Contre l’ennemi public N° 1, le Virus de la COVID-19 : Mme Diéminatou Sangaré et Pr Samba Ousmane Sow font appel à la solidarité nationale

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Mme la Ministre de la Santé et du Développement social, M. le représentant résident de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) au Mali, M. Jean Pierre Baptiste et le Pr Ousmane Samba Sow, Directeur de l’INSP et Conseiller spécial de l’OMS pour la COVID-19 ont réceptionné à l’Aéroport international Président Modibo Kéïta de Bamako Senou 40.000 doses de vaccins anti-COVID-19 pour le Mali. L’opération initiée par l’OMS est dénommée Essai Solidarité. Certains pays sur tous les continents ont été retenus dans le cadre des Essais Vaccinaux Solidarité. L’OMS a choisi en Afrique le Centre de Développement des Vaccins (CVD-Mali) pour conduire des travaux de recherche, hors laboratoire, au sein de la population afin ‘’d’indexer’’ les vaccins appropriés pour circonscrire à jamais le virus multi-souches de la COVID-19 dans le monde entier.

Nous voilà propulser aux premières loges de la recherche solidaire des vaccins ! La flamme de la solidarité, par-delà pauvreté et calamité, ont estimé les responsables de l’OMS, ne s’est jamais ‘’étreinte au Mali’’. Cette manière d’être est chronique, culturelle ; elle est une vertu au Mali. Cet essai solidarité s’adresse donc à cette nature ‘’naturelle’’ des Maliens.

Le virus du Corona a muté et plusieurs souches ont vu le jour (variant sud-africain, variant hindou, variant delta, etc.). Plusieurs vaccins sont en cours de développement en réponse aux multiples souches. Il s’agit pour l’OMS d’affiner de plus en plus la recherche et d’associer les laboratoires des pays développés, ceux des pays en voie de développement. Il s’agit aussi et surtout  d’associer les populations sur le terrain de tous les pays afin d’aboutir à deux objectifs majeurs : trouver des vaccins sûrs, appropriés et efficaces et la production in situ des vaccins.

La participation de la population malienne hisserait le Centre de Développement des Vaccins du Mali (CVD-Mali) au diapason mondial de la recherche et de la production de vaccins.

L’arrivée des 40.000 doses de vaccins est à saluer autant que le choix porté sur le Mali en Afrique ! Ce choix émane des plus hautes autorités médicales mondiales. Les vaccins ont été développés par d’éminents spécialistes au plan mondial. Aucun médicament n’a été mis à la disposition des Pharmacies sans passer par un protocole scientifique rigoureux, sans que des volontaires ne soient soumis à des tests rigoureux et à un suivi médical rigoureux. Ces volontaires ont fait avancer la science. La lecture de la posologie des médicaments indique à suffisance le long travail méticuleux abattu en amont.

Sous d’autres cieux, ces travaux de recherche sont de la routine. En science, les vaccins proposés sont sûrs, mais de tous les vaccins proposés lesquels sont les plus appropriés chez les Sahéliens ? Est-ce Pfizer ? Est-ce AstraZeneca ? oud’autres vaccins en voie de développement ?

Tous les vaccins ont été développés par des laboratoires en Europe, en Amérique. L’explosion du Corona a démontré à suffisance le fossé existant entre ces pays et les pays sous-développés ! A la découverte du vaccin, les populations des pays sous-développés ont du attendre en comptant leurs morts pendant que les pays développés immunisent à souhait leurs populations. L’OMS a du agir. La meilleure proposition consiste donc à associer certains laboratoires africains à l’élaboration et à la production des vaccins. Ces vaccins seront indexés par d’éminents spécialistes dans nos laboratoires installés et travaillant au sein même de nos pays. A l’avenir, le fossé sera comblé et nul n’attendra un vaccin arrivant d’ailleurs pour faire face aux épidémies, aux pandémies ou aux maladies tropicales in situ.

L’opération Essais Vaccinaux Solidarité est à accréditer, à saluer comme une véritable révolution médicale par tous les Maliens. L’essai solidarité est à l’épidémiologie ce qu’est l’autosuffisance alimentaire à l’agriculture. L’indépendance, voler de ses propres ailes … Il est temps que l’Afrique s’assume dans le domaine médical. Nul n’a le droit d’avoir peur s’il s’agit de prendre en main son destin. Les lendemains seront radieux !

L’Organisation mondiale de la santé a posé les jalons, il revient aux autorités médicales du pays soucieuses des souffrances de leurs populations, de leur santé publique et de la saignée financière liée au coût des médicaments, de frayer le chemin envers et contre tout. Il leur revient de communiquer et d’amener les la population à l’adhésion et des intellectuels plus réceptifs à mettre un terme à la politique de la main tendue … L’adhésion doit être donc massive et volontaire. L’étude s’adresse aux jeunes (16 ans), aux jeunes femmes, aux adultes, aux personnes âgées. L’étude s’adresse à cette population n’ayant jamais été vaccinée contre la COVID-19. Il s’agit de recherche, de statistiques, d’évaluation, … aussi le suivi médical s’étale sur une année entière.

Les Centres de vaccination suivants ont été retenus : la direction générale de la santé publique (DGSP), la Direction régionale de la Santé de Bamako (DRSP), les centres de santé de référence de Koutiala, Kati, Kita. La participation à l’Essai solidarité est volontaire et peut être retirée à tout moment. Les données personnelles sont tenues sous le sceau du secret médical. L’équipe de recherche au Mali est le Centre de développement des vaccins (CVD-Mali) sous la conduite de son Directeur général, Pr Samba Ousmane Sow, principal investigateur de l’Essai Solidarité. Grâce à son implication personnelle, 40.000 vaccins candidats sont déjà au Mali. Combien de personnes seraient-elles vaccinées, immunisées soustraites aux affres du Corona ? Deux pays africains ont été choisis dont le Mali. Un motif de fierté pour les Maliens. Le CVD-Mali a une audience mondiale. Le secrétaire général de l’OMS ne s’y est guère trompé : Pr Samba Ousmane Sow a la carrure des hommes qui font avancer la science en menant des activités de recherche de grande envergure jamais réalisées dans nos pays. Le représentant de l’OMS au Mali, M. Jean Pierre Baptiste a eu des propos très élogieux à l’endroit du Pr Samba Ousmane Sow en rappelant les victoires engrangées et ses qualités scientifiques intrinsèques et en qualifiant le CVD-Mali d’être à la pointe de la recherche des vaccins en Afrique. La maitrise approximative du sujet, la manipulation des produits, aurait suscité peur et angoisse. La réception des vaccins candidats par la Ministre de la Santé et du Développement social, leur dispartching entre les différents centres officiels suffisent à dissoudre les doutes s’ils existent encore.

Mme Diéminatou Sangaré, Ministre de la Santé et du Développement social, le Pr Samba Ousmane Sow, Conseiller spécial COVID-19 de l’OMS, le représentant résident de l’OMS au Mali étaient à l’Aéroport pour réceptionner les vaccins candidats.

Ils savent qu’une véritable révolution est en gestation dans les pays sous-développés que le Mali et l’Afrique doivent désormais s’assumer au plan de l’élaboration et la production des vaccins, que l’heure est à l’échange entre les laboratoires du monde entier et non à la vaine spéculation.

Le nombre de morts par COVID-19 est indiscutable et effroyablement élevé. L’économie mondiale a été paralysée ces deux dernières années. A quand le prochain virus ? Et si le Mali était son foyer de naissance ? La guerre ne se prépare qu’en temps de paix.

Youssouf Sangaré

 

Organisation de la 7ème Conférence du HCME. Pour s’éterniser à la tête de la présidence du Haut Conseil des Maliens de l’Extérieur, M. Habib Sylla est en train de piétiner les textes de l’organisation à travers les multiples reports des différentes dates de la conférence sous prétexte que le Ministre des Maliens de l’Extérieur serait en déplacement pour la Côte d’Ivoire et au même moment une délégation de la CEDEAO à Bamako pour une visite d’évaluation de la transition. Après deux mandats les textes l’interdisent de briguer un troisième mandat.

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1 commentaire

  1. !!…..Le château de cartes du COVID s’effondre : Le groupe d’experts de la FDA sur les vaccins se prononce contre les injections mortelles…!!!!

    Plusieurs médecins participant à l’audition sur les vaccins de la Food and Drug Administration (FDA) ont affirmé vendredi, dans un témoignage explosif, que le vaccin COVID-19 tue plus de personnes qu’il n’en sauve et qu’il est à l’origine de mutations du coronavirus, comme le variant Delta.

    Après huit heures de témoignages, le Comité consultatif de la FDA sur les Vaccins et les Produits biologiques connexes a voté à 16 contre 2 contre le programme de rappel du COVID-19 proposé par Joe Biden.

    Au cours de cette audience, le Dr Steve Kirsch, directeur du COVID-19 Early Treatment Fund, a affirmé que les injections tuent plus de personnes qu’elles n’en aident.

    « Je vais concentrer mes remarques aujourd’hui sur l’éléphant dans la pièce dont personne n’aime parler : les vaccins tuent plus de gens qu’ils n’en sauvent », a déclaré le Dr Kirsch par téléconférence.

    « Aujourd’hui, nous nous concentrons presque exclusivement sur les sauvetages de décès COVID et l’efficacité des vaccins, car on nous a fait croire que les vaccins étaient parfaitement sûrs. Mais ce n’est tout simplement pas vrai ».

    « Par exemple, il y a quatre fois plus de crises cardiaques dans le groupe de traitement dans le rapport de l’essai à 6 mois de Pfizer », a poursuivi Kirsch. « Ce n’était pas de la malchance. Le VAERS montre que les crises cardiaques sont survenues 71x plus souvent après ces vaccins par rapport à tout autre vaccin ».

    « En tout, 20 personnes sont mortes qui ont reçu le médicament, 14 sont mortes qui ont reçu le placebo. Peu de gens l’ont remarqué ».

    « Même si les vaccins avaient une protection de 100%, cela signifie toujours que nous avons tué deux personnes pour sauver une vie », a-t-il ajouté.

    Kirsch a également expliqué que les données sur les décès dans les maisons de retraite montrent qu’environ la moitié des vaccinés sont morts, alors qu’aucun des non-vaccinés n’est mort.

    Le Dr Jessica Rose, immunologiste et biologiste virale, a noté que, sur la base des données du VAERS, les risques liés au vaccin l’emportent sur les avantages chez les jeunes, en particulier les enfants, soulignant que les réactions indésirables à l’injection ont été multipliées par mille en 2021 par rapport à la dernière décennie.

    « Il y a une augmentation de plus de 1000% du nombre total d’événements indésirables pour 2021 et nous n’en avons pas fini avec 2021 », a déclaré Mme Rose.

    Rose a également déclaré que les données suggèrent que les vaccins COVID sont à l’origine de l’augmentation des mutations du COVID, comme les variants « alpha » et « delta ».

    « L’émergence de ces deux variants et leur regroupement ultérieur ont eu lieu à proximité temporelle du lancement des produits COVID en Israël », a-t-elle déclaré.

    « Israël est l’un des pays où l’on pratique le plus d’injections, et il ressort de ces données que ces produits n’ont manifestement pas réussi à conférer une immunité protectrice contre les variants émergents et à prévenir la transmission », a-t-elle ajouté.

    Un médecin urgentiste de la Nouvelle-Orléans, le Dr Joseph Fraiman, a fait remarquer qu’il n’existe pas suffisamment de données issues d’essais cliniques à grande échelle pour garantir aux Américains non vaccinés et bien informés que le risque de subir les effets secondaires d’un vaccin est inférieur au risque d’être hospitalisé.

    « Exigez que les essais de rappel soient suffisamment importants pour trouver une réduction des hospitalisations », a déclaré Fraiman au panel de la FDA. « Sans ces données, nous, l’establishment médical, ne pouvons pas interpeller en toute confiance les militants anti-COVID qui affirment publiquement que les vaccins nuisent plus qu’ils ne sauvent, surtout chez les jeunes et les personnes en bonne santé ».

    « Le fait que nous ne disposions pas des preuves cliniques permettant de dire que ces militants ont tort devrait tous nous terrifier », a-t-il ajouté.

    Après ces témoignages alarmants, il n’est pas étonnant que le comité de la FDA ait voté contre le programme de rappel.

    Le vote du comité de la FDA contre le programme de rappel représente un coup dur pour l’administration Biden, qui a annoncé en août son projet de déployer des rappels pour les Américains ayant déjà pris deux doses du vaccin.

    https://reseauinternational.net/le-chateau-de-cartes-du-covid-seffondre-le-groupe-dexperts-de-la-fda-sur-les-vaccins-se-prononce-contre-les-injections-mortelles/

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