L’URD et la présidentielle 2022 : Mamadou Igor, le choix judicieux et précieux !

1

 L’élection présidentielle est prévue le 27 février 2022. Depuis cette annonce et même avant, les bastions des partis politiques sont en ébullition. Si dans plusieurs formations politiques les futurs candidats sont connus, l’Union pour la République et la démocratie (URD), depuis le décès tragique de son président, Soumaïla Cissé, est à la recherche d’un candidat crédible, rassembleur et très influent. Trois ou quatre noms circulent déjà, à savoir Mamadou Igor Diarra, Me Demba Traoré, les Docteurs Madou Diallo et Boubou Cissé. Parmi eux, Mamadou Igor Diarra répond  dignement et favorablement aux critères de choix d’une très large frange des électeurs.

Mamadou Igor Diarra est un cadre intègre, valable, courageux, patriote, travailleur et très assidu qui a laissé ses traces par le travail bien fait là où il aura servi à l’intérieur comme à l’extérieur du pays. Avec ses qualités, ses valeurs intrinsèques et son grand influence dans le monde, il sera cependant le meilleur porte-étendard du parti de la poignée de mains pour briquer la magistrature suprême.

Homme de parole, il a honoré sa parole donnée au feu président Cissé en posant ses valises à l’URD. Compétent et intègre, ce banquier chevronné est un gros travailleur qui maitrise le monde des finances et des affaires. Ministre plusieurs fois sous différents régimes (ministre de l’Energie, des Mines et de l’Eau, ministre de l’Economie et des Finances). A l’en croire, ces trois domaines sont vitaux pour le développement du pays. C’est pourquoi il s’est employé à faire en sorte que l’eau et l’électricité ne soient plus un luxe pour les populations maliennes. L’électricité étant le moteur du développement est également une ressource nécessaire au bien-être des citoyens.

Elle était encore peu et mal distribuée. Il a fallu toute l’ingéniosité de Igor pour non seulement réduire les coupures intempestives du courant, mais permettre à un plus grand nombre de citoyens d’y avoir accès. Quant à l’eau, étant source de vie, était une denrée rare et presque inaccessible à  un grand nombre des citoyens, c’est encore Igor Diarra qui a décentralisé le secteur pour qu’un plus grand nombre puisse en bénéficier, d’où la création de deux structures, Somapep, et Somagep, l’une administrative et l’autre beaucoup plus technique. Qui ne se rappelle des réformes initiées au département des mines afin que l’or puisse briller pour tout le monde. Mamadou Igor Diarra a une parfaite connaissance des problèmes du Mali. Son passage à la tête de l’hôtel des Finances a été unanimement salué par les Maliens. Il est celui qui a lancé les chantiers des grands travaux sous IBK. C’est grâce à lui aussi que le budget du Mali a pu atteindre pour la première fois 2000 milliards FCFA.  Igor Diarra a été celui qui a épuré la dette intérieure permettant aux commerçants de bien respirer et au secteur privé de faire un grand œuf de soulagement. Qui ne se rappelle du paiement dès le 25 du mois des salaires des fonctionnaires. Mamadou Igor Diarra a non seulement renfloué les caisses de l’Etat avec des recettes fiscales et douanières. Car, il jouissait d’un grand respect des bailleurs de fonds qui le trouvent pragmatique et rigoureux.

Ne trainant pas de casserole derrière lui, l’auteur du livre ‘’C’est Possible au Mali’’ fait partie des rares anciens ministres du régime qui jouissent d’une réputation solide auprès de l’opinion nationale et internationale. Toute chose qui n’est pas négligeable. N’était-ce pas l’une des forces du très regretté Soumi Champion?

En plus, son assise financière lui permettra de financer les activités d’un parti privé avec la mort de son président. Mamadou Igor Diarra dont la compétence est connue même à l’international dispose d’une base électorale. Ce n’est pas comme on le dit un politicien sans fief. Il a réussi en si peu de temps à donner du tonus à l’URD en favorisant de nombreuses adhésions.  En un laps de temps, il a insufflé une nouvelle dynamique au parti dans la région de Ségou. Avec un grand leadership, Igor constitue également une alternative au tournant générationnel dont  parlent les Maliens  depuis le coup d’Etat du 18 août.
Grand connaisseur des batailles électorales

Aussi, contrairement à beaucoup de prétendants à la candidature du parti que sont MeDemba Traoré, les docteurs Madou Diallo et Boubou Cissé, Mamadou Igor Diarra a une parfaite connaissance des batailles électorales puisqu’ayant été candidat lors de l’élection présidentielle de 2018. Cette joute électorale lui a permis d’acquérir de l’expérience qu’il pourra mettre à la disposition du parti. Celle-ci combinée à celle du parti donnera une chance certaine à l’URD pour remporter la prochaine présidentielle.
Grâce à  sa crédibilité beaucoup de bailleurs de fonds ont fait du Mali une bonne destination. Avec un carnet adresse très riche à l’extérieur comme à l’intérieur, l’audacieux MID a pu faire du secteur des finances publiques un secteur porteur, assaini et rigoureusement géré. D’où une très confiance des partenaires techniques et financiers à lui.

En tout cas, plusieurs arguments militent en faveur de l’homme au contraire à plusieurs prétendants candidatures internes. Pour honorer la mémoire du défunt Président Soumi champion et consolider la cohésion au sein du parti, il sera très judicieux et très précieux de porter le choix sur de Mamadou Igor Diarra comme candidat de l’URD à la présidentielle prochaine.

Homme de dossier, l’ancien ministre de l’Economie et des Finances est craint pour sa propension à dire tout haut ce que les autres pensent tout bas. Compétent, il est réputé très discret. Partout où il a servi, ses collaborateurs retiennent de lui sa rigueur, son franc-parler et son attachement à ses convictions. Mamadou Igor Diarra jouit d’une réputation irréprochable sur le double plan professionnel et social. Et selon de nombres analystes politologues, il est celui qui pourra perpétuer la mémoire du très regretté Soumi Champion en donnant l’Espoir aux Maliens, si chère à ses yeux.

Agoumour

Commentaires via Facebook :

1 commentaire

  1. Agoumour ou garmourou,
    Quand on est un bon ” Djéli ” on ne doit pas avoir honte de signer son djéliya. Tu as réçu l’argent, il faut assumer. En plus, il faut se rélire avant de publier un texte illisible.

Comments are closed.