Paludisme : la maladie de la sal’été

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Maladie de l’insalubrité, le paludisme est causé par un hématozoaire (petit parasite du sang) appelé « Plasmodium », transmis à l’homme par l’anophèle, c”est-à-dire la femelle du moustique.

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Dans le monde, 40 % d’individus sont menacés par le paludisme ou malaria. Cette maladie infectieuse, est une des premières causes de mortalité.

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Mais comment reconnaît –on le mal ? Le paludisme se manifeste par une fièvre continue ou intermittente. Ensuite, apparaissent des accès, pendant lesquels se succèdent des frissons violents. Mais aussi, une fièvre pouvant atteindre 41°C et des sueurs abondantes.

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En l’absence de traitement, chez le sujet infecté, apparaît le paludisme viscéral évolutif, qui se caractérise par une anémie, une râte volumineuse pouvant se rompre, une altération de l’état général du malade, avec une fièvre irrégulière.

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Comment le prévenir ?

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Le totem du moustique reste la propreté. Or, ce mot fait peur aux maliens. Surtout, les Bamakois, habitués à cohabiter avec les ordures ménagères et les fossés pourris.

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La moustiquaire imprégnée est un moyen efficace de prévenir le paludisme. S’y ajoute une flopée d’anti–palu, obtenus grâce à la synthèse de plusieurs molécules.

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La médecine traditionnelle propose le « Malarial », en vente dans toutes les pharmacies.

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En tout état de cause, donnez-vous la peine de vous faire consulter par un médecin, afin d’établir un bon diagnostic. Car, entre Palu et typhoïde, il n’y a qu’un pas, que seul un bon diagnostic peut vous aider à ne pas franchir.

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Docteur palmipède

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