2014, l’ÉIIL devint l’Émirat islamique (Daesh), proclama le califat et nettoya ethniquement une partie de l’Irak. Durant les bombardements de la Coalition anti-Daesh, Paris et Washington veillaient à repousser les islamistes sur la ligne qui leur avait été attribuée (plan Wright), sans leur infliger de perte substantielle. Quoi qu’il en soit, en novembre 2014, les États-Unis profitaient de cette opération pour éliminer David Drugeon, que la presse états-unienne présentait avec insistance comme un officier de la DGSE incorporé au sein d’al-Qaïda [3].

    Les derniers anciens militaires français tués lors de combats contre l’armée de la République arabe syrienne l’ont été en avril 2014, alors qu’ils attaquaient le village chrétien de Sadniyé à la tête d’éléments d’al-Qaïda. Une dizaine de corps avaient été retrouvés portant chacun notamment un drapeau français tatoué à l’épaule.

  2. J’aime ça pas seulement Bamako partout au Mali moi je suis hors du pays mais mon cœur est avec vous mes frères et sœurs. Notre pays ne restera pas divisé par ces bandis terroristes les faux musulmans . Vive le maliba .

  3. Bravo pour cet esprit de patriotisme de la part de l’association Eveill-Mali. Tres patriotique Votre action tout en esperant que d’autres suivront et prendrons l’exemple sur votre action.

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