Faits divers : Un fabricant pris avec des armes et munitions

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    Il s’adonnait illégalement à la fabrication d’armes. Les policiers lui ont coupé l’herbe sous les pieds.

    19 fusils de chasse, 1 fusil mitrailleur (FM) d’assaut, 6 PA, 1 chargeur garni de pistolet mitrailleur (PM), 1 boîte chargeur garnie, 15 munitions semi long, et 2 maillons de munitions, une saisie d’une telle importance est rare. Et pourtant, en effectuant une descente inopinée, la semaine dernière, les limiers du commissaire principal Yamadou Goumané n’envisageaient pas de mettre la main sur un tel arsenal dans une habitation de Médina-Coura à Koutiala.

    C’est lors d’une perquisition liée à l’arrestation d’un fabricant illégal d’armes le 16 juillet dernier que les policiers ont fait cette découverte. à ce jour, le mis en cause a été placé sous mandat de dépôt.

    Dans cette affaire comme dans d’autres du genre, le renseignement a beaucoup joué dans l’interpellation du fabricant et la saisie de son artillerie. De sources policières, à la date indiquée plus haut, le commissariat avait été informé par un paisible citoyen désirant garder l’anonymat de ce qu’un fabricant illégal s’adonnait à la fabrication et à la vente illégale d’armes à feu.

    Ces informations avaient suffi pour éveiller l’attention des limiers pour voir clair. La suite de l’histoire confirmera la véracité de l’info donnée par l’indic. Munis d’informations précises sur le fabricant illégal, il était impossible pour les limiers de rester sans réagir. Une fois saisis du dossier, les policiers se sont rapidement mis à la tâche pour mettre la main sur l’indélicat. Et c’est ce qui s’est passé.

    Ce jour-là, aux environs de 12 heures, quand les éléments de la brigade de recherches de la ville de Koutiala sous la conduite du capitaine Manu Victorien Diallo ont fait une descente dans l’habitation que squattait le suspect.

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    2 COMMENTAIRES

    1. IBK A RENDU LE MALI INGOUVERNABLE. IBK EST LE PRINCIPAL PROBLÈME DE LA CRISE MALIENNE.
      CE MONSIEUR NE CONTRÔLE RIEN ET PIRE SON ENTOURAGE L’ENFONCE DE JOUR EN JOUR DANS L’ABÎME. QUE DIEU AI PITIÉ DE NOTRE MALI SINON IBK A MONNAYÉ LE MALIBA EN MALIDÉNI. TOUT LE MONDE SE TROUVE DANS LA MERDE ET POUR BIEN LONGTEMPS.

      • Le député ex-LREM Sébastien Nadot estime, lundi sur franceinfo, que dans la guerre au Yémen, « la France est manifestement du côté des bourreaux ».

        La France « arme les bourreaux » au Yémen, dénonce, lundi 15 avril 2019 sur franceinfo, le député ex-LREM de Haute-Garonne Sébastien Nadot, après les révélations de Disclose en partenariat avec la cellule investigation de Radio France. Le député a été exclu du groupe LREM en décembre 2018 après avoir déposé plainte auprès de la Commission européenne pour vente d’armes illégales et déployé une banderole « La France tue au Yémen » devant l’Assemblée nationale.

        Yémen : une frappe de l’Arabie saoudite fait plus de 100 morts

        « La France est manifestement du côté des bourreaux et ce sont les populations civiles yéménites qui en font les frais. C’est absolument terrible. Il y a un traité sur le commerce des armes. Donc la France est en faute en exportant des armes vers les pays de la coalition aujourd’hui, la France enfreint le droit international et c’est incroyable.

        Matignon ment tout simplement. Matignon a les éléments suffisants pour savoir que potentiellement la France vend des armes qui peuvent servir contre les populations civiles. 30% des frappes de la coalition vont sur des populations civiles. »

        En mai 2019
        Le cargo saoudien Bahri Tabuk, dont le site d’investigation Disclose affirme qu’il doit charger des munitions françaises à destination de l’Arabie saoudite, est arrivé mardi après-midi à Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) dans l’attente de sa cargaison!

        Deja que
        Un autre cargo battant pavillon saoudien, le Bahri Yanbu, avait dû reprendre le large le 10 mai sans avoir pu charger une cargaison d’armements prévue au port du Havre (Seine-Maritime) sous la pression de plusieurs ONG dont deux d’entre elles, ACAT et ASER, avaient engagé un recours judiciaire, sans succès.

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