A cause de la situation politique : Les leaders de l’opposition invités aujourd’hui à Koulouba par IBK
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Soumaila Cissé et Tiéblé Dramé[/caption]
Pour éviter que la situation ne se détériore davantage, la communauté internationale exige la formation d’un gouvernement d’union nationale. D’où la réception des opposants Tiébilé Dramé, Soumaïla Cissé et Modibo Sidibé et Amadou Koïta, entre autres, par le président IBK cet après-midi à Koulouba, à l’issue peut-être de l’ultime conseil des ministres de l’ère Mara.
De sources concordantes, le président de la République a convié aujourd’hui à Koulouba certains leaders politiques. Cette rencontre qui se tiendra à la demande d’IBK, devra avoir lieu après le conseil des ministres. Devront y participer Soumaïla Cissé (URD), Tiébilé Dramé (Parena), Modibo Sidibé (les Fare) et Amadou Koïta (Parti socialiste).
La situation politique dans le pays sera au centre des discussions entre le chef de l’Etat et les représentants de l’opposition qui critiquent la gestion du pays depuis la prise du pouvoir par IBK. Le Parena, dans un document intitulé "le Mali dans l’impasse", a fait un diagnostic sans complaisance des 7 mois de gestion des affaires par le président IBK. Il a mis en exergue la difficulté de la situation économique et financière, la vie chère, l’angoisse des ménages.
L’audience d’aujourd’hui devrait permettre aujourd’hui à IBK de reprendre la main après la déculottée subie par l’armée à Kidal, ce qui a d’ailleurs coûté son poste à l’ancien ministre de la Défense et des Anciens combattants, Soumeylou Boubèye Maïga.
A Koulouba, des sources rapportent que cette audience du président avec ses opposants n’a rien à voir avec les récents événements à Kidal marqués par la débâcle de l’armée malienne encore moins une nécessité d’un gouvernement d’union nationale mais qu’elle était prévue de longue date. Une explication rejetée par les leaders de l’opposition dont les leaders rappellent qu’ils courent derrière une audience avec IBK depuis plusieurs mois. Donc, ils auront beaucoup de choses à se dire aujourd’hui.
Y. C.
Soumaila Cissé et Tiéblé Dramé[/caption]
Pour éviter que la situation ne se détériore davantage, la communauté internationale exige la formation d’un gouvernement d’union nationale. D’où la réception des opposants Tiébilé Dramé, Soumaïla Cissé et Modibo Sidibé et Amadou Koïta, entre autres, par le président IBK cet après-midi à Koulouba, à l’issue peut-être de l’ultime conseil des ministres de l’ère Mara.
De sources concordantes, le président de la République a convié aujourd’hui à Koulouba certains leaders politiques. Cette rencontre qui se tiendra à la demande d’IBK, devra avoir lieu après le conseil des ministres. Devront y participer Soumaïla Cissé (URD), Tiébilé Dramé (Parena), Modibo Sidibé (les Fare) et Amadou Koïta (Parti socialiste).
La situation politique dans le pays sera au centre des discussions entre le chef de l’Etat et les représentants de l’opposition qui critiquent la gestion du pays depuis la prise du pouvoir par IBK. Le Parena, dans un document intitulé "le Mali dans l’impasse", a fait un diagnostic sans complaisance des 7 mois de gestion des affaires par le président IBK. Il a mis en exergue la difficulté de la situation économique et financière, la vie chère, l’angoisse des ménages.
L’audience d’aujourd’hui devrait permettre aujourd’hui à IBK de reprendre la main après la déculottée subie par l’armée à Kidal, ce qui a d’ailleurs coûté son poste à l’ancien ministre de la Défense et des Anciens combattants, Soumeylou Boubèye Maïga.
A Koulouba, des sources rapportent que cette audience du président avec ses opposants n’a rien à voir avec les récents événements à Kidal marqués par la débâcle de l’armée malienne encore moins une nécessité d’un gouvernement d’union nationale mais qu’elle était prévue de longue date. Une explication rejetée par les leaders de l’opposition dont les leaders rappellent qu’ils courent derrière une audience avec IBK depuis plusieurs mois. Donc, ils auront beaucoup de choses à se dire aujourd’hui.
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Le pouvoir d'Etat encourage la sécession (les dérives de Kalilou Ouattara et de Bakary Togola)Quand l’administration délivre un récépissé à une association régionaliste (Kalilou Ouattara) et tolère les propos sécessionnistes d’un directeur (Bakary Togola), c’est que l’Etat encourage indéniablement la partition du pays. Il faut que les nordistes ouvrent les yeux et prennent leur destin en main car les courbettes ne rapportent rien. Les sudistes n’arrêtent pas de compter le nombre de cadres du Nord et sont aveugles au nombre de cadres du Sud qui jonchent l’appareil d’état. Soumeyla, ATT, Boubeye et tous les cadres du Nord font l’objet d’animosité de la populace du sud et sont indexés malgré leurs talents. Je hais le MNLA mais je commence à donner un sens à son combat. Il faut l’indépendance de tout le Nord du Mali qui regorge de ressources et peut se développer plus rapidement s’il est indépendant . Le vivre ensemble ne se force pas. Eder
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veridique-ATT est un nordiste qui a été deux président du MALI. -Soumaîla cissé fait partie des grands responsables du MALI (ministre, direction,...etc). -Boubaye aussi fait partie des grands responsables du MALI: plusieurs fois ministres... Ag amani : plusieurs fois ministre puis premier ministre. .... et bien d'autres grands responsables du Mali viennent de Gao, Tombouctou et Kidal... Ce que vous dites monsieur n'a aucun sens. vous êtes nul!
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Et si le Traitre était IBK....!!!!Et si IBK ayant compris son incapacité notoire a faire face a la crise a decide de plonger le pays dans une situation susceptible de preparer l’opinion publique a abandonner sa souveraine et son intégrité qu’il a promises a coup de propagande pendant les elections….???? Peut être que cela faisait partie de son plan avec la France….. Les politiciens, les maliens en particulier sont capables de tout…. pour assouvir leurs désirs machiavéliques. IBK ne s’est il pas acoquine avec les rates de Kati pour fomenter le plus stupide coup de l’histoire et parvenir au pouvoir contre vents et marées, car c’était sa dernière chance…….????
