Modibo Sidibé dans les grins à Bamako : Ne jamais se lasser d’échanger avec les populations

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Toujours imité mais jamais égalé, il est resté égal à lui-même, l’ancien Premier ministre sous ATT, et non moins président des Forces alternatives pour le renouveau et l’émergence (Fare An Ka Wuli), Modibo Sidibé, continue son chemin…  

Modibo Sidibé n’a pas changé et est resté égal à lui-même. L’homme qui respecte sa parole, a donné une autre leçon de démocratie et d’honnêteté en soutenant Soumaïla Cissé, pas que dans la parole seulement, mais dans les actes, alors qu’il pouvait, dans l’entre deux tours, bel et bien suivre IBK. Mais non, Modibo Sidibé a été aux côtés du candidat de l’URD. Comme pour dire qu’à la Maison Bleue, la parole compte.

Cet homme politique a inauguré un nouvel exercice démocratique : aller à la rencontre des Maliens où ils trouvent. En se mettant à la disposition de tous les Maliens, Modibo Sidibé répond presque à toutes les sollicitations d’où l’idée d’aller échanger dans les grins. En effet, il y presqu’un an que l’enfant du capitaine Mamadou Sidibé sillonne toutes les communes de Bamako et environs. À l’effet de répondre aux questions et préoccupations de ses compatriotes. De nos jours, plus d’une quarantaine de grins à Bamako et environs a reçu le président des Fare.

Tous les week-ends, il est au moins dans 5 grins et les demandes deviennent de plus en plus nombreuses. À ce jour, malgré les soubresauts, les Fare et leur président continuent à militer dans l’opposition plurielle, avec leur manière de faire, leur stratégie, mais aussi en développant une démarche de proximité avec les Maliens.

Les grins avec Modibo Sidibé, c’est une école où beaucoup de jeunes gens avouent apprendre beaucoup sur le fonctionnement de l’Etat, la citoyenneté et la crise que traverse le pays, avec en toile de fond l’insécurité. À ce propos, le numéro 1 des Fare demande plus de citoyenneté. Les grins avec Modibo Sidibé, c’est aussi la famille, l’entente, les échanges mutuels, mais surtout la discipline. Les grins avec Modibo Sidibé, c’est également le respect scrupuleux des valeurs républicaines et démocratiques !

Les grins de ce week-end

Poursuivre le travail de contact avec les populations, c’est tout l’esprit du Grin. Le concept est de plus en plus sollicité par les Maliens qui ont ainsi l’occasion de débattre du Mali avec un des hommes les plus avertis de la gestion publique.

Ainsi, le dimanche 19 février 2017, Bacodjicoroni a accueilli son «Grin» animé principalement par le président du parti qui a répondu aux préoccupations de ses vis-à-vis. Une fois de plus comme dans la plupart des «Grins», la principale préoccupation des Maliens est relative à l’état de déliquescence avancé de notre pays, et les solutions proposées pour y  remédier.

Ceci passe par un processus lent de transformation de la société, qui se fait avec l’ensemble des Maliens, selon les explications de Modibo Sidibé. Autant dire que l’impératif de changement requiert un renouveau citoyen que proposent les Fare. Concept très simple, il s’agit d’un changement d’attitude de tous avec comme préalable le respect des lois.  C’est à cela que les Fare appellent les Maliens pour faire de la politique autrement, avec la force des arguments, une vision claire et des valeurs de dignité, d’honneur profondément ancrées dans la société malienne.

L’approche des Fare a l’avantage de clarifier davantage le jeu politique pour que les choix se fassent désormais sur la valeur des hommes.

M.L.H et K.T

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2 COMMENTAIRES

  1. Modibo Sidibé est entrain de se foutre de la jeunesse, si les grins se multiplient aujourd’hui c’est dire qu’il y a pas de boulot. Sidibé fait parti de ceux qui ont sacrifié l’avenir des jeunes. Les jeunes doivent casser un thé barada sur sa tete

  2. 1- Ce monsieur est entrain de dire qu’il est le contraire de ce qu’il était, qu’il a changé, enfin c’est une honte pour la politique de ce pays, d’avoir aujourd’hui des gens qui nous disent, eh “je” voudrais être élu là et qu’est-ce que “je” peux faire pour être élu. “Je” vous dis que tout ce que “j”’étais, “je” ne l’ai pas, “j”’ai changé, “j”’ai compris, l’exercice du pouvoir m’a changé, “essyez-“moi”, dira Soumaila Cissé”…!

    2- A un moment donné on est dans le non sens quand on est dans cette espèce de courses aux voix. M. Valls on sait qui il est!

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