Contribution : Fichez nous la paix. Fichez la paix à l’Honorable Mamadou DIARRASSOUBA.

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Je l’avoue, j’ai déserté il y ‘a un certain temps, les réseaux sociaux quand j’ai constaté les multiples dérives dues à des personnes d’éducation légère. C’est dire, que je ne suis pas un fan de la dernière trouvaille de cette « partie dégénérescente » de notre jeunesse, à savoir les attaques et les insultes de tout bord et à visage découvert des leaders religieux, politiques et coutumiers de notre pays sur cet excellent outil de communication que constituent les réseaux sociaux. Si ces petits délinquants se limitaient aux réseaux sociaux, cela pouvait passer, pour qui connait le nombre de nos compatriotes ayant accès à ces canaux de communication. Mais de plus en plus, les radios sont mises à contribution pour quelques heures gracieusement payées. Et, cela au vu et au su de tout le monde, sans qu’aucune autorité ne lève le petit doigt, même pas les organes chargés de la régulation. Dès lors que le Président de la République, les Chefs des Institutions, les Ministres sont calomniés, vilipendés à longueur de journée sans discontinuer et cela depuis plus de quatre années sans arrêt, sans réactions, ces obscurs clasheurs se sont cru sur un boulevard. No limit donc.

Dans leur volonté de nuire aux symboles et aux références de notre pays, ils font feu de tout bois, et chaque jour qui passe, c’est à qui le tour pour être insulté, trainé dans la boue parce que simplement occupant un poste ou jouant un rôle social valorisant à leurs yeux. Il leur faut, chaque jour que Dieu fait leur dose de personnes à détruire, à salir.

Ces nouveaux autoproclamés censeurs de notre société ont tous curieusement eux-mêmes le pantalon largement troué. Ne leur demandez surtout pas ça, ils « l’ignorent ». Qu’il a alors raison et trois fois raison, Jean de la FONTAINE quand il disait dans la besace :

« …Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes :

On se voit d’un autre œil qu’on ne voit son prochain. Le Fabricateur souverain, nous créa Besaciers, tous de même manière, tant ceux du temps passé que du temps d’aujourd’hui : Il fit pour nos défauts la poche de derrière, et celle de devant pour les défauts d’autrui ».

« L’Education, disait Albert Brie, Sociologue, est ce qui manque à l’ignorant pour reconnaître qu’il ne sait rien ». Et, assurément, c’est l’éducation qui manque le plus à ses tristounets apprentis moralisateurs.

Tenez, au moment où les Goliath, des réseaux sociaux faisaient de la pose de la première pierre de la route de tamani, leur choux gras, un de leur géniteur et idéologue, achevait le revêtement en bitume du tronçon reliant sa maison au petit goudron de kalanbacoro !

Que dire des dernières sorties contre les Zoumana N’Tji DOUMBIA, Blaise et tant d’autres dont le seul tort est simplement d’être ressortissants d’une localité dont les populations sont fières des fleurons qu’ils sont . Leur fidélité sans faille dans l’accompagnement du Président de la République, leur engagement pour la cause de leur contrée et du pays sont connus de tous et le respect que leur vouent leurs frères et sœurs est de notoriété publique. Honorable Zoumana N’Tji DOUMBIA est rentré par la grande porte dans l’histoire de notre pays, par sa capacité de travail, sa compétence, son sens de l’écoute et l’humilité dont il a fait preuve tout le long du processus législatif ayant abouti au vote par l’Assemblée Nationale du projet portant révision de la Constitution de 1992. On comprend donc que les jeunes de Bougouni puissent, debout comme un seul homme empêcher un pseudo agitateur de venir raconter des inepties sur leur frère bien aimé.

Que retenir aussi de cette volonté de salir et de nuire à l’honorable Mamadou DIARRASSOUBA, un homme au-dessus de tout soupçon. Respectable, travailleur, humble, serviable, uniquement dédié à la cause du projet que lui et certains de ses amis ont nourri, il y’a de cela une quinzaine d’années. Le projet de créer autour de la personne d’Ibrahim Boubacar KEITA, alors qu’on le croyait à jamais enterré politiquement, un courant empreint d’humanisme et porteur des valeurs positives de notre peuple. Ce projet, dont il est l’un des premiers leaders, parce que faisant partie des 23 députés qui ont pris le risque historique de démissionner de leur Parti a été couronné de succès avec l’élection du Président Ibrahim Boubacar KEITA à la magistrature suprême. Qui sait ce qu’il a fallu comme sacrifices à des hommes et femmes comme Mamadou DIARRASSOUBA, les défunts Kadari BAMBA, Hamoro DIARRA, Boubou KOITA, Bakari KONE, et autres Bafotigui DIALLO afin qu’aujourd’hui soit.

Infatigable et homme de terrain, le rassembleur Mamadou DIARRASSOUBA n’a de cesse dès lors de sillonner le pays profond pour renforcer son parti et pour prêcher l’entente et la paix, les deux mamelles de la réussite du  programme présidentiel pour l’honneur du Mali et le bonheur des Maliens.

Ce n’est pas qu’à Diola, l’aura politique de Mamadou DIARRASSOUBA est aujourd’hui telle que s’il le veut, il peut empêcher  ces « petites gens » des temps nouveaux d’aller faire des diatribes, dans n’importe quelle contrée de notre pays. Mais cela, cet homme de foi et de conviction ne le fera jamais, parce que lui son combat est ailleurs. Œuvrer pour la réussite de ce premier mandat du Président Ibrahim B KEITA et le faire triompher dès le premier tour, plaise à Dieu en 2018.

Tel est le combat de l’enfant du Mali, né à Massigui, il y’a juste plus d’une cinquantaine d’années. Qu’il soit moniteur de jardin d’enfants ou Professeur à l’université de Haward, qu’il soit né en 1770, nous importe peu, le complexe du diplôme qui n’est qu’un parchemin, dixit Ibrahim B. KEITA ne hante que les personnes de modeste ambition.

Vous pouvez continuer vos sales besoins, mais jusqu’à quand ? Sachez-le, rien n’arrêtera la marche de cette nation bénie de Dieu, rien ne freinera l’élan de Mamadou DIARRASSOUBA, dans sa quête d’un second mandat pour le Président Ibrahim B KEITA. En Dieu, Diarass pour les intimes croit. Et, en cela, il rappelle le sage  Bouddha qui disait :

“J’appelle sage celui qui, tout innocent qu’il est, supporte les injures et les coups avec une patience égale à sa force.”

 

Tiefing SARRE

Sociologue

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