Mali : Le ministre de l’Économie Alousséni Sanou à Moscou

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Le ministre de l’Économie et des Finances Alousséni Sanou à la tête d’une importante délégation malienne séjourne en Russie.

Arrivé ce jeudi 27 octobre à Moscou, dans la capitale russe, le patron de l’hôtel des Finances qui conduit une délégation comprenant de nombreux techniciens, devrait mener des négociations portant sur plusieurs secteurs économiques dès, vendredi 28 octobre, avec des responsables techniques russes.

Il faut rappeler les autorités de la Transition multiplient les initiatives dans le cadre du renforcement de la coopération bilatérale avec la fédération de Russie, un partenariat stratégique du Mali notamment dans les domaines de la sécurité, de l’énergie du commerce et de l’industrie.

Un choix stratégique qui participe de la volonté clairement affichée par des plus hautes autorités du pays de diversifier le partenariat avec toutes les puissances internationales disposées à respecter la souveraineté du Mali et l’intérêt supérieur de son peuple.

Par Aboubacar TRAORE

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12 COMMENTAIRES

  1. ◇□◇𝔄◇□◇G◇□◇|◇□◇ℜ◇□◇ℒ◇□◇|◇□◇O◇□◇◇□◇G◇□◇|◇□◇Æ◇□◇®◇□◇◇□◇

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  2. @Merci mille fois Sanou pour ton patriotisme sans faille et ton leadership intelligent, le Mali est tres fier de toi.

  3. L’activisme et le militantisme devraient distinguer deux niveaux de priorité : le niveau de l’urgence est la lutte pour la sécurité ; la lutte anticolonialiste et panafricaniste, lutte pour la liberté, une lutte de longue date qui ne date pas d’aujourd’hui, en est un autre.
    A considérer la lutte anticolonialiste pour la liberté comme prioritaire et urgente, et à la rabattre sur la lutte pour la sécurité qui devient comme secondaire dans la mesure où l’on soutient que c’est parce que nous ne sommes pas libres que nous ne sommes pas en sécurité (et que celui qui nous tient encore sous sa dépendance est aussi celui qui nous met en insécurité), on ne sait plus finalement pourquoi on lutte :
    Si nous n’avons plus d’Etat et de territoire, nous ne pouvons plus lutter contre une puissance dominatrice et impérialiste qui les convoite pour en accaparer les ressources et nous en désapproprier ; la résistance suppose un sol à s’approprier et défendre contre tout colonialisme ; mais si ce sol et cette terre sont envahis par d’autres individus qui ne sont pas les colons contre lesquels nous luttons, la sagesse et l’intelligence seraient d’orienter d’abord notre lutte contre les envahisseurs violents.
    Non pas : il n’y a pas de sécurité sans liberté, mais, dans la situation que nous vivons il n’y a pas de liberté sans sécurité. La lutte actuelle pour la sécurité est tactique, le combat anticolonialiste de toujours pour la liberté est stratégique. Il faut d’abord gagner la première pour se donner les moyens du second. Voyez-vous : si, « indépendants » et « souverains », disposant de territoires et d’Etats avant le terrorisme, nous n’étions déjà pas (complètement) libres, comment pourrions-nous être plus libres sans Etats ni territoires s’ils sont envahis et colonisés par des terroristes ?
    Donc : un anticolonialiste conséquent, qui n’est pas un agitateur verbal et verbeux, devrait trouver dans la situation d’insécurité actuelle créée par les terroristes les ingrédients et prémices de la véritable lutte anticolonialiste. En ce sens : nous libérer des terroristes, et libérer notre territoire sont l’avant-goût de la libération du colonialisme.
    Cela suppose que cette libération de l’invasion terroriste soit nôtre, que nous en soyons les premiers acteurs. Si dans la libération de notre territoire nous sommes dépendants et des Français ou des Russes, on ne voit pas comment nous pourrions nous libérer seuls du colonialisme ! Si, indépendants, nous disons que nous ne sommes pas libres, comment pourrions-nous être libres dépendants ?…
    Il faut dont penser à éviter le scénario afghan : les Afghans qui fuyaient leur pays, en 2021, ne se jetaient pas dans les bras des vainqueurs du moment, les Talibans, mais cherchaient désespérément le secours et la protection des « vaincus », les Américains. On se rappelle ces scènes inédites d’Afghans qui s’accrochaient aux ailes des avions américains pour en retomber morts comme des oiseaux abattus.
    Les vrais vaincus ne sont pas toujours ceux qu’on croit, ceux qu’on chasse en faisant du bruit (ou alors la victoire est toujours de très courte durée).
    Toute la force de l’Occident, sa séduction, sa clôture, c’est ceci : il gagne encore en perdant ; plus il perd et plus il gagne… Il faut donc d’abord, si on lutte, lutter pour soi et contre soi, pour sauver sa peau. Cela s’appelle sécurité…

    • Votre intervention est une diversion mûrement réfléchie pour être servie aux Maliens et tromper les Africains.

      En effet, on ne peut pas dissocier la lutte contre le terrorisme de la lutte politique, de la lutte contre le néocolonialisme français. Les deux vont de de pair. On ne peut pas s’attaquer au terrorisme et ensuite seulement s’attaquer au néocolonialisme français car le terrorisme n’est qu’un des aspects du néocolonialisme français. La lutte contre le terrorisme est en même temps et dans le même mouvement, une lutte contre le néocolonialisme français, une lutte contre les véritables sponsors du terrorisme, ceux qui forment, financent et arment les terroristes qui nous massacrent.

      Notre ennemie est clairement identifiée: c’est la France. Aucune lutte contre le terrorisme ne saurait être victorieuse si elle n’associe pas en même temps la lutte sans répit contre la politique française, contre la domination et l’exploitation des pays africains par la France et dont le terrorisme n’est que l’un des aspects.

      En conséquence de ce qui précède, nos objectifs sont clairement identifiés:

      1. Chasser l’armée française de la terre sacrée d’Afrique.

      2. Nous affranchir de toute tutelle politique française, sous quelque forme que ce soit.

      3. Bannir l’usage du franc CFA, c’est-à-dire bannir tout accord de coopération monétaire, de quelque nature que ce soit, avec la France.

      4. Remplacer le français comme langue d’enseignement par l’enseignement de nos langues, DE TOUTES NOS LANGUES; procéder en même temps au choix d’une ou de plusieurs langues officielles nationales et de l’anglais, langue de la science et du commerce international, comme deuxième langue dans nos écoles. Le français demeurera une langue que chacun pourra apprendre individuellement s’il le veut tout comme chacun peut apprendre au Mali le chinois, l’espagnol, l’allemand, etc. s’il le veut. L’enseignement obligatoire et officiel du français à l’école primaire (1er cycle de l’enseignement fondamental au Mali) sera banni. L’apprentissage obligatoire du français au niveau de tous les cycles d’enseignement sera banni. Seuls l’enseignement de nos langues nationales + l’enseignement de la ou des langue(s) officielle(s) choisie(s) + l’enseignement de l’anglais seront obligatoires.

      La ou les langue(s) nationale(s) officielle(s) et l’anglais seront progressivement introduits à divers niveaux du 1er et du second cycle de l’enseignement fondamental. La langue maternelle de l’enfant commencera a être étudiée des le premier jour d’école. Pour ce qui est de l’anglais, c’est la langue étudiée comme deuxième langue dans tous les pays du monde, sans exception (y compris la Chine, y compris la Corée du Nord, etc.), y compris en France où désormais dans les plus grandes écoles d’ingénieurs et de commerce, la plupart des programmes sont enseignés exclusivement en anglais et ce, en plein cœur de Paris. Alors, qu’on ne vienne pas nous dire: “Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais.”.

      En cela, nous ne ferons que suivre l’exemple de tous les pays du monde, notamment, en Afrique, l’exemple d’autres pays anciennement colonisés par la France comme la Tunisie, le Maroc et l’Algérie qui ont tous remplacé l’enseignement du français par leurs langues nationales (notamment l’arabe) et choisi comme deuxième langue l’anglais. Bien qu’on parle encore français dans ces pays, le français est en train d’être officiellement remplacé à l’école primaire par l’anglais.

      L’enseignement sera donc multilingue (trilingue de préférence dès le primaire). L’enseignement monolingue du français tue nos langues et nos cultures et nous place sous tutelle mentale et politique de la France. Le remplacement du français par nos langues nationales, enseignée chacune au niveau de la région où elle est prédominante, participe de la lutte de libération idéologique, mentale et politique des Africains contre la domination culturelle et linguistique française qui tue nos personnalités, notre identité et notre self-esteem (notre sentiment de fierté nationale et historique). Sans cette libération mentale et politique, la lutte contre les forces du mal ne sera jamais entièrement victorieuse.

      4. Déchirer les “accords de coopération économique” et autres contrats léonins imposés par la France et bâtir une économie de transformation de nos matières premières sur notre propre sol. Nous ne serons plus un marché captif pour l’écoulement des produits de l’industrie française.

      5. Récupérer le contrôle total de toutes nos richesses minières spoliées par la France sur l’ensemble du territoire africain à l’échelle continentale.

      6. Diversifier nos partenaires internationaux sans aucun statut préférentiel donné à la France. La France sera, si elle le veut, un partenaire comme un autre avec ni plus, ni moins de considération que les autres. Nous déciderons de qui seront nos partenaires sur la base de nos propres intérêts et non sur la base des intérêts politiques ou économiques de la France et/ou de l’Occident.

      7. Restaurer notre souveraineté politique, y compris à l’ONU, et bâtir l’État Fédéral d’Afrique.

      Tous ces objectifs sont interdépendants les uns des autres car la réalisation de l’un des objectifs affecte nécessairement la réalisation des autres et il ne saurait être question de lutter pour les uns en oubliant les autres. Nous poursuivons ces mêmes objectifs qui ont une égale priorité pour nous en même temps, dans le cadre général de la lutte contre la domination française.

      Pour nous, ce ne sont pas des objectifs dont la réalisation est nécessairement lointaine, des objectifs qu’il faut repousser aux calendes grecques. Ce sont des objectifs immédiats dont nous poursuivons la réalisation chaque jour que Dieu fait et le plus tôt ils seront réalisés, mieux ce sera.

      • Les terroristes sont dans le gouvernement malien.
        Ils sont dans l’organe législatif.
        Ils sont habités et nourris par ASSIMI GOITA dans les meilleurs hôtels de Bamako.
        Le président qui a résisté au NÉO-COLONIALISME FRANÇAIS s’appelle AMADOU TOUMANI TOURÉ.
        Ceux qui l’ont attaqué en torturant,egorgeant nos braves soldats à AGUEL’HOC collaborent étroitement avec les CINQ COLONELS.
        S’ASSOCIER AVEC LES TERRORISTES,ON EST TERRORISTE.
        C’est une vérité sous tous les cieux sauf dans le Mali d’ASSIMI GOITA.
        Les séparatistes qui ont signé l’accord d’Alger se sont associés aux terroristes pour attaquer l’armée d’AMADOU TOUMANI TOURÉ.
        La France, étant leur soutien,a obligé IBK à négocier avec les séparatistes collaborateurs des terroristes.
        LES TERRORISTES ONT ÉTÉ INSTALLÉS À KIDAL,ENSUITE ARMÉS ET FORMÉS PAR LA FRANCE.
        IBK a été accusé de laisser la France faire.
        Les CINQ COLONELS continuent à collaborer avec les laquais séparatistes français.
        Pour tout esprit raisonnable,c’est KIDAL qu’on attaque,si on veut vraiment lutter contre le terrorisme.
        Si ce n’est pas la lâcheté,qu’est ce qui les empêche de libérer kidal?
        On amuse la galerie en mimant une relation étroite avec la Russie alors qu’elle refuse de se saisir du dossier malien contre la France à l’onu.
        La Russie n’est pas un pays développé,est actuellement sanctionnée par les puissances économiques,notre ministre de l’économie espère combler son déficit abyssal par la Russie.
        Dans peu de temps,ils vont être incapable d’assurer le service minimum de l’Etat tel le paiement des salaires des fonctionnaires comme on l’a connu pendant la dictature militaire.
        La réalité est que le Mali n’est pas en conflit contre la France,mais que les COLONELS sont en conflit contre MACRON depuis le coup d’Etat contre BA DAW.
        MACRON refuse toute réconciliation d’où ces agissements sans couper le pont avec les séparatistes qui sont l’armée française au nord de notre pays.
        C’est dire qu’il suffit que MACRON accepte de laisser les COLONELS exercés le pouvoir comme il le fait avec le fils de DEBY pour qu’on laisse la France faire ce qu’elle veut au Mali.
        C’est MACRON qui refuse toute collaboration,pas les CINQ COLONELS qui jouent le cinéma en manipulant les maliens en attendant que le président français revienne en de meilleur sentiment.
        Mais ils sont allés très loin en assassinant SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA,un élément français.
        Ils seront chassés du pouvoir et jugés.
        C’est naïf de penser que les COLONELS sont des souverainistes.
        Le vrai souverainiste,c’est AMADOU TOUMANI TOURÉ.
        On l’aurait soutenu en 2012 en se mobilisant contre le pusch des SANOGO,la France ne serait pas installée chez nous,serait comabattue avec ses laquais séparatistes.
        ASSIMI GOITA et ses camarades sont plutôt des pétards mouillés!!!

  4. C’est rigolo ;
    Se sont des scénarii classiques ; on soutiens Moscou, on se déplace baiser les mains de son maitre ,
    Il repart avec une enveloppe garnie , un prêt en rouble et beaucoup de promesses……
    N’en déplaise aux détracteurs, insulteurs, haineux ; c’est ainsi que cela se passe

  5. Merci mille fois Sanou, nous ne souvenons encore que malgré les sanctions illégitimes, illégales et tres injustes de la CEDEAO à la solde de la maudite France tu as aidé ta nation dans la reussite. Merci pour ce leadership!

  6. Quel desespoir! C’est vraiment chaud à kita. Ca court maintenant chercher des roubles sans valeur.
    Diop ayant echouer, le vaurien assimi envoie son cousin du village de la même ethnie miangan/bob chercher de l’argent chez leur maître tueur qui est en déroute en URSS.
    Les bidasses ont la trouille aux fesses sales, ils n’ont pas compris pourquoi la russie et la chine ont refusé de porter leur plainte vide contre la france en conseil de sécurité de l’onu. Bande de vauriens vous n’avez rien vu encore.

  7. Merci mille fois Sanou pour ton patriotisme sans faille et ton leadership intelligent, le Mali est tres fier de toi.

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