Centre Malien pour la Consolidation de la Paix La mise en œuvre de l’Accord pour la Paix au centre des réflexions

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Cet atelier était présidé par la Présidente du CMCP et du Parti Ecologiste du Mali, Mme Diallo Fatoumata Bintou Touré, entourée de personnalités comme Nyankoro Yeah Samaké du Parti pour l’action civique et patriotique (PACP), Bamba Gagny Kiabou, Vice-président du CMCP, Mme Touré Maimouna Touré, du Mouvement pour le Rassemblement, le Travail et l’Initiative (MRTI) et Hamane Touré dit Serpent, de l’Union des Forces pour le Changement (UFC).

A l’entame de la rencontre, Mme Touré Maimouna Touré a procédé à la présentation sommaire du CMCP. Elle dira qu’il existe depuis le 26 mars 2015, date à laquelle il a remis sa lettre d’existence à son département de tutelle, le ministère de l’Administration Territoriale en charge de la décentralisation. Le CMCP se définit aussi par son positionnement, entre l’Opposition et la Majorité.

Le CMCP regroupe 8 partis politiques, à savoir la Convention de Réflexion et d’Action pour le Mali (COREAM), les Forces Alternatives pour le Changement (FAC), le Mouvement pour le Rassemblement, le Travail et l’Initiative (MRTI), le Parti pour l’Action Civique et Patriotique (PACP), le Parti Ecologiste du Mali (PEM), le Parti Démocratique du Peuple malien (PDPM), l’Union des Forces du Changement (UFC) et Faso Dembé, qui vient d’y adhérer.

Dans son discours d’ouverture, la Présidente de la CMCP soulignera qu’il s’agissait de partager quelques réflexions sur la situation générale du pays, en ces moments de post-conflit, et dans l’attente de la mise en œuvre de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation.

«Les pratiques politiques en cours depuis des années ne doivent point entamer nos convictions et nos volontés. Nous devons être témoins directs des situations, nous devons pouvoir faire une analyse objective et exhaustive des événements, ce qui nous permettra d’ébranler les idées obscures, les peurs qui tétanisent, les contrevérités qui nous font nous tourner le dos les uns aux autres», dira Mme Diallo.

«Pour cela, nous devons nous-mêmes nous instruire sur tous les plans, afin de pouvoir faire un choix judicieux entre les options qui se présentent», a-t-elle ajouté, étant persuadée qu’en prenant le taureau par les cornes, leurs décisions contribueront à l’atteinte des objectifs visés, attendus si longtemps.

Adama Bamba         

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1 commentaire

  1. Ils sont tous coupable les hommes politique malien de trahison et la division de notre pays l’incapacité ibk sans que personne ne lève le petit doit pour dire non à ibk le lache de la manière dont il veut faire disparaître le Mali d’avant

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