Les coups de la vie : «Après s’être marié avec le fils, elle tombe amoureuse de son beau-père et …»

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    J’avais 11 ans, je vivais dans ma ville natale de Thiès, à 72 kilomètres de Dakar. Un jour, notre quartier était en effervescence à cause du retour de l’Imam Hadj Cissé. J’étais très jeune quand j’ai entendu dire beaucoup de bien de cet Imam. Il était allé approfondir ses connaissances en Arabie Saoudite. Il y a passé six ans et son retour a été annoncé à grands renforts de publicité. On n’arrêtait pas de vanter ses mérites et ses qualités spirituelles. Il est resté toutes ces années en Arabie Saoudite en laissant dernière lui ses trois femmes et ses cinq enfants. L’aîné de ses enfants se trouvait en Arabie Saoudite avec lui. Ce matin-là, j’ai accompagné ma mère au marché, car elle avait été choisie par la Communauté musulmane et les autorités pour la préparation des différents mets. Sans vraiment connaître cet Imam, l’idée de le rencontrer me rendait heureuse.

     

    L’Imam tant attendu, est arrivé très tard dans la nuit. Je dormais déjà. Très tôt le matin, je me suis réveillée en même temps que ma mère. Je voulais avoir des nouvelles de notre Imam. Ma mère m’a dit qu’il était arrivé et qu’elle devait faire à manger pour la réception et la lecture du Coran. Il y avait beaucoup de personnalités à recevoir. Les femmes de l’Imam ne pouvaient pas faire seules la cuisine. Ma mère a fait des boulettes de poisson et de viande, des vermicelles et du Tchen blanc. J’étais chargée d’envoyer la nourriture à la mosquée. À mon deuxième tour, j’ai eu le temps de bien observer l’Imam. Il était grand, un peu bronzé de teint et pas très gros. C’était un très bel homme. Il était très propre. Je l’ai tellement regardé qu’il a demandé à une de ses épouses qui j’étais. Je suis repartie à la maison en courant pour raconter à ma mère ce que j’avais vu. Ma mère s’est mise à rire. J’allais maintenant presque tous jours à la mosquée pour y déposer la nourriture. Et puisque l’Imam Hadj Cissé habitait la cour  de la mosquée, je le voyais presque tous les jours. C’était un peu comme un saint ou un homme inaccessible. Or, moi, je pouvais le voir très souvent. Et chaque fois, il me faisait des bénédictions et en faisait aussi pour ma mère. Je les lui transmettais en imitant la voix de Hadj Cissé, ce qui la faisait beaucoup rire.

    Plusieurs mois après son arrivée, ma mère et moi étions allées à la prière du vendredi. Hadj Cissé a demandée à ma mère de passer le voir ce soir-là. Il avait quelque chose d’important à lui dire. Lorsque nous sommes retournées à la maison, ma mère a commencé à s’inquiéter. Elle se demandait quelle faute elle avait commise pour être convoquée par l’Imam. Le soir venu, j’ai dit à ma mère que je voulais l’accompagner chez Hadj Cissé. Elle n’y a pas trouvé d’inconvénient. Nous nous sommes rendues toutes les deux à la mosquée. Hadj Cissé recevait des gens pour régler un litige. Il fallait donc attendre auprès de ses épouses qui n’arrêtaient pas de dire à ma mère que j’étais jolie et bien élevée. Puis, Hadj Cissé a appelé ma mère. Il voulait la voir seule. Lorsqu’elle est sortie de son entretien, elle était plutôt gaie. J’étais rassurée. À  la maison, j’ai demandé à ma mère de me rendre compte de son entrevue avec Hadj Cissé. Elle m’a dit que cela me concernait, mais qu’il fallait d’abord qu’elle discute avec mon père vivant en Côte d’Ivoire. Ma mère lui a parlé au téléphone. Plus tard, elle m’a informé que l’Imam voulait que je sois la promise de son fils N’Diaga qui étudiait en Arabie Saoudite. Je ne le connaissais pas bien, mais l’idée me plaisait, car je voulais aller vivre chez l’Imam. Apparemment, mes parents étaient d’accord. Ma mère vantait déjà les qualités de N’Diaga. Il avait encore cinq ans d’études à faire avant de revenir au Sénégal pour être, lui aussi, Imam. Je l’imaginais un peu comme son père. Les premières cérémonies des fiançailles ont été faites, c’est-à-dire les premiers colas.

    Je grandissais en pensant à mon futur mari que je n’avais encore jamais vu. C’était toujours l’image de son père qui alimentait mes pensées. Lorsque j’imaginais mon foyer, je me voyais en parfaite harmonie avec l’Imam et cela me rassurait. En plus d’être Imam, Hadj Cissé savait lire et écrire le français et l’arabe. Il était véhiculé et représentait tous les Imams aux cérémonies politiques ; ce qui faisait qu’on le voyait souvent à la télé. J’avais beaucoup d’admiration pour lui. J’étais maintenant très fréquente chez eux, puisqu’officiellement, j’étais la belle-fille de Hadj Cissé. Il avait beaucoup d’estime pour moi et m’avait inscrite à l’école franco-arabe. Il vérifiait mes notes, payait mes fournitures et me donnait régulièrement de l’argent pour mes besoins. C’était aussi un très bon père de famille. Jamais, je n’avais vu ses femmes se disputer. Elles étaient comme des  sœurs. Lorsqu’il voulait offrir un cadeau, il l’offrait aux trois pour ne pas faire de jalouse. Il était juste. J’imaginais mon mariage aussi paisible et sans histoires, puisque N’Diaga était le portrait craché de son père, d’après les dires de sa mère.

    J’avais 16 ans quand N’Diaga devait rentrer au pays. Mon beau-père n’arrêtait pas de me complimenter. Il disait qu’il était fier du choix qu’il avait fait pour son fils et que l’année suivante, il ferait le mariage. Puis, le fils de l’Imam arriva, impatiente de faire sa connaissance. Son accueil n’était pas aussi grandiose que celui de son père. C’était normal, car N’Diaga n’avait pas la même popularité que lui. Pour l’accueillir, il y avait juste la famille. Nous étions en train de faire la cuisine, lorsque Hadj Cissé est arrivé avec N’Diaga. J’avoue que je ne m’attendais pas à ce que j’ai vu. Physiquement, N’Diaga n’avait rien de commun avec Hadj Cissé. Il était gros, noir et de petite taille. Le portrait de sa mère ! J’étais un peu déçue, mais je me disais que le plus important, c’était les caractères : s’il ressemblait à son père, j’aurais gagné. Hadj Cissé a fait les présentations et visiblement, N’Diaga était content du choix de son père. Il le lui a fait savoir. Sans trop me vanter, j’étais très jolie, avec les rondeurs d’une vraie femme africaine.

    J’étais très souvent chez l’Imam, car je voulais être proche de mon fiancé pour mieux le cerner avant notre mariage. Il m’arrivait de rester discuter avec lui jusque tard dans la nuit et il me raccompagnait. Je sentais qu’il m’aimait. Mais, pour moi, les choses allaient au ralenti. Je ne voyais rien d’Hadj Cissé chez N’Diaga. Il voulait me faire l’amour avant notre mariage. Bien sûr, j’ai refusé. N’Diaga se plaignait beaucoup. Un peu bagarreur sur les bords et très sournois, il me décevait de jour en jour. Hadj Cissé avait remarqué que je n’étais plus très fréquente chez lui. Il m’a donc fait appeler pour comprendre ce qui n’allait pas. J’avais du mal à m’exprimer. Finalement, je lui ai dit que son fils voulait me faire l’amour avant notre mariage, ce qui n’était pas correct. En plus, je ne l’imaginais pas comme ça. En parlant à Hadj Cissé, j’avais les larmes aux yeux. Il était malheureux. Il m’a conseillé de ne pas accepter les propositions de son fils. Il me soutenait. Il m’a fait comprendre qu’il avait sa personnalité qui lui était propre et que N’Diaga avait la sienne. Il a pris l’exemple de ma mère et moi. Effectivement, je n’avais aucune ressemblance avec mère. Hadj Cissé a longuement parlé et il m’a rassurée. Il tenait vraiment à ce que je sois sa belle-fille et je n’avais pas intérêt à le décevoir.

    J’ai donc recommencé à fréquenter N’Diaga jusqu’au mariage. Notre nuit de noces a été triste. Je faisais l’amour pour la première fois, mais j’ai été déçue. N’Diaga m’a brutalisée, il n’avait fait montre d’aucune douceur. J’ai vu dans les films qu’on embrassait d’abord la femme, qu’on lui faisait de petits câlins avant  de lui faire l’amour. N’Diaga ne m’a rien fait de tout cela. J’ai passé toute la nuit à pleurer. Je ne m’attendais vraiment pas à cela. Les autres jours étaient pareils. N’Diaga me faisait l’amour chaque soir et tôt le matin, avant la prière de l’aube. J’en avais marre. Il se faisait plaisir sans penser à moi. Après chaque rapport sexuel, je ressentais des brûlures au niveau de mes parties intimes.

    J’avais beau me plaindre, les choses ne changeaient pas. J’avais fini par me convaincre que c’était comme ça dans tous les couples. Puis, je suis tombée enceintée. Je maigrissais de jour en jour. J’habitais non loin de ma belle-famille. Tous les jours, je devais passer déposer la nourriture  de mes beaux-parents. C’était la coutume. En vérité, c’étaient mes meilleurs moments. Voir Hadj Cissé me sourire et même me donner de l’argent en cachette, car il me sentait triste et malheureuse avec son fils, était réconfortant. Ce mariage était loin d’être ce à quoi je m’attendais. N’Diaga n’était pas aussi bon que son père. Il prenait de la drogue tous les soirs. Lorsque j’en ai parlé à son père, mon mari m’a battue toute la nuit en disant que la drogue lui permettait de veiller pour ses prières. Il était toujours énervé et maladroit. Ma grossesse me fatiguait beaucoup, au point que Hadj Cissé m’a interdit de faire la cuisine. Ses femmes nous apportaient à manger. Pour N’Diaga, je n’existais plus. Son père avait beau essayer de le raisonner, il ne changeait pas. Il ne me touchait plus et il me disait ouvertement qu’il n’aimait pas les femmes enceintes. J’étais contente qu’il ne me fasse plus l’amour, car je ne ressentais pour lui que du dégoût. Seul, mon beau-père m’aidait à le supporter encore, car même ma mère ne voulait rien entendre lorsque je lui racontais mes problèmes conjugaux.

    La goutte d’eau qui a fait déborder le vase, c’est qu’à huit mois de ma grossesse, N’Diaga a épousé une autre femme. Son père était malheureux et honteux. Il m’a suppliée presqu’en pleurs de ne pas tenir compte des agissements de son fils. Il m’a dit qu’après l’accouchement, il me donnerait de l’argent pour faire le commerce. Le trousseau et les médicaments, c’était l’Imam qui s’en occupait.

    Avant l’accouchement, j’ai emménagé dans ma belle-famille. Hadj Cissé me rendait visite tout le temps dans ma chambre. C’est  à peine si N’Diaga venait me voir. J’ai accouché d’un garçon qu’on a baptisé Hadj Cissé. J’étais très contente que mon fils porte le nom de mon beau-père. Après le baptême du petit Hadj Cissé, j’ai regagné mon foyer. L’atmosphère était plutôt tendue à la maison. N’Diaga se consacrait  entièrement à sa nouvelle Sarah. Franchement, Sarah était très gentille avec moi. Elle se proposait de m’aider lorsque j’étais très occupée, mais N’Diaga n’appréciait pas qu’elle me parle. Lorsque  mon fils a eu six mois, une, N’Diaga est venu dans ma chambre. Il voulait me faire l’amour. J’ai refusé et il m’a battue. J’ai fui pour me refugier chez son père. Ce jour-là, Hadj Cissé était tellement énervé qu’il a failli porter la main sur son fils. N’Diaga a dit devant tout le monde qu’il ne voulait plus de moi, qu’il me répudiait. Mon beau-père pleurait, tellement il s’en voulait. Il m’a tenu dans ses bras et m’a demande pardon pour tous ces moments de souffrance. La même nuit, il a fait ramasser toutes mes affaires de chez N’Diaga pour les ramener chez lui. Il a pris l’engagement devant tous de s’occuper de moi jusqu’à ce que j’aie un autre mari. Vraiment, Hadj Cissé ne méritait pas un fils comme N’Diaga, drogué et bagarreur. Lorsque mon fils a eu un an et demi, j’étais toujours chez Hadj Cissé. J’avais repris des forces. Mon ex beau-père était tellement disponible pour moi que… je suis tombée amoureuse de lui. Je l’aimais peut-être depuis longtemps sans comprendre que c’était de l’amour. J’étais persuadée qu’il le savait lui aussi. Souvent, je surprenais son regard sur moi. Il baissait les yeux comme un voleur. Il était toujours avec mon fils. N’Diaga était à nouveau papa, car Sarah venait de lui donner un autre enfant. Elle aussi en avait marre de lui. Elle venait me voir tout le temps pour pleurer. Contrairement à elle, moi, j’étais soutenue par Hadj Cissé.

    Un soir, Hadj Cissé m’a fait appeler par mon fils et m’a remis 500.000 francs. Il m’a dit de rentrer en Côte d’ivoire rejoindre mon père, histoire de changer d’air. Il m’a demandé de lui laisser son homonyme, mais je voulais aussi que mon père fasse sa connaissance. Je me suis  donc retrouvée en Côte d’ivoire, chez mon père, avec mon fils. Tous les jours, Hadj Cissé nous téléphonait  du Sénégal pour avoir de nos nouvelles. Je savais qu’il m’aimait, mais il ne savait pas comment le manifester. Moi, j’étais folle de lui. Il était pour moi le modèle d’homme parfait. En Côte d’Ivoire, je vivais chez mon père qui est bijoutier à Cocody. Sa bijouterie est très réputée et il gagne beaucoup d’argent. Il m’a proposé de rester avec sa deuxième épouse et travailler. Mais, à cause d’Hadj Cissé, je n’arrivais pas me décider. Imaginer que je ne le verrai plus comme avant, me rendait  malade. J’ai expliqué à Hadj Cissé que mon père voulait que je reste en Côte d’Ivoire, puisque plus rien ne me retenait au Sénégal. Il était très triste. Je l’ai senti dans sa voix. Il m’a donc annoncé qu’il viendrait à Abidjan pour  voir son petit-fils. J’avais hâte de le voir. Durant tout le temps que nous avions  passé à Abidjan, Hadj Cissé nous envoyait régulièrement de l’argent. À Abidjan, on me draguait partout. Parmi mes dragueurs, il y avait un ami de mon père que ma belle-mère appréciait beaucoup. Il était très gentil. Mais, pour moi, il n’existait pas. J’attendais impatiemment l’arrivée de Hadj Cissé.

    Le jour de son arrivée, j’étais comparable à quelqu’un qui attendait le retour de son amoureux. Je tenais à ce qu’il me trouve belle et séduisante. Je souhaitais de tout mon cœur qu’il me déclare enfin son amour. Je suis allée l’accueillir à l’aéroport avec mon père et mon fils. Lorsque je l’ai vu sortir du hall, mon cœur s’est mis à battre très fort. Il était très content de voir son petit-fils. Pendant tout le trajet, il ne faisait que parler avec lui. Moi, je n’arrivais même pas à placer un seul mot. J’étais folle d’amour pour lui. À la maison, ma belle-mère avait tout organisé pour le dîner. Hadj Cissé a préféré s’installer à l’hôtel.

    Deux jours après son arrivée, mon beau-père n’avait toujours rien dit d’important à mon sujet. J’ai accompagné Hadj Cissé à son hôtel. Lorsque nous sommes arrivés devant l’hôtel, il m’a dit qu’il se faisait tard et que je devrais rentrer à la maison. Je lui ai dit que je voulais lui parler. Nous nous sommes installés dans sa chambre. Visiblement, Hadj Cissé était très embêté  d’être seul en face de moi. Je crois qu’il devinait aisément mes pensées. J’avais du mal à placer les mots. Mes larmes  ont commencé à couler. Hadj Cissé est venu se mettre à genoux devant moi. Il m’a relevé la tête, m’a fait un baiser sur le front avant d’essuyer mes larmes. Je voulais qu’il m’embrasse pour que je ne sois  pas obligée de parler, mais il est retourné s’asseoir. Entre deux sanglots, je lui ai dit que je l’aimais et que j’en souffrais terriblement depuis toujours. Hadj Cissé est resté près de cinq minutes, sans rien dire. La pièce était calme. J’étais gênée. Puis, il est venu vers moi, m’a prise par la main et m’a dit qu’il voulait que je lui pardonne tout ce qu’il m’avait fait subir pendant toutes ces années. Hadj Cissé m’a avoué qu’il ressentait aussi quelque chose pour moi, mais que c’était difficile d’envisager quoi que ce soit avec moi. Vu que j’avais été l’épouse de son fils. En plus, il y avait la différence d’âge. Moi, je n’avais rien à cirer de l’âge. Pour moi, l’amour seul suffisait. Hadj Cissé avait 56 ans et moi 22 ans. Près de 34 ans de différence d’âge. Il trouvait que ce serait scandaleux qu’il épouse l’ex-femme de son fils. Il était trop aimé pour décevoir sa communauté de la sorte. Il est revenu se mettre à genou devant moi, m’a embrassée sur la bouche et il m’a dit qu’une histoire d’amour entre lui et moi n’était pas possible. Personne ne comprendrait. Et comme il était Imam, vu son statut, jamais il n’oserait coucher avec moi, sans que nous ne soyons mariés auparavant. Mariée ou pas, je voulais faire l’amour avec Hadj Cissé. Mais, il n’a rien voulu savoir, car il était trop pieux. J’étais prête à affronter tout le monde.

    J’ai moi aussi étudié le Coran et nulle part, je n’ai vu qu’on ne pouvait épouser son ex-belle-fille. Je le veux pour la vie, car lui seul peut me rendre heureuse. Mais, Hadj Cissé est retourné au Sénégal après 3 jours passé en Côte d’Ivoire, alors qu’il avait prévu passer une semaine. Il est parti en me laissant avec mon amour impossible( ?). J’ai pensé qu’il changerait d’avis, mais il a été ferme. Il ma conseillé d’épouser Fall, l’ami de mon père, mais j’hésite.

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                               Rédaction

     

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    7 COMMENTAIRES

    1. vraiment trés belle histoire,émouvant,merci à vous ladji cissé,vous étez un pieux croiyant ,bref un bon musulman,car c’est un amour INTERDIT,q’allah nous guide ds le droit chemin amine

    2. Tous leas amours ne sont pas soldés par un mariage, je sais de quoi je parle.

      La realité est en face de toi, tu dois tourner la page malgré toute la difficulté que ca implique.

      Bonne chance.

    3. Allah Akhbar, louange à Allah Seigneur des monde. Celui qu'Allah guide personne ne peut l'égarer et celui qu'Il égare personne ne peut le guider. Cette histoire témoigne de l'Islam authentique et de la piété de l'imam en question.
      maintenant je dirais à ma sœur de bien lire la sourate les femmes Verset 23 du saint Coran pour les femmes qui sont interdites au mariage à un homme. "Vous sont interdites vos mères, sœurs, tantes paternelles et tantes maternelles, filles d'un frère et filles d'une sœur, mères qui vous ont allaités, sœurs de lait, mères de vos femmes, belles-filles sous votre tutelles et issues des femmes avec qui vous avez consommé le mariage;si le mariage n'a pas été consommé,ceci n'est pas un péché de votre par; les femmes de vos fils nés de vos reins; de même que deux sœurs réunies – exception faite pour le passé. Car vraiment Allah est pardonneur et Miséricordieux;"
      Seigneur protège ns des ruses des femmes comme Tu as protégé Youssouf aleyhis salam Ton prophè de la femme du roi Zulikha ainsi qu'aux autres femmes amine.

    4. Ne confondez pas deux choses differentes. Le fils adoptif est diffrent du vrais fils. L’ex femme du fils est interdite au père à vie et l’ex femme du père l’est aussi pour le fils.

    5. Voilà un excellent récit qui doit être graver dans les anales de l’histoire des hommes et du monde.Nous disons félicitation à Cissé et merci et à cette fille de nous en raconter cet recit qu’Allah nous guide et qu’Il Pardonne salam

    6. Le Prophète Paix sur Lui a bien marié l’ex femme de Ziad son enfant adoptif.

      La dame elle même se ventait de ses coépouses que c’Est Dieu Lui Même qui a indiqué au Prophète de la marier malgré la réticence de ce dernier. Seulement, Ziade n’était qu’un fils adoptif, mais à l’époque la réaction des arabe était contre ce type d’union.

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