CAP centre commercial : Mme Traoré Minata se fait hara-kiri

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Après avoir glané des infos par-ci et par-là, en tant que professionnel des médias, le journal de la vérité “Le Zénith Balé” s’est déployé pour connaître la version de la dame. Du rendez-vous accordé, elle fut déroutée….
Qu’à cela ne tienne, notre objectif n’est pas de nuire, il s’agit d’informer, d’éduquer, de conscientiser, etc. pour un changement de comportement. Pour l’amélioration pédagogique, l’école est la base du développement. Elle ne mérite pas certains responsables sinon ce CAP a connu des grands noms, nous citons le président Alpha Oumar Konaré entre autres.
En effet, Mme Traoré qui se croit le centre du monde découvrira qu’elle n’est qu’un pauvre individu. D’une carence à faire dormir, elle veut la couvrir par des agissements inacceptables. Comment, une femme peut se permettre d’insulter des hommes sur du faux, leur raison ?
En effet, après la sortie du premier article l’incriminant, elle n’a pu rien faire que convoquer des Directeurs d’écoles. Savez-vous dans quel dessein ? Qu’ils sont partis donner des informations compromettantes à la presse. Pourtant, soutient-elle, selon nos sources, nous avons tous mangé ensemble. Et certains de la mettre au défi : “Madame, si vous n’avez rien à dire, il ne faut plus nous appeler pour des balivernes. Nous n’avons pas ce temps. Si vous bouffez même demain, si les journalistes l’apprennent, ils vont écrire. Vous savez très bien comment vous avez été nommée ici…”. Après les Directeurs, le tour est venu à ses collaborateurs notamment ses collaboratrices directes. Déçues toutes par ses agissements, l’une très énervée, est sortie en train de bourdonner : “Cette dame est une peste. Elle nous dérange. Quel est le journaliste que nous connaissons pour aller rapporter. Mais, c’est clair, si ça ne va pas, ça se dit. Et
les journalistes ont le droit et le devoir d’informer, de critiquer pour que les choses changent. C’est bien fait. Car, déjà avec cet article, elle est en train de mettre de l’eau dans son vin. Cette femme en voyant son mari très sérieux et très respectueux, elle surprend. Elle nous dérange, elle ne connaît que maraboutage et fétichisme. Sinon, le travail, c’est le dernier de ses soucis. C’est Kamissoko (conseiller à l’orientation) et Singaré (son adjoint) qui font tout le travail. Souvent, pour même une simple signature, il faut amener tous les documents jusque chez elle…”. Très en colère, de nombreuses femmes cherchent à quitter le CAP CC.
En outre, qu’elle sache que les premiers coups de fil de félicitation sont venus du département de l’éducation. Pire, toutes et tous ses collègues se sont procurés du journal. Les uns nous ont directement félicités, les autres par personne interposée. Et puis, s’en est suivie une pléiade d’infos. Alors, Mme Traoré, en avant.
Après deux intérimaires dans ce même CAP CC, la dame y dépose sa valise en 2010-2011 comme Directrice. Sans stratégie ni méthode, celle qui avait amené son neveu voleur (ce dernier volait les ordinateurs du CAP et les vendait à vil prix), certainement avec sa complicité. Sinon, lorsque le gardien attrape quelqu’un qui vole une fois, deux fois,… rien ne se dit et ne se fait, il y a donc en guiche roche.
Nous le disons et le soutenons, qu’advienne. La femme est le pilier de la Nation. Elle mérite alors respect et considération. Mais, de plus en plus, certaines comme Mme Traoré Minata Coulibaly se jettent en pâture. Elle veut s’enrichir par tous les moyens, même impropres.
En effet, Mme Traoré Minata Coulibaly, Directrice du Centre d’Animation Pédagogique du Centre Commercial (CAP-CC) a son nom dans toutes les malversations et mauvaises gestions. De faux et usage de faux, elle fait tout pour se satisfaire. La preuve, bientôt le moment des transferts. Elle exige le payement de frais pour cela. Souvent, avec la complicité de certains Directeurs d’école. Le drame, l’argent n’est jamais utilisé à bon escient mais à subvenir aux besoins d’elle seule. Sinon, la preuve, les toilettes et les toitures du CAP laissent à désirer. Même son propre domicile appartenant à l’Etat est très mal entretenu car elle est en train de construire des villas.
Concernant les mutations anormales et arbitraires, A. K dit ceci : “Lorsque j’ai demandé une mutation afin d’être plus proche de mon domicile, la dame m’a tout simplement dit que rien ne se fait plus gratuitement. Croyant à de la blague, je suis resté. J’ai été surpris de ne pas voir mon nom dans les mutations. Finalement, c’est un ami qui m’a conseillé de passer par une tierce personne avec un dessous de table pour régler ma situation. Je l’ai fait, malgré moi.”
Pour la correction, pourquoi ce retraité de Koulouba s’est retrouvé dans la correction ? Pourquoi ce professeur de physique-chimie s’est retrouvé dans la correction de la littérature ?
C’est simple comme l’eau de roche, ils ont glissé quelques billets de banque pour Mme Traoré. Et ce jeune professeur de langue, pourquoi elle ne s’entend jamais avec la Dame ? Il tient toujours le langage de la vérité à qui veut l’entendre. Alors, Madame est en train de le détruire, il n’a jamais bonne note dans les notations. Son Directeur est presque un rat du domicile de la Dame.
Au moment où les plus hautes autorités s’activent à mettre les femmes dans leur assiette, les rares qui occupent des postes de responsabilité ont mauvaise presse. Elles volent, détournent, pillent les deniers publics pour rien qu’assouvir leur seul désir. Alors, il faut beaucoup réfléchir, sinon Mme Traoré Minata Coulibaly enterre les ambitions des autres femmes par ses agissements peu orthodoxes. A suivre donc !
Ousmane COULIBALY

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