Coulibaly Awa Kéita en prison à Bollé : Dieu donne raison à Ciwara infos

    1

    Selon des informations disparates que nous avons pu glaner, Mme Coulibaly Awa Kéita troisième adjointe à Oumar Guindo (maire de la Commune rurale de Djalakorodji) a été mise en cellule le 3 avril 2015 au centre de détention de Bollé sis à Banankabougou à cause d’une sale affaire. Cette femme qui a troqué son foyer contre l’arène politique au point de se mesurer aux hommes a pris du plaisir à signer à la place du maire principal les actes de notification des lots à vendre.

    Ainsi, deux principales sources (l’une proche du quartier de Kognoumani où réside l’intéressée et l’autre provenant du milieu carcéral) ont été rapportées pour expliquer les causes de l’emprisonnement d’Awa Kéita. L’une raconte qu’elle aurait morcelé puis vendu un titre foncier (TF) appartenant à un opérateur économique domicilié en Commune I. L’autre laisse entendre qu’elle n’aurait pas pu restituer une dette contractée auprès d’une de ses connaissances. À signaler que les impératifs liés au bouclage de cette parution ont fait que notre rédaction n’a pas eu le temps de recouper ces différentes informations.

    La seule certitude qui demeure c’est que Mme Coulibaly Awa Kéita, la dame à la langue bien pendue, est désormais l’heureuse gagnante d’un séjour privé au centre pénitentiaire de Bollé. Pendant ce temps, son entourage qui est à son image, dissimule ce fait aux curieux qui tentent de s’enquérir de ses nouvelles. «Actuellement Awa est en déplacement», argue-t-il. Mais où? Honte aux menteurs!

    On ne récolte que ce qu’on a semé. Celle qui n’a cessé de faire des vermoulures à Djalakorodji tout comme à Kognoumani commence à essuyer les conséquences de ses propres actes. Mais dans tout ça, où se trouve le député Souleymane Soumano qui serait le complice de la vermine de Djalakorodji? Si l’amitié qui le lie à Mme Coulibaly Awa Kéita est sincère, il doit mettre ses relations à contribution pour la désembourber. Car selon des sources crédibles, la partie plaignante exige le paiement de la moitié de l’argent prêté comme préalable à la mise en liberté provisoire d’Awa, la scandaleuse opératrice foncière. Le hic c’est que cette somme est loin d’être réunie. Va-t-on organiser des quêtes?

    Par ailleurs, à noter que Awa Kéita militante du RPM, le parti au pouvoir, est également soupçonnée d’avoir morcelé et vendu à Kognoumani des espaces devant abriter la mosquée, le marché et d’autres équipements collectifs indispensables pour le quartier. Pire, un jour, elle et ses compères auraient dit haut et fort lors d’une réunion qu’ils (eux) sont venus à la mairie pour avoir leur part. Awa quand même vient d’avoir une grosse part qu’elle a cherchée à coups d’immenses efforts.

    Enfin, on apprend que le parti du président IBK (qui selon Tiéblé Dramé président du PARENA a transformé le Mali en royaume d’impunité) entreprendra tout pour obtenir la liberté provisoire de Mme Coulibaly Awa Kéita. Si cela est fait sans que la victime ne soit mise dans ses doits, à l’unisson, on s’exclamera ‘’ Bravo au RPM’’. Il est vraiment utile de souligner que le président de cette formation politique a déçu ses électeurs en faisant aujourd’hui le contraire de ce qu’il avait promis hier pendant la campagne présidentielle.

    À suivre…

    Oumar BAH

     

    Ciwara Infos pris à partie

    Awa Kéita a-t-elle des cornes sur la tête?

    La vermine qui fait des ravages dans la Commune rurale de Djalakorodji pour des fins politiques vient de franchir l’infranchissable. En effet, au lendemain de notre article intitulé : «Embrasement avorté à Djalakorodji- Les opposants au maire Guindo cloués au pilori !» paru, le jeudi 12 mars 2015, Mme Coulibaly Awa Kéita a eu le culot d’intimider par appel téléphonique notre journaliste. Mieux, elle s’est même offert le luxe de l’insulter. Cette vilaine amazone et de surcroit d’époque révolue a, du coup, fait réveiller un gros félin qui s’était embusqué dans l’attente d’une proie. Lire notre réaction.

    Celle qui sème le vent récolte forcément la tempête. Mme Coulibaly Awa Kéita, troisième adjointe à Oumar Guindo maire de la Commune rurale de Djalakorodji a cherché des crosses à Ciwara Infos et elle les aura pleines dans ses mains. En effet, dans notre article cité plus haut, nous avons donné les noms des personnes qui seraient des opposants au maire Guindo. Nous avons été précautionneux en indiquant bien qu’il s’agirait (au conditionnel) principalement de Lassine Traoré, d’Alou Coulibaly, de Salah Sidi Koné, d’Abdoul Konaté, de Seriba Diarra et de Mme Coulibaly Awa Keita.

    Selon notre article inspiré des propos tenus au cours de l’assemblée générale le vendredi 29 novembre 2014 à la mairie de ladite localité, ces personnes seraient de véritables obstacles à la mise en œuvre de toute politique de développement élaborée par le maire. Notre publication est donc un récit des faits constatés sur le terrain. Les cinq hommes cités dans notre article se sont tus. Mais une et seule veillotte femme a réagi comme une vipère prête à injecter son venin. Mme Coulibaly Awa Keita puisqu’il s’agit bien d’elle, loin de saisir une juridiction si elle estime ses droits individuels lésés ou de faire parvenir un droit de réponse à notre rédaction en guise de ses mises au point, s’est considérée comme le centre gravitationnel du globe terrestre. Elle a cherché et trouvé le numéro du téléphone portable de notre journaliste qui a signé l’article, avant de se mettre à l’insulter.

    «E tié ni nan figi nin jan», a-t-elle dit en langue nationale Bambara. Autrement dit : «Toi, le gamin rapporteur à la langue effilée». Avant d’ajouter : «Nbèta ni yé tribunali la». Je te traduirai au tribunal. La dame de fer croyant avoir le monopole de la violence verbale n’a donné aucun temps pour que notre journaliste puisse s’expliquer poliment. Elle n’a cessé de tenir des insanités et des incivilités dignes de son trait caractéristique.

    Cependant, Awa a eu une grande chance dans ce bras de fer avec nous. En fait, nous avons reçu une éducation parentale qui est à l’antipode de la sienne. Qu’elle sache qu’une femme a beau se travestir, elle ne deviendra jamais un homme. Alors pourquoi incarne-t-elle le Satan dans la Commune rurale de Djalakorodji? La lady Awa a intérêt à se raviser. Elle doit se renseigner sur Ciwara Infos qui ne recule devant personne car ses informations proviennent des sources dignes de foi. Ce journal a déjà défié des gens dont les chevilles sont plus longues que sa taille. Elle ne représente même pas une mouche à nos yeux à fortiori de nous susciter la moindre crainte. Qu’Awa et ses ouailles aillent au diable !

    Par ailleurs, gare aux confrères qui, pour des considérations quelconques, s’avisent de s’immiscer dans cette affaire. Ces derniers, nous le savons bien, ont l’habitude d’écrire sur des gens qui sont aussi les parents des autres. Quant à Ciwara Infos respectant ‘’le principe de la confraternité’’ qui est en quelque sorte ‘’un pacte de non agression’’ il ne s’est jamais immiscé dans quoi que ce soit. Il se respecte et se fait respecter.

    En conséquence, ni Awa (la dame de plastic de Djalakorodji) ni personne ne peut nous empêcher de faire notre travail. Loisible à nos détracteurs de nous minimiser et de poursuivre leurs sales besognes qui font honte à eux-mêmes. Nous n’avons pas d’ordre à donner. Mais si nous sommes ciblés par qui que ce soit, notre riposte qui a toujours servi de leçon en la matière sera encore virulente. À bon entendeur, salut!

    La Rédaction

    Commentaires via Facebook :

    1 commentaire

    1. beau travail les gas ces vempires doivent tous pourir en prison , et celle la merite même pas bollé

    Comments are closed.