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  1. On connaît bien le mot de KAFKA à son médecin, sur son lit de mort : ” Si vous ne me tuez pas, vous êtes un assassin “…A défaut d’être assassiné on peut aller constater du côté de la bouteille ou du verre si il est à moitié plein ou à moitié vide, c’est toujours selon!!!!…Du genre que l’un et l’autre peut désirer sa façon plus digne de “mourir” que pleurer dans les bras d’un aide-soignant appelé Rast’Jah entre deux gémissements pendant qu’il lui raconte le Petit Chaperon rouge en séjour Européen ou au son du “DIDADI” local, le tout dans une ambiance d’encens entre Tribunaux, à la lumière de bougies vacillantes placées á hauteur du pupître accusatoire, pendant que passe en fond sonore une musique New Âge et de Kamelen N’Gòni, le corps transformé en immense blessure, bien que pommesses et mensonges soient masquées, la mort, du moins la sentence prenant déjà presque toute la place. D’aucuns préfèrent la CANETTE ou RAS BATH. Peut-on leur donner tort ?

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