Confidentielle – Ménaka : Deux groupes armés prêtent main forte aux autorités de la ville

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Il n’est secret pour personne que la recrudescence des violences a atteint un seuil très inquiétant au Mali. Et, l’armée malienne arrive difficilement à faire face seule aux djihadistes et des bandits armés. La région de Ménaka n’est pas épargnée par ces attaques. Fort de ce constat, deux groupes armés (le mouvement pour le salut de l’Azawad (MSA) et le Gatia) ont décidé de s’unir pour compenser les insuffisances de l’armée malienne dans cette partie du pays  en accord avec les autorités intérimaires, installées il y a peu.

Pour cela, des barrages ont été mis en place à toutes les entrées de Ménaka et tous les véhicules sont systématiquement fouillés depuis lundi 3 avril. Aussi, un couvre-feu en vigueur de 22h à 6h du matin a été mis en place.

Selon nos sources, toutes les composantes de la région ont été consultées avant la mise en place de ces mesures auxquelles sont associées les forces armées maliennes.

 

Bouteilles plastiques: Une source cancérigène ?

« L’utilisation des bouteilles en plastiques, particulièrement celles destinées à la commercialisation de l’eau minérale sont à l’origine d’un type de cancer ».

C’est la conclusion d’une étude scientifique menée par des chercheurs Suisses qui estiment que boire de l’eau minérale, du jus de fruit ou du lait sous emballage plastique peut provoquer un cancer d’un type redoutable.

Les matières plastiques en question contiendraient un élément cancérigène appelé Diethylhydroxylamine (DEHA) qui se fortifie et se multiplie dans la bouteille au contact des rayons solaires. Selon une autre source indépendante, ce phénomène s’accélère et se développe très vite, lorsque l’emballage est plusieurs fois utilisé ou recyclé pour des besoins de conservation de produits alimentaires. Conserver du lait, de l’eau minérale, des boissons sucrées dans ces matières plastiques constituerait donc un réel péril pour la santé publique.

Echange de devises au Mali: Les banques ‘’par terre’’

Autant, des étrangers, une fois au Mali, convertissent en franc CFA leur argent, autant des nationaux, en partance pour l’étranger prennent le soin de convertir leurs fonds, selon l’espace économique dans lequel ils se rendent. Toute chose qui fait du secteur de l’échange de devises, un créneau porteur, dans lequel certains jeunes n’hésitent plus à s’investir. L’activité se développe et avec lui, les risques.

Facilement reconnaissables par les coupures de billets de banque qu’ils brandissent, proposant leur service à tout passant (même aux plus désintéressés), ces jeunes se trouvent le plus souvent au niveau des centres commerciaux et des établissements bancaires.

Et, le « milieu » est devenu, au fil du temps, un secteur très rentable pour certains indélicats qui profitent de l’inorganisation du secteur pour s’adonner aux actes les plus vils comme le blanchiment d’argent ou même le glissement de faux billets entre les montants échangés.

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