Au fil de la presse

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Dans  22 septembre du 08 septembre  2014

Le confrère cite le président IBK : « la réconciliation ne se fera pas au détriment de la Justice” ».

 

Faire est la meilleure manière de dire.

 

Dans le pouce du 08 septembre  2014

Mohamed Dagnoko écrit : « Négociations d’Alger : le MNLA et le HCUA demandent l’indépendance des régions du Nord.»

 

Cela pourrait arriver … Le jour où, le ciel sera en bas et la terre en … haut.

 

Dans Aurore du 08 septembre  2014

Le confrère écrit : « Investi à Koulouba, il y a un an déjà, après avoir été plébiscité par un peuple en quête de dignité et de présence dans le monde, le président Ibrahim Boubacar Kéita alias IBK, bien qu’ayant été volontariste pour le choix de certaines mesures phares liées à la refondation de l’Etat, continue de faire l’objet de vilaines critiques de la part de ceux qui se perdent dans leurs propres illusions du chaos qui a miné le pays et dont il a du mal à se remettre. »

 

IBK « investi à Koulouba » ?

C’est quoi ça ?

 

Dans l’indépendant du 08 septembre  2014

Le confrère cite Sidi Ag Baye, Société civil de la coordination des mouvements de l’Azawad “Nous voulons une large autonomie, une fédération de deux entités ou rien”. »

 

Il n’y aura pour votre imaginaire Azawad, ni une  large autonomie, ni “une fédération de deux entités” !

Le Mali est Un et restera Indivisible !

 

 

Toujours  dans l’indépendant du 08 septembre  2014

Le confrère cite Khabaza secrétaire général du Gatia (Unioniste). « Je ressens un grand soulagement et un grand espoir. Chaque jour, ce sont des discussions très intenses, parfois un peu houleuses mais le tout dans un esprit très apaisé, c’est-à-dire sans animosité. Nous avons eu des échanges très fructueux où tout le monde s’écoute. Nous avons vraiment l’impression que le nouveau Mali est en marche. A mes yeux, ce qui est important, c’est que chacun ait pris conscience aujourd’hui que le Mali est gravement malade et qu’il  faut relever le défi de le soigner et c’est avec nous tous que cela pourra se faire. Je pense aujourd’hui que l’espoir est permis pour ramener définitivement et durablement la paix chez nous. »

 

Avec des compatriotes comme vous, l’espoir est effectivement permis.

 

 

Dans l’Inter de Bamako du 08 septembre 2014

Yoro Sow écrit : « en dépit des multiples défis auxquels le Mali est confronté, le pouvoir en place veut ouvrir un autre front pour détourner l’attention du peuple sur sa  incapacité à lui offrir des lendemains meilleurs. Pour permettre à IBK, dont les chances sont très minces de se faire réélire à la présidentielle de 2018, les constitutionnalistes recrutés à tour de bras et certains ténors de la mouvance présidentielle seraient déjà en réflexion pour tripatouiller la Constitution, afin de prolonger de deux ans supplémentaires le mandant de l’actuel président. »

 

2018 est loin, très loin ! En dehors des … Sow, les autres maliens pensent plutôt (d’abord) à l’année en cours ou à la suivante.

 

Toujours dans l’Inter de Bamako du 08 septembre

Le confère écrit : « la transition selon des spécialistes des finances publiques, la transition, dirigée par le président par intérim Dioncounda Traoré, aurait été celle du vol, de l’expropriation des biens publics, de la spéculation foncière (zone aéroportuaire) et du gangstérisme économique. Dans leur boulimie, les membres de la transition comme des chiens affamés n’ont rien épargné sur leur passage. Pour voir clair, le Bureau du Vérificateur général serait sur les traces des voleurs des biens du Mali dont Dioncounda  qui occupe illégalement la résidence du Premier ministre. »

 

Avec un minimum de sens du respect, (caractéristique du Malien en général)  on ne peut qualifier des responsables, (anciens ou niveaux) de ce pays de “chiens”.

Soyons polis !

 

 

Boubacar Sankaré

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