Mali : la stratégie du chaos pour la mainmise de l’uranium, du gaz et du pétrole ?

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Mali: à Kidal, la tension loin d’être retombée
gouvernorat de Kidal

Alors que nous laissions entendre depuis fort longtemps que le conflit qui secoue le Mali depuis de nombreux mois est fortement lié à des odeurs de gaz, de pétrole et plus globalement à ses ressources énergétiques et minières telles l’or et l’uranium, la presse malienne enfonce le clou. Rappelant les propos prophétiques du Guide de la révolution libyenne, Mouammar Kadhafi – qui avait décidément tout compris – les journalistes maliens subodorent désormais que les tensions qui secouent le pays sont intimement liées à son potentiel.

A l’occasion d’un de ses nombreux déplacements au Mali, Kadhafi avait ainsi déclaré : « Le nord du Mali est très riche en ressources minières. Si vous ne preniez garde, un jour les occidentaux vont venir s’installer définitivement pour exploiter vos richesses…  ».

Tel pourrait bien être le cas …. Une situation que nous évoquions ici-même au sein de plusieurs articles dédiés à ce sujet. Et qui fut également évoquée lors d’un reportage sur Arte pour le moins éloquent.

Désormais, selon la presse malienne, des sources locales annoncent que l’exploitation de l’uranium de Kidal serait en cours avec la complicité de la la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), laquelle regroupe les groupes armés touaregs et arabes.

Certes, le journal « l’Aube » concède qu’il est « difficile de vérifier l’exactitude de cette information, dans une zone inaccessible aux autorités et autres ressortissants maliens ».

Mais, ajoute le journal, « tout porte à croire que la région de Kidal n’est pas « protégée » pour rien », les lieux semblant attirer non seulement terroristes et bandits … mais également des puissances étrangères désireuses d’avancer leurs pions …

Comme nous l’indiquions ici-même, des « intérêts colossaux seraient en jeu ». Une raison selon le journal de faire de cette localité  une véritable «  forteresse «  ou zone interdite.

« Certains Maliens sont toujours convaincus que la défaite de l’armée face aux rebelles de Kidal, n’était pas un fait du hasard. Les rebelles auraient certainement bénéficié du soutien d’une main invisible, l’appui d’une puissance étrangère » ajoute tout net le journal.

« L’on comprend aisément pourquoi l’armée et l’administration maliennes ne sont pas, pour le moment, les bienvenues à Kidal. Il faut les maintenir loin (et très loin) pour écarter tous les soupçons qui peuvent peser sur les complices des rebelles de Kidal, notamment des pays étrangers qui se disent « amis » du Mali » précise enfin l’Aube.

Disant tout haut ce que nous soupçonnions tout bas, le journal affirme également que des actions pourraient être menées « non seulement justifier la présence étrangère au Mali » mais également « empêcher par la même occasion que d’autres partenaires du Mali ne s’intéressent aux ressources minières » du pays. Stratégie particulièrement appréciée des Etats-Unis, soit dit en passant.

« Pour réussir leur coup, ces puissances étrangères n’occultent aucune alternative. C’est pourquoi, d’autres observateurs voient dans les attentats et autres attaques de ces derniers jours une stratégie malsaine pour maintenir notre pays dans le chaos ». Cela a le mérite d’être clair, et la langue de bois n’est plus de mise …

Comme nous vous en informions, d’autres ressources minières du nord suscitent les convoitises de ces puissances étrangères, telles celles du bassin de Taoudeni, dont nous vous parlions avant même que n’éclate le conflit en 2012. Simple hasard ? Cette région devrait pencher bientôt en faveur des rebelles de la CMA. Tandis que le français Total, l’italien ENI et l’algérien SONATRACH ont d’ores et déjà placé leurs pions.

« Selon des observateurs, l’affectation de ces blocs à ces sociétés étrangères n’a pas été du goût de certaines puissances occidentales », précise encore le journal. Ajoutant que ces dernières « n’ont pas hésité à utiliser des moyens peu orthodoxes pour déstabiliser » le Mali « en jouant probablement au pompier – pyromane ».

« En tout cas, depuis le lancement des travaux de recherche du pétrole, le nord du Mali n’a plus connu de stabilité à cause de ce complot international mis en œuvre par des complices, à travers des revendications ethniques » soutient l’Aube, osant enfin dévoiler la vérité de cette mascarade au grand jour.

Mais cela n’est pas tout : le Mali regorgerait également de ces très précieuses terres rares, même s’il ne s’agit que d’un potentiel, leur exploitation n’ayant pas débuté.

En dehors des achats de matériel militaire qui pourraient s’avérer fort lucratifs pour les finances de l’Hexagone, rappelons que c’est fort discrètement que le 23 et 24 octobre 2014, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense de la République française, s’est rendu à Dakar, accompagné par son homologue espagnol, monsieur Pedro Morenés Eulate, et ce, avant de se rendre  à Bamako. En ligne de mire : le Forum de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique, avais-je alors suggéré, supputant également qu’il puisse s’agir de contrats pétroliers …

Quelques recherches sur internet avec les mots clés « Mali » et « Repsol » auront alors conforté mes premières intuitions.

En effet, selon les termes même de Afrimag, pas plus tard qu’en avril 2014, le groupe énergétique espagnol Repsol a annoncé avoir gagné le jackpot à Taoudéni. Taoudéni, bassin pétrolier et gazier très prometteur que je soupçonne depuis fort longtemps – et ce, bien avant le déclenchement de la guerre au Mali  – être à l’origine des tensions qui frappent la région depuis quelques mois.

Rappelons en effet que le bassin de Taoudéni  est un large bassin couvrant une zone de plus de 500000 km2 sur la partie Sud et Est de la Mauritanie, et se prolongeant vers l’Est jusqu’à une zone similaire dans la partie Ouest du Mali. Offrant ainsi des ressources en matières premières qui ne peuvent qu’attirer les appétits ….

Malgré la taille gigantesque du bassin, seulement 6268 km de levés sismiques 2D ont été acquis dans la partie mauritanienne du bassin, et seuls deux puits y ont été forés Abolag-1 (Texaco, 1974) et Ouasa-1 (Agip, 1974).
En avril 2014, Repsol  a ainsi déclaré via communiqué de presse que des indicateurs « très probants » attestaient l’existence de quantités considérables de pétrole dans le bassin de Taoudéni. Ravivant ainsi les espoirs de la Mauritanie de devenir un grand producteur de pétrole. Selon la presse internationale, le groupe espagnol aurait décidé, le 18 mars 2014, de proroger ses opérations de prospection dans le bloc 10  du bassin, côté mauritanien.

Un nouvel espoir, donc, pour Repsol, un temps échaudé par l’évaluation peu convaincante d’un précédent forage. Le groupe était même à deux doigts de quitter la Mauritanie, avant la découverte de ces nouveaux indices attestant la présence de réserves considérables de pétrole dans le bloc 10 du bassin de Taoudéni.

Alors que nous avions alerté avant même le début du conflit malien, que le Sahel et ses richesses pétrolières et gazières pouvaient conduire la région au chaos, situation que certaines puissances mondiales auraient intérêt à développer, histoire de s’approprier les ressources locales ou au « mieux » éviter qu’elles ne tombent aux mains de leurs concurrents – les faits semblaient nous donner raison à plusieurs reprises. Mêlant à la fois le pétrole, les ressources énergétiques de l’Afrique … et les paradis fiscaux tels que les îles Caymans.

Un communiqué du Conseil des ministres tenu le 10 juillet 2013 au Mali faisait en effet état d’un accord de 35 millions de dollars portant sur le partage de production du bloc 6 de Taoudeni, l’exploitation, le transport et le raffinage des hydrocarbures liquides ou gazeux.

La convention avec  la société de droit des Iles Caïmans est inscrite « dans le cadre de la promotion de la recherche et de l’exploitation d’hydrocarbure pour favoriser le développement économique du Mali », avaient précisé les autorités maliennes …

Ladite convention a été approuvée par un projet de décret adopté par le Conseil des ministres tenu sous la présidence du chef de l’Etat par intérim, le professeur Dioncounda Traoré. Un accord signé quelques jours à peine avant un scrutin majeur pour le pays, l’élection présidentielle devant se tenir avant la fin du mois de juillet au Mali …

Rappelons par ailleurs qu’en février 2013, des medias algériens avaient indiqué que Sonatrach avait décidé de geler l’ensemble de ses activités dans le bassin de Taoudeni. Une décision qui intervenait alors qu’en 2012, le groupe énergétique algérien avait pu obtenir une prolongation de deux ans de son contrat d’exploration accordé par le gouvernement malien.

La presse algérienne rappelait parallèlement que depuis 2007, l’Algérie avait du faire face à une rude concurrence avec des compagnies internationales pour la prospection pétrolière dans le bassin de Taoudeni, tel le français Total mais également Woodside, Dana, IPG, le chinois CNPCIM, l’espagnol Repsol, l’égyptien Foxoil.

Si en 2006, le groupe pétrolier ENI avait pu acquérir cinq licences en partenariat avec la société publique algérienne Sonatrach dans la zone, un porte-parole du groupe avait indiqué au début 2013 que la société italienne avait rendu ses licences. Raisons invoquées par ENI : « le très faible potentiel de la région ». Tout en précisant que les licences avaient été rendues avant le début de l’opération militaire française Serval.

Reste que la revue Africa Energy Intelligence annonçait quant à elle le 8 janvier 2013, que le 18 décembre 2012, soit trois jours après sa reconduction au gouvernement, le ministre malien des mines Amadou Baba Sy avait signé un décret stipulant la reprise par l’Etat malien du bloc 4 jusqu’alors opéré par ENI et Sipex (Sonatrach).

En février 2011, la presse algérienne indiquait que le groupe français Total et le groupe énergétique national algérien Sonatrach avaient dans leurs besaces plusieurs projets au Sahel. L’essentiel semblant être pour les deux groupes de « rafler » le plus de projets possibles, au Mali et au Niger.
Rappelons parallèlement qu’en 2012, à trois mois de l’élection présidentielle, le gouvernement malien, déjà confronté aux enlèvements d’al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) et à la menace d’une crise alimentaire, avait dû faire face à une nouvelle rébellion touareg puis à un coup d’état. Ces attaques étant alors les premières de ce type depuis un accord ayant mis fin à la rébellion mais également depuis le retour de Libye de centaines d’hommes armés ayant combattu aux côtés des forces du leader libyen Mouammar Kadhafi.

En avril 2011, la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton s’était prononcée quant à elle en faveur d’une aide de 25 millions de dollars pour les rebelles libyens. Aide qui n’inclurait pas la fourniture d’armes … si l’on en croyait ses propos. Des subsides destinées à permettre aux rebelles de lutter contre les mercenaires de Kadhafi. Ces derniers étant en grande partie des milliers de jeunes Touareg, recrutés pour apporter leur soutien au dirigeant libyen, selon la presse.

Une situation qui inquiétait d’ores et déjà grandement le Mali, lequel redoutait dès cette période des répercussions dans la région, et plus particulièrement au Sahel, tout juste identifié – hasard de calendrier ? –comme un nouvel eldorado pétrolier.
Précisons que ces populations nomades originaires du Mali, du Niger, et de l’Algérie ont, depuis les années 80, trouvé refuge auprès de l’ex dirigeant libyen lui promettant de sécuriser le Sud-Soudan, en échange de sa protection.

«Nous sommes à plus d’un titre très inquiets. Ces jeunes sont en train de monter massivement (en Libye). C’est très dangereux pour nous, que Kadhafi résiste ou qu’il tombe, il y aura un impact dans notre région », avait ainsi déclaré Abdou Salam Ag Assalat, président de l’Assemblée régionale de Kidal (Mali). « Tout ça me fait peur, vraiment, car un jour ils vont revenir avec les mêmes armes pour déstabiliser le Sahel » avait-t-il ajouté.

Situation d’autant plus inquiétante que Mouammar Kadhafi aurait pu être également tenté – la manne pétrolière aidant – de recruter auprès des jeunes Touaregs du Mali et du Niger, avais-je alors indiqué.

A Bamako et à Niamey, des élus et des responsables politiques craignaient d’ores et déjà à l’époque que la chute de Kadhafi provoque un reflux massif de réfugiés touaregs dans une région du Sahel déjà très fragile, une situation qui pourrait conduire à une déstabilisation de la région … redoutaient-ils alors.

Elisabeth STUDER

 

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64 COMMENTAIRES

  1. La France est tellement inconscient Il faut voir le cas du rebelle OUADOUSSENE, ce dernier a fait combien de victime suite à son évasion et durant son parcours dans la rébellion Mais le gouvernement malien a accepté tout ces coups et pardonner cela en lui donnant en échange contre 😥 😥 SERGE LAZAREVICH un français simple Si elle veut, elle n’a qu’à ramener tout ce qui les appartient ici au Mali et on verra si le Mali marchera ou pas. :mrgreen La France visait KIDAL seulement et maintenant elle a mis sa main sur la dessus donc pour bien réussir son coup 😆 😆 elle interdit aux famas de se rendre là bas. A bas la FRANCE ❗ ❗ ❗

  2. La France sait et peut mettre fin en un clin d’œil la crise du Mali. Le MNLA c’est la France et ils sont en mission de la France, ALAIN JUPE a confirmé cela.

  3. Bien vrai que la France est venu nous sauver mais elle est venu sauver plus précisément les 4600 ressortissants français qui y se trouvaient ici en ce temps.

  4. a France était présente à KIDAL avec les yeux ouvertes au moment ou la visite de MOUSSA MARA a été attaquée par le MNLA, c’est la France qui bloquait tous les armements que le Mali devait se procurer en pleine crise Si ce fameux rédacteur vient dire des n’importe quoi pour cacher la responsabilité de la France dans cette crise c’est insensible.

  5. Il ne faut pas qu’ils nous bernent en disant que la France est venu nous sauver. Oui bien vrai qu’elle nous est venue en aide et même actuellement elle fournit un peu d’effort encore mais n’oublie pas que secourir le Mali arrangeait le Mali comme la France parce qu’en ce moment il y’avait plus de 4000 ressortissant français au Mali. Leur intervention était primordiale pour elle d’abord.

  6. La France est tellement inconscient Il faut voir le cas du rebelle OUADOUSSENE, ce dernier a fait combien de victime suite à son évasion et durant son parcours dans la rébellion Mais le gouvernement malien a accepté tout ces coups 😥 😥 😥 et pardonner cela en lui donnant en échange contre SERGE LAZAREVICH un français simple Si elle veut, elle n’a qu’à ramener tout ce qui les appartient ici au Mali et on verra si le Mali marchera ou pas.

  7. It is time to stop giving importance to the white man, they are all the same. This time they showed that Mali can exist without them. It’s time to wake up, it’s time to our own garlic stolen, it’s time for Mali to get rid of the French

  8. All these are aspects that we need to understand how it is to be attached to our country and we support us.
    In Africa we are more interested by interests that are driving down our brethren that interests us forward one must learn to abandoned any ideas of poor results for the country.
    Let us be united behind our government and in life, it is the union that is strength.

  9. It is for us to take our responsibilities, we must go home !!! WE CHILDREN immigrants, share knowledge gained in France, the French & French inbred do not want, we have a duty to go and work on the land of our ancestors for the good of all & all.
    Encourage us to do !!! And stop contributing to the happiness of those who do not want ours, this is our heritage that we must defend.
    GOD bless and protect the MALI.

  10. Pero todas las razones para creer que ella no quiere irse. Eso, en espera de la firma del Acuerdo de Defensa que le permitirá tomar una posición clara. Pero confiamos en la parte diplomática de Francia no cometer el MALI su campo de juego.

  11. Si les français ont réussi à faire détruire la Libye, ils ne parviendront pas avec le Mali car les Libyens n’ont pas soutenu leur président. Mais au Mali ça ne sera le cas, car on soutient tous notre président, et on sait que l’union fait la force

  12. C’est la France qui est à la base de tous les problèmes du Mali. Les français ont l’œil sur la richesse du nord, mais est temps qu’ils se font l’idée cela appartient a notre pays

  13. Mais toute porte à croire qu’elle ne veut plus quitter. Cela, en attendant la signature de l’Accord de défense qui lui permettra d’adopter une position claire. Mais nous comptons sur le côté diplomatique de la France pour ne pas faire du MALI son terrain de jeu.

  14. Il faut qu’on se lève et chassé la minusma de notre pays. Les français sont là pour nous mettre le bâton dans la roue pour qu’on ne puisse pas avancé. C’est la France qui en train de semé la guerre dans notre pays a cause de nos richesses

  15. C’est à nous, de prendre nos responsabilités, il faut rentrer chez nous!!! NOUS ENFANTS immigrés, partager nos connaissances acquise en France, que les français & françaises de pure souche ne veulent pas, nous avons le devoir de rentrer et œuvrer sur la terre de nos ancêtres pour le bien de tous & toutes.
    Encourageons-nous à le faire !!! Et cessons de contribué au bonheur de ceux qui ne veulent pas le nôtre, c’est notre Héritage que nous devons défendre.
    Que DIEU bénisse ET protège le MALI.

  16. Nous subodorons ce qui se passe auMali .
    La responsabilité manifeste des occidentaux- par ses guerres, ses
    Luttes d’influence, ses probables manipulations informatiques dans
    les révolutions arabes (avec l’assentiment de l’Arabie et du Qatar
    ) – dans l’établissement d’un pan sunnisme au plan mondial avec sa
    Composante exacerbée salafiste (qui se manifeste à nouveau au Mali
    Depuis des années et ailleurs dans le monde, Irak, Afghanistan,
    Lybie, Syrie, Maghreb, etc.) aux dépens dans les faits et dans
    L’idée des occidentaux, des chiites et de l’Iran, est le plus
    Souvent éludée par nos experts ou spécialistes du village
    Audiovisuel.

  17. Tous ceux-ci sont des aspects qui doivent nous faire comprendre combien on doit être attaché à notre pays et nous soutenir entre nous.
    En Afrique nous sommes plus intéresser par des intérêts qui font chuter nos autres frères que des intérêts qui nous font avancer on doit apprendre à renoncé à tout autre idées de mauvaise résultat pour le pays.
    Soyons unis derrière notre gouvernement et dans la vie, c’est l’union qui fait la force.

  18. Le Mali est Un pays qui dispose d’importantes ressources de matières premières qui peuvent attiser les convoitises des pays développés et des grands groupes internationaux toujours plus gourmands. Or, pétrole, gaz, uranium et terres rares, le sous-sol est riche. Mais pour pouvoir mener les campagnes de prospection puis passer à une éventuelle exploitation, il faut d’abord que la région soit sécurisée. Et que les maliens soient conscient de se donner les mains et se soutenir…

  19. Il est temps d’arrêter de donner de l’importance a l’homme blanc, ils sont tous pareil. Il temps de leur montré que le Mali peut exister sans eux. Il est temps de se réveiller, il est temps de volé par nos propres ails, il est temps pour le Mali de se débarrasser des français.

  20. L’intervention française au Mali fait ressurgir des interrogations sur les motivations de l’envoi de troupes par la France. Certains, à l’image de Jean-Luc Mélenchon, n’hésitent pas à dire que les raisons sont avant tout économiques. La France défendrait ainsi l’exploitation des ressources minières de la région, comme l’uranium. ARTE Journal fait le point sur les richesses avérées ou potentielles du sous-sol malien.
    Les autorités maliennes en sont persuadées : leur sous-sol regorge de richesses, parmi les plus importantes du continent noir. Une de ces richesses, avérée, c’est l’or. Les premières mines ont été exploitées dans les années 80 mais l’industrie aurifère a pris son essor dans les années 90. Aujourd’hui, avec une cinquantaine de tonnes par an, le Mali est le troisième pays producteur d’or en Afrique, derrière l’Afrique du sud et le Ghana. Une ressource exploitée par les spécialistes mondiaux du secteur : le sudafricain Anglogold Ashanti, l’Autralien Resolute Mining, le canadien IAM Gold ou le britannique Randgold. L’Etat malien possède 20% de 8 des neuf mines exploitées. Cela contribue à 15% de son PIB et deux tiers du montant de ses exportations. Une exploitation qui devrait encore augmenter à l’avenir puisque 19 sites sont en cours d’exploration avancée.
    L’or noir en revanche n’est pour le moment qu’un “mirage” si l’on en croit Benjamin Augé, chercheur à l’Institut français des relations internationales (IFRI). le Mali repose sur cinq bassins sédimentaires prometteurs . Parmi les bassins à fort potentiel pétrolier et gazier, celui de Taoudenni, au nord-ouest du pays, aiguisent tous les appétits. C’est un forage opéré par Total dans la partie mauritanienne du bassin qui a fait dire à certains que la région pourrait devenir un “Eldorado” du pétrole. Mais jusqu’à présent côté malien aucun forage ne vient étayer cette hypothèse. L’Autorité pour la promotion de la Recherche Pétrolière au Mali (AUREP) a divisé le pays en 29 blocs dont 20 ont été confiés à des sociétés étrangères. Les deux acteurs les plus sérieux étant l’italien ENI et l’algérien SONATRACH par le biais de sa filère Sipex. Pour l’heure, ils n’ont opéré aucun forage au Mali.
    Pour l’uranium Deux sites font l’objet de toutes les attentions. Le premier est situé à la frontière guinéenne au sud-ouest du pays, dans la région de Faléa. Des dizaines de puits ont été creusés, au grand dam des habitants de ces terres agricoles. L’autre site est situé dans la région de Kidal, au nord-est, qui a la particularité d’être le fief du groupe islamiste Ansar Dine. Depuis 2007, l’autralien Oklo Uranium Limited explore la zone montagneuse de l’Adrar des Iforas. De l’uranium y a été découvert mais n’est pas encore exploité.
    TERRES RARES
    Elles sont utilisées dans les disques durs des ordinateurs et les moteurs électriques, dans les ampoules basse consommation, dans les tubes cathodiques, les éoliennes, les panneaux solaires, les piles à combustibles… Bref, le monde moderne a cruellement besoin des terres rares. D’autant que le leader mondial d’exploitation de ces minerais, la Chine, a décidé de réduire ses exportations. Le Mali regorgerait de ces minerais rares mais là encore il ne s’agit que d’un potentiel car l’exploitation n’a pas commencé. Les terres rares rencontrent les mêmes freins que les autres richesses potentielles du Mali : une sécurité précaire comme l’illustre la situation actuelle, un environnement politique instable et des difficultés à s’approvisionner en énergie. Le tout rend pour l’heure les coûts d’exploitation du sous-sol malien trop élevées.

  21. Tête de mort sculptée dans un calcul bilieux, misérable petit vomi de bite, face d’étron, branlomane végétatif, face de pet, tétard, tête de bite, éjaculat précoce, foirure de capote, niqueur de mère, enculeur de porcs,…Voilà ce que tu es KASSIN.

  22. Le vrai problème du Mali, c’est LA FRANCE et ses soit disant analystes qui manipulent les maliens avec des histoires à dormir debout. Aller au diable avec ces analyses sans queue ni tête. Rien de vos coups machiavéliques ne déchirera le grand Mali. Ils allument et activent le feu et après ils vont jouer aux pompistes. Ces assassins, qui sont leurs parrains? On s’en sortira après toutes vos trahisons et vos conflits d’intérêt. Vous devez savoir que les maliens sont réveillés maintenant et comprennent tous vos actes. Vive Notre grand Mali un et indivisible.

  23. Les pays de l’occident sont en majorité sans richesses minières. Des analyses ont démontrés que la région de Kidal est une zone dont le sous-sol contient de l’uranium, du gaz et du pétrole. En Occident, c’est la Russie qui ravitaille l’Europe en gaz. Donc cette opportunité est à saisir pour exploiter celui de notre pauvre Mali. Les puissances occidentales ont, à travers l’ONU, transformé le monde en un village où c’est seulement l’intérêt des pays détenteurs du droit de véto prime sur tout, même sur la vie de innocents. 😀 😀 😛 😛

  24. Sur les papiers le Mali est toujours un Etat unitaire. Mais sur le terrain avec l’arrivée de la France et de la Communauté Internationale influencée par certaines puissance, à savoir : les USA, la France, c’est tout à fait le contraire. L’Algérie a elle aussi profité de son poste de chef de file de la Médiation pour se faire une part dans le partage du gâteau nord-malien, les richesses minières. 😀 😀 😀 😛 😛 😛

  25. La France, ayant compris que le Mnla ne pèse pas et sachant bien que le Nord du Mali est riche en ressources, ne veut plus quitter. Elle veut proposer au Mali un accord de défense militaire, afin que les Maliens signent ce document qui va permettre d’avoir la mainmise sur les ressources de notre pays.

  26. Toutes les puissances occidentales savent qu’il y a une très grande richesse minière au Nord. La réalité de la crise malienne est autre que l’autonomie de l’Azawad. Sachez que la France, un allié des USA, en complicité avec l’Algérie, un pays voisin, sous les peaux de la CMA, la coordination dite séparatiste, ont déjà commencé à exploiter les richesses de Kidal. C’est pourquoi, les FAMAs et le groupe pro-gouvernemental, le GATIA ne sont jamais autorisés à se rendre dans cette région. 😆 😆 😆 💡 💡 💡

  27. Les occidentaux sont toujours ainsi. Le guide libyen avait prédit cette situation mais n’en ont pas tenu compte. Lors d’une visite de la région, le nord, il avait dit que Kidal est très riche en ressources minières. Et que si on ne fait pas attention les occidentaux vont s’y installer éternellement. 👿 👿 👿 👿 👿 💡 💡

  28. La crise malienne est une guerre pour les ressources minières de la zone. Les occidentaux savent la potentialité de ces ressources. Chaque puissance veut l’es exploiter. Donc le nord du Mali, particulièrement Kidal est assujetti à des stratégies d’acquisition de marchés d’exploitation et autres. 😯 😯 ➡ ➡ ➡

  29. Je le dis bien souvent, pour éviter le syndrome soudanais, un pays dont l’ONU, l’UA, l’IGAD ou encore la CEMAC, le COPAX se sont rendus complices en assistant à sa dislocation malgré le principe d’intangibilité des frontières, le Mali doit refléter l’exemple rwandaise qui après avoir été délivré de la guerre civile par l’opération turquoise, a rompu toute relation avec la France. 20 ans après 1994, le Rwanda se classe aujourd’hui parmi les pays d’Afrique les plus avancés.

  30. Il n’y a même pas de doute là-dessus, l’exploitation des ressources énergétiques du nord a commencé depuis fort longtemps. Le Mali voit toujours le transit de gros matériels dans des conteneurs vers le nord au nom de la MINUSMA. Si ces matériels étaient destinés à la protection du Mali contre les djihadistes, Iyad Ag Ali serait mort depuis. On s’assoit, les mains sur les pieds pour observer le chaos total de notre pays

  31. La France est l’origine de la crise qui persiste dans le nord Mali. La France a la main mise sur les rebelles. Depuis la veuille des indépendances cette même crise continue à faire dormi début les autorités maliennes et la population malienne. La France est en train de télécommander la crise malienne à sa guise, car comme on le dit si bien « la France n’a pas d’amis mais des intérêts à préservés »

  32. Le pétrole et autres hydrocarbures ont toujours suscité des déstabilisations dans les pays qui les regorgent. Le Mali doit se battre au coût de sa survie pour que les forces étrangères ne s’accaparent pas de la seule voie de développement sûre pour le pays. Il est temps qu’on se réveille de notre sommeil de critique de pouvoir

  33. Kadhafi avait ainsi déclaré : « Le nord du Mali est très riche en ressources minières. Si vous ne preniez garde, un jour les occidentaux vont venir s’installer définitivement pour exploiter vos richesses… ». L’obscurité de la situation au nord de nord pays explique tout, les occidentaux empêcherons toujours la paix et l’unification des groupes et des échines, tant qu’ils auront toujours des intérêts sordides à préserver sur notre territoire. L’Etat malienne doit garder un n’œil, rester vigilant et serein.

  34. Le pétrole, le zinc, le gaz, l’uranium, l’eau minérale…..ces occidentaux peuvent tout prendre. Mais qu’ils mettent fin au règne des armes, trop de sang ont coulé. Les populations du septentrion malien ont besoin d’aspirer la paix.

  35. LA France ET LA MINUSMA ne font que défendre leurs propres il s’agit de s’emparer de nos biens et beaucoup qui font la richesse du Mali.
    Comme le dit DABEMBA TRAORE lors de la pénétration coloniale : « les blancs veulent m’amadouer a me prenant mon lopin de Terre… »

  36. Si les occidentaux ont réussi à s’installer au Mali aujourd’hui, c’est à cause de la CMA. Ces traitres ont vendu leurs propre pays, mais ils ne perdront rien pour avoir attendu.

  37. Comme on le dit si bien ” un n’homme avertir en vaut plusieurs”. Le guide libyen feu Mouhamed O Kadhafy a déjà et à plusieurs reprise avertir depuis fort longtemps les autorités maliens. Les régimes passés n’ont pas pris cela en considération et maintenant c’est le Mali d’aujourd’hui et sous le régime d’IBK qui en paye les pots cassés

  38. C’est évident que quelque chose de suspect se passe à Kidal. D’abord, les forces étrangères empêchent l’armée malienne et les fonctionnaires d’accéder à cette zone surtout à l’aéroport où on pourrait voir des installations douteuses. Ensuite, la CMA contraint les personnes hostiles à l’idée séparatiste de quitter Kidal. Enfin, pour enfoncer le clou, une ceinture de sécurité établie pour contrer toute intrusion des forces maliennes dans la zone sous prétexte de protéger la population de Kidal. Les protéger contre qui ? Autre suspicion, très souvent des avions sans enseigne ni feux de signalisations survolent notre pays en pleine nuit. Donc c’est évident que le Mali se fait dépouiller avec la complicité de la CMA

  39. Les malveillants, les opportunistes, les ambitieux s’acharnes sur les ressources minière du Mali. L’Etat malienne doit rester serein et adroit dans toutes ses prises de décision. La population et son gouvernement doit être en complicité pour sauver l’avenir de notre chère patrie.

  40. Même si les occidentaux sont à la base de cette crise, moi je déplore la trahison de la CMA. Les membres de la CMA ne devraient pas accepté que ces opportunistes nous mettent en conflit. La force du Mali repose sur sa diversité culturelle, fraternelle et sociale. Le peuple malien a tendu la main pour accueillir ses frères de la CMA, malgré les exactions connus par ces rebelles. Ils devraient en faire autant.

  41. Tous ces attaques sont perpétré dans le seul but d’intimidé l’Etat et sa population, c’est pour déstabiliser le pays et ensuite les occidentaux tirent profit de la situation. Le gouvernement met tous en n’œuvre pour mettre fin à ces actes ignobles, tous maliens doivent se donner la main pour combattre les ennemis. La France est le père fondateur de la crise du septentrion du Mali.

  42. Toi armée nationale, tu as notre soutien sans ambigüité.
    Bats-toi, parce que tu préfères la mort à la honte !
    Bats-toi parce que chaque Malien se considère désormais comme soldat en réserve.
    Bats-toi parce que le Mali doit vaincre et vaincra.
    Un Mali Un et Indivisible

  43. Les occidentaux ont toujours visé ces ressources minières du nord Mali. N’ayant pas u l’opportunité d’occuper toutes les régions du nord à travers la CMA, la communauté internationale a établi cette zone de sécurité au nord pour garder cette région qui possède la majeure partie de ces ressources. Mouammar Kadhafi a vu loin, tout ce qu’il a dit s’est réalisé aujourd’hui.

  44. Là où ça sent le pétrole, les occidentaux se rendent là-bas et s’approprie de cette ressource. Le cas Mali et la Lybie en est la preuve. Kadhafi savait de quoi il parlait, ce grand homme Africain a fini par être victime de ce même cas, si nous ne faisons pas attention la France fera de notre président un méchant en montant son propre peuple contre lui et mettra la main sur nos ressources minières du nord. Si le Mali demeure un et indivisible, c’est grâce à IBK, son équipe et sa diplomatie.

  45. Pour les pays nouvellement indépendant il fallut trouver des compromis avec la France. Sylvanus Olympio, le premier président de la République du Togo, un petit pays d’Afrique de l’Ouest, trouva une solution susceptible de calmer les Français :
    Ne voulant pas continuer à subir une domination française, il refusa de signer le pacte colonisation proposé par De Gaule, mais accepta en contrepartie de payer une dette annuelle à la France pour les soi-disant avantages obtenus lors de la colonisation française.

  46. Nos ressources miniers et énergétiques, nous appartient, alors on a pas besoin de la France pour nous guider afin de pouvoir sortir le pays au crise.
    Le développement pays dépend de la population, car comme dit les BAMBARAS, NDEME NKA WARALA? OBASORO A KOUNKOLOBI BOLO, alors c’est le citoyen Malien qui doit se donner la main pour développer le Mali.

  47. La crise de la COTE D’IVOIRE, du SERRALEONE, du LIBERIA, sont l’œuvre de la France.
    ABAS LA France
    ABAS FRANCOIS HOLLAND
    ABAS L’AMBASSADE DE France
    ABAS LA MUNISMA

  48. France est plus pire que les rebelles, on sait aussi que la séparation du SOUDAN est l’œuvre de la France. L’ennemis numéro un du Mali est la France.
    On veut plus la France, on est vraiment assez, car vous utilisés l’Afrique comme vos propre instruments.

  49. Faisons quelque chose malgré nous même avant de nous attaquer à une autre personne. Moi je dis que nous sommes nous-mêmes responsables de tout ce qui nous arrive. Ce n’est ni la France ni les Etats-unis, la Chine, ni personne d’autre; c’est nous. Il qu’on apprenne à se faire confiance et à responsabiliser nos actes.

  50. On démande aux autorités Maliennes de faire très attention a nos partenaires, car tous les collaborateurs ne sont pas des vrais amis, c’est le cas de la France.
    La France ne joue aucun rôle concernant la gestion de la crise du nord Mali.
    La France cherche seulement son intérêt personnel au Mali.
    VIVE LE MALI
    VIVE LA PAIX
    VIVE LA SÉCURITÉ
    VIVE LA DÉFENSE
    ABAS LA FRANCE
    ABAS LA MINUSMA.

  51. L’Etat doit désormais tout faire pour empêcher les touaregs partis à lybie de ne plus remettre les pieds sur le sol malien. Il doit sécuriser puissamment les frontières par lesquelles ils entrent dans le MAli. Il doit bien armé ces zones appellées à sécuriser les frontières maliennes.

  52. La France, en Barkhane qui se trouve à Kidal, doit quitter les lieux. Ils ne sont pas là pour nous aider mais nous plonger d’avantage. La France n’est pas, et ne sera jamais notre « AMI » elle est notre premier « ENNEMI » C’est elle qui est à la base de notre crise. Leurs forces étant sur le sol malien, le Mali ne connaitra jamais la stabilité.

  53. Ces situations me dépassent trop. Je ne comprends plus rien dans les relation amicales entre la France et le Mali. Quelque part il m’arrive de ne pas croire à tout ce qu’on dit par-ci par-là mais souvent je remets tout en cause.

  54. La France était jaloux de la stabilité du Mali, elle a tout fait pour semer une crise au Mali et se présenter ensuite comme sauveur. La France ne vise qu’à déstabiliser le Mali. Kidal ne restera jamais entre leurs mains.
    Les occidentaux ont toujours prônés, « qu’ils n’ont pas d’ami, mais plutôt des intérêts » La France et la MINUSMA ont leurs intérêts dans notre crise, raison pour laquelle ils peinent à partir.

  55. Barkhane France s’est assigné comme mission officieuse, la protection de la région de Kidal, fief du Mnla, contre les terroristes ? La France est de mèche avec le MNLA.
    VIVE LE MALI
    A bas la France
    A bas Barkhane
    A bas la minusma

  56. « Les récents événements sanglants de Sévaré, Gourma Rharous, Nampala, pour ne citer que ceux là, viennent nous rappeler plus que jamais que le Mali a franchi un palier dangereux dans la montée du terrorisme le plus abject sur le territoire national, celui des commandos suicides dont l’objectif est de tuer, détruire, saccager et semer le chaos; tout se passe comme s’il y avait un plan avec des acteurs, un schéma élaboré avec un calendrier d’exécution qui pourrait avoir comme intitulé: « CHAOS AU MALI SELON LE COMPLOT DU SILENCE »…

  57. Nous devons faire très attention à nos partenaires que ce soient nos partenaires financiers ou techniques et mêmes ceux qui sont là pour nous aider à sécuriser notre pays. Dans les relations actuelles, on ne plus rien pour rien. Tout à une contrepartie. Mais franchement telle ne devait pas être le cas de la France envers nous.

  58. La France et la MINUSMA doivent partir du Mali. Au lieu de nous aider à résoudre la crise, ils ne font qu’empirer la situation par leurs agissements masqués. 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿

    Nous voyons tous dans le jeu de la France, elle incendie le pays et se présente après comme secouriste. La France est à la source de la crise malienne. C’est elle qui sème tous, et c’est elle qui se présente en premier rang comme sauveur. 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿

    La France fait de tout son possible pour que nous dépendions d’eux. Elle n’est pas là pour défendre le Mali mais plutôt l’enfoncer d’avantage. Sinon pourquoi venir tuer des terroristes au Mali ici, alors le que le porte-parole du MNLA circule comme il veut en France ? Donc cela veut dire que la France tue qui l’arrange et garde en vie qui l’arrange alors ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓

    Le refrain quotidien de la Minusma : «Notre mandat n’est pas de combattre les terroristes, mais de stabiliser le Mali». «Ce travail revient à la Force Barkhane», entonne-t-elle à longueur de journée. Sauf que celle-là s’est assignée comme mission officieuse, la protection de la région de Kidal, fief du MNLA, contre les terroristes. 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿

  59. Je pense qu’un partenariat strategique avec la Chine qui serait base d’une part sur le developpement des infrastructures-clef du Mali et sur la mise en place d’une base industrielle (acierie,complexe petrochique et aluminium)et
    d’autre part la co-gestion de nos resources naturelles : petrole et gas ,l’uranium ,serait de nature a faire du Mali un pays emergent et un pays-pole
    dans la CEDEAO.Le Mali ne pourra developper sa capacite reelle de croissance et de develppement economique sans le desenclavement complet de ses structures economiques.Cela aurait du etre fait pendant les premiers 15 ans de l’independence.Le chemin de fer Dakar/Koulikoro,le reseau Bamako/Conakry ,le reseau Bamako/Bobo-Dioulasso et enfin Bamako/Gao
    sont a construire sur une periode planifiee de 10 a 15 ans.Les travaux sur les deux grands fleuves le Senegal et le Niger sont une necessite: dragage,construction des sites hyhroelectriques pour alimenter les eaux des fleuves et stabiliser leurs cours.A cela s’ajoute une production electrique qui risqué d’etre basee notamment sur le gas.Le seul pays qui est capable de prefinancer toutes ces infrastructures c’est la Chine.Que pourrait interesser la Chine pour conclure un tel partenariat.Les resources energetiques ,le petrole et gas ,mais particulierement l’uranium.Le gouvernement Chinois est decide a lutter contre l’ozone ,ces gas qui polluent l’atmosphere en detruisant l’oxygene dans l’air.L’energie nucleaire est une energie non polluante et les centrales nucleaires produisent de grandes quantites d’electricite peu chere.En outré il serait de l’interet de l’Etat Chinois de produire certains demi-produits (acier,produits petrochimique, aluminium)
    au Mali a cause des grands espaces dont nous disposons non pollues.La Chine importerait ce dont elle a besoin,une autre partie des demi-produits serait transformee au Mali et le reste serait importe par les pays partenaires qui se sont engages a parfaire les formations technologiques dans leurs universites.Une formation de longue haleine sera enterprise dans le domaine du travail des metaux.Au lieu de distribuer a tort sans but bien determine les parcelles ,le Mali devrait commencer des negociations economiques serieuses avec la Chine sur la base de son decollage economique et de la CEDEAO.

  60. Nous ne savons plus que dire ou faire ni de la MINUSMA ni de la Barkhane ni de la France elle même en tant que telle. ELLE EST VRAIMENT CONTRE LES INTÉRÊTS DU MALI OUI OU NON?

  61. Monsieur ou madame Elisabeth STUDER
    On a toujours entendu et lis ces choses faites nous une proposition concrète pour contrecarrer les plans des néo colonisateurs

  62. Oui je les ai compris dès les premiers instants où ils ont pris pied chez nous!

    En fait, il n’y a pas de complot ourdi contre le Mali mais il y a de l’opportunisme dans les agissements des partenaires du Mali dans cette crise.

    Je m’explique!

    La Minusmerde ainsi que la médiation s’adaptent aux parties en présence (gouvernement du Mali et CMA notamment car ils assimilent de près ou de loin les éléments de la plateforme au gouvernement du Mali).

    Il se trouve que le gouvernement du Mali a été l’un des plus nuls sans la gestion de la crise du Nord du Mali.

    Le problème numéro du gouvernement malien 1 c’est d’avoir négliger le réarmement moral et matériel de l’armée malienne pendant 2 ans et le fait pour IBK de commencer son régime par 2 premiers ministres inexpérimentés n’y est pas pour rien.

    Tatam Ly comme Moussa Mara ce sont laissés ballotter par les élucubrations de Boubeye Maiga et de sa suite d’officiers incompétents et n’ont pas pris la mesure de la nécessaire refonte totale de l’armée pour le remettre très rapidement sur un pied solide de guerre.

    Le régime IBK a voulu faire semblant entre septembre 2013 et aout 2015 et IBK brandissait des menaces et croyait que le bluff suffisait à faire plier les rebelles de la CMA du Nord du Mali.

    Pour Mara, c’est encore pire car sans préparation il s’est jeté dans la marre et y est sorti plumé comme une poule au marché de Dibidani à Bamako.

    Il devrait s’assurer d’abord de la capacité opérationnelle réelle de l’armée avant toute chose, il ne l’a pas fait et personne dans son gouvernement n’a eu la sagesse de lui rappeler à l’ordre.

    Il faut préparer une offensive militaire avant de le faire c’est la seule clé du succès.

    Et il ne pouvait ne pas savoir qu’une visite à Kidal est susceptible de déclencher une opération militaire impliquant l’armée malienne.

    Après la déculottée de Mara en mai 2014 à Kidal, le régime IBK qui menaçait partout “Aucun rebelle ne peut se hisser à ma hauteur” ou “je ne négocie pas avec des hommes en armes” a été obligé de supplier le mauritanien Ould Abdel Aziz pour avoir un cessez le feu, même Sanogo et sa bande soldatesque dans leur fuite de Kidal, Gao et Tombouctou, n’a pas fait cela avril 2012.

    Du coup le régime IBK a perdu toute crédibilité non seulement auprès de la médiation mais également auprès de la Minusma.

    Cette perte de crédibilité a lentement mais sûrement fait basculer la Minusma mais aussi la médiation qui ont commencé à mettre les rebelles de la CMA au même rang que le gouvernement du Mali.

    Modibo Keita qui était le représentant spécial d’IBK auprès de la médiation devient premier ministre et cela a conforté la médiation et aussi la Minusma dans leur conception que la CMA a le même rang et la même importance que l’état malien.

    Ceci explique pourquoi les membres de la CMA sont chouchoutés non seulement pour signer l’accord mais également pour un arrangement sécuritaire taillé sur mesure pour eux qui leur permet aujourd’hui de gagner des villes comme Anefis même s’ils en perdent militairement face au Gatia et au Maa loyaliste.

    C’est une situation de fait qui va durer encore longtemps car entre le Gatia et la CMA c’est la vielle rivalité touareg Imghad et Ifoghas qui continue et les deux sont lourdement armés pour nous gratifier d’autres spectacles encore plus meurtriers.

    Bizarrement ni la Minusma, ni la médiation ni Berkhane ne posent la question de leur total désarmement.

    La “décrédibilisation” du pouvoir central malien rendue possible par l’amateurisme et l’incompétence majeure du régime IBK en n’est la cause principale de ce laisser aller de la Minusma, de la médiation et des forces françaises de Berkhane.

    Mais c’est une sacré bordel et une insécurité garantie pour tout ce beau monde.

    Ce qui est inquiétant, c’est que non seulement le régime IBK ne fout rien pour équiper et former convenable l’armée malienne pour reprendre du poids donc du crédit auprès de ces partenaires dans la gestion de la crise, mais aussi et surtout IBK verse dans une pathétique culpabilisation des autres pour expliquer son l’inaction et l’inaction de son gouvernement à équiper et à former l’armée malienne à hauteur de souhait depuis 2 bonnes années.

    Nous retrouvons ici la même politique d’autruche que celle du temps d’ATT qui consiste à jeter l’opprobre de nos erreurs sur la face des autres.

    A ce jeu de bas étage, les dirigeants maliens donnent l’impression de grands enfants à la face du monde et cela conforte de plus belle les rebelles de la CMA même affaiblis militairement sur le terrain par les redoutables milices Gatia et Maa loyaliste.

    En espérant avoir répondu à ta question!

    Kassin Sahelian geostratégic Analyse

    Salute.

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