L’Aïd El Koulouba de Barou

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    • parler a la place de dieu est un péché voir comment tu ais venus au monde a savoir que dieu est le seul berger de l’avenir de l’homme enfin qu’elque fois je peux te donné raison car un proverbe displus ou moins la parole sénerve a celui qui la prononce merci

  1. Pour quoi le hair à ce point? Alors que les ennemis du Mali, sont qu’en meme ceux dont on avait confié le Jemeni du Mali……….Alorsque lui il na pas encore touché à rien…..

  2. Mouvement National de Liberation de l’Azawad

    COMMUNIQUÉ N° 34 DU 24 OCTOBRE 2012

    Mardi, 23 Octobre 2012 23:30

    EXÉCUTIONS SOMMAIRES DE CIVILS AZAWADIENS PAR L’ARMÉE MALIENNE
    Le MNLA a appris, avec tristesse et stupéfaction, l’assassinat d’au moins neuf civils touaregs (tamachek) par la tristement célèbre unité de l’armée malienne positionnée à Diabali au nord de Ségou au Mali.

    Douze hommes ont été capturés le lundi 22 octobre 2012 vers 10 heures (TU) sur le site d’une fixation de populations nomades près du lieu dit « Robinet Echeikh » au nord de Sokolo à 75 kilomètres de Diabali par une patrouille de l’armée malienne partie du poste de Diabali, celui là même où furent froidement exécuté le 8 septembre dernier 16 civils en majorité mauritaniens. Après recoupement de plusieurs témoignages dont le rescapé (le seul teint noir), il est établi que neuf des personnes enlevées ont été lâchement exécutées sur le chemin de retour de la patrouille dans la forêt qui borde le poste. Dans ce campement, cette patrouille militaire, a emporté, entre autres, un véhicule 4×4, 3 motos et 3 chargements de moutons. Ces massacres de civils répétés montrent encore une fois la véritable nature de l’armée malienne.

    Le MNLA condamne ce crime odieux et crapulé avec la dernière rigueur, adresse ses condoléances les plus attristées aux familles endeuillées et réclame auprès de la communauté internationale une enquête indépendante urgente.

    Les populations azawadiennes, songhaïs, touarègues, maures et peulhs n’ont que trop enduré les stigmates de la désolation et de la violence aveugle entretenue aussi bien par le Mali que par les groupuscules mafieux qui lui sont directement ou indirectement affiliés et insidieusement installés sur le territoire de l’Azawad depuis plusieurs années.

    Le silence de la communauté internationale face aux crimes commis contre des civils azawadiens par l’Etat malien et son armée, devient assourdissant et ressemble désormais à une coupable indifférence s’agissant de la vie et de la dignité humaine.
    Aussi, nous exigeons de la communauté internationale une condamnation urgente de la série d’assassinats et d’exécutions sommaires de civils azawadiens par les forces maliennes et leurs milices depuis le début du conflit opposant l’Azawad au Mali. Nous demandons à ce que ces massacres s’arrêtent et que les auteurs soient traduits devant la justice.

    Le MNLA informe solennellement, la médiation de la CEDEAO, les pays du champ, l’Union Africaine, l’Union Européenne et le Conseil de Sécurité des Nations Unies ainsi que l’envoyé spécial pour le Sahel de l’ONU, que si de telles pratiques ignobles se poursuivaient, notre mouvement ne se sentirait plus tenu par son engagement de mettre fin aux opérations militaires, décidé unilatéralement et scrupuleusement observé à partir du 5 avril 2012.

    Fait le 24 octobre 2012
    Moussa Ag Assarid
    Membre du Conseil Transitoire de l’Etat de l’Azawad (MNLA)
    Chargé de la Communication et de l’Information

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