Projet « Sos enfants talibés » de l’Association Alegria: De nombres organismes et personnalités s’engagent à accompagner l’initiative

Une bonne initiative, mais pourquoi organiser une soirée en faveur de talibés a l’hôtel Sheraton au lieu de Palais de la culture? Une telle initiative humanitaire n’a pas besoin des trucs de luxe haut-standing.. avec des sumus. Cependant, aucune association quelque soit sa bonne volonté ne pourra rien faire par rapport a ce fleau de mendicité des enfants au Mali (désolé de le dire). D’abord a commencer ce ne sont pas des “TALIBÉS”; mais plutôt des enfants exploités en flagrante violation de droits de l’enfant. Les talibés seraient ces enfants qui sont inscrits dans des ecoles coraniques qui tempes en temps sortent pour aller chercher quelque vivre (riz, mil, haricot, ou plats chauds etc..); mais ces milliers d’enfants que l’on voit déployés aujourd’hui sur nos grandes artères en train de quémander l’argent, ces parents criminels de jumeaux qui louent leurs enfants a 5000 f/ jour, ces enfants de 8 a 10 ans qui ramassent les cannettes d’alcool de la poubelle pour siroter les résidus… ne sont pas des talibés. Par ailleurs, ce fleau de mendicité des enfants n’est pas un probleme de moyens mais plutôt un probleme morale de la société qui provient directement de l’irresponsabilité d’un état laxiste. C’est un probleme pure et simple du laxisme chronique de l’état dont les conséquences sont visibles partout et dans tous les secteurs de la vie au Mali….. on est dans une jungle où il n y a ni loi ni foi chez la population qui fait tout ce qu’elle veut. La mendicité des enfants n’est qu’un seul mal parmi tant d’autres qui sévissent dans la société malienne sous le nez d’un état absolument inerte voire absent. On peut citer entre autres ces fléaux qui des la première vue expose les fesses d’un état pourri a un étranger en visite a Bamako: – Des milliers d’enfants mendiants (de 2 a 10 ans) déployés sur nos artères entre les voitures, souvent accompagnés par des adultes qui les surexploitent toute la journée sous l’ardent soleil de Bamako. Et nous les voyons ( nous “les grands hommes” ) depuis nos 4×4 vitre fumées et climatisées (et souvent accompagnés de nôtres de retour des écoles privées) – Des milliers d’animaux (chèvres, moutons, vaches, chevaux ) déployés dans nos carrés comme au village.. et de jeunes délinquants et mal-éduqués qui font les courses de chevaux en pleines rues a la terreur des enfants (souvent tamponnés par ces animaux ) – Des millions de jakartas, motos a grande vitesse (MGV) qui roulent comme des missiles (entre 100 et 120km/h) sur nos routes sous le nez d’une police irresponsable qui ne se soucie que de ses pitances de sourafin. Ces motos qui tuent, qui handicapent et causent 70% des accidents routiers sur nos routes. …. En conclusion: Une association ne pourra pas résoudre un probleme d’état… ex., au Sénégal ce ne sont pas des associations qui ont combattu le probleme de mendicité (exploitation) des enfants, mais l’État qui a pris ses responsabilités face aux criminels! Un probleme de criminalité relève avant tout de la compétence et responsabilité de l’état.

Une bonne initiative, mais pourquoi organiser une soirée en faveur de talibés a l’hôtel Sheraton au lieu de Palais de la culture? Une telle initiative humanitaire n'a pas besoin de trucs de luxe haut-standing.. avec des sumus. Cependant, aucune association quelque soit sa bonne volonté ne pourra rien faire par rapport a ce fleau de mendicité des enfants au Mali (désolé de le dire). D'abord a commencer ce ne sont pas des "TALIBÉS"; mais plutôt des enfants exploités en flagrante violation de droits de l'enfant. Les talibés seraient ces enfants qui sont inscrits dans des ecoles coraniques qui tempes en temps sortent pour aller chercher quelque vivre (riz, mil, haricot, ou plats chauds etc..); mais ces milliers d'enfants que l'on voit déployés aujourd’hui sur nos grandes artères en train de quémander l'argent, ces parents criminels de jumeaux qui louent leurs enfants a 5000 f/ jour, ces enfants de 8 a 10 ans qui ramassent les cannettes d’alcool de la poubelle pour siroter les résidus.... ne sont pas des talibés. Par ailleurs, ce fleau de mendicité des enfants n'est pas un probleme de moyens mais plutôt un probleme morale de la société qui provient directement de l’irresponsabilité d'un état laxiste. C'est un probleme pure et simple du laxisme chronique de l’état dont les conséquences sont visibles partout et dans les secteurs de la vie au Mali... c'est une jungle où il n y a ni loi ni foi chez la population qui fait tout ce qu'elle veut. La mendicité des enfants n'est qu'un seul mal parmi tant d'autres qui sévissent dans société malienne sous le nez d'un état absolument inerte voire absent. On peut citer entre autres ces fléaux qui des la première vue expose les fesses d'un état pourri a un étranger en visite a Bamako: - Des milliers d'enfants mendiants (de 2 a 10 ans) déployés sur nos artères entre les voitures, souvent accompagnés par des adultes qui les surexploitent toute la journée sous l'ardent soleil de Bamako. Et nous les voyons ( nous "les grands hommes" ) depuis nos 4x4 vitre fumées et climatisées (et souvent accompagnés de nôtres de retour des écoles privées) - Des milliers d'animaux (chèvres, moutons, vaches, chevaux ) déployés dans nos carrés comme au village.. et de jeunes délinquants et mal-éduqués qui font les courses de chevaux en pleines rues a la terreur des enfants (souvent tamponnés par ces animaux ) - Des millions de jakartas, motos a grande vitesse (MGV) qui roulent comme des missiles (entre 100 et 120km/h) sur nos routes sous le nez d'une police irresponsable qui ne se soucie que de ses pitances de sourafin. Ces motos qui tuent, qui handicapent et causent 70% des accidents routiers sur nos routes. .... En conclusion: Une association ne pourra pas résoudre un probleme d’état.... au Sénégal ce ne sont pas des associations qui ont combattu le probleme de mendicité (exploitation) des enfants, mais l’État qui a pris ses responsabilités face aux criminels! Un probleme de criminalité relève avant tout de la compétence et responsabilité de l’état.