Présidentielle en Côte d’Ivoire : manifestations de soutien à Tidjane Thiam
L’ancien banquier a été radié de la liste électorale le 22 avril dernier. La justice estime que le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) avait perdu sa nationalité ivoirienne au moment de son inscription en 2022.
Deux manifestations en deux jours pour dénoncer la décision de la justice ivoirienne de radier l’opposant Tidjane Thiam des listes électorales. Dimanche 4 mai, un millier de jeunes du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), dont le candidat malheureux est à la tête, ont manifesté à Abidjan pour réclamer sa réintégration aux listes, et son retour dans la course à la présidentielle d’octobre en Côte d’Ivoire.
« Pour nous, jeunes du PDCI, s’il n’y a pas Tidjane Thiam sur la liste électorale définitive, il n’y a pas d’élections en Côte d’Ivoire », a lancé Henri Joël Kouadio, président de la jeunesse estudiantine et scolaire du PDCI. « Chaque chose en son temps. Il est temps de laisser les discours et de passer à l’action », a-t-il insisté, au siège du parti, dans le quartier de Cocody.
Samedi 3 mai déjà, des milliers de militants du PDCI s’étaient rassemblés dans la capitale économique pour hausser le ton et exhorter à la « mobilisation nationale » face à « l’injustice, la tyrannie et la peur ». Jeudi 8 mai, un autre rassemblement du parti est prévu dans le quartier du Plateau.
Le même jour, un tribunal d’Abidjan doit se pencher sur un dossier qui pourrait démettre Tidjane Thiam de ses fonctions de président du PDCI : une militante a déposé un recours contre lui en raison de sa nationalité.
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alides plaisantins! -
KinguirankeJeune Afrique defend son candidat, le candidat de la très maudite France!
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T.Sankara"...La démocratie ne se résume pas à la préservation d’un ordre partisan. Elle suppose une capacité à incarner l’intérêt collectif, à défendre la souveraineté, à construire des institutions fortes, même sous contrainte. La transition, avec toutes ses limites, offre cette possibilité de refondation. Et le peuple malien semble en avoir saisi l’urgence. Il est temps d’arrêter d’idéaliser les formations qui ont tant échoué. Il est temps de poser la vraie question : que vaut une démocratie dont les instruments n’ont jamais servi le peuple ? Au Mali, ce n’est pas la transition qui est à défendre. C’est le Mali lui-même. Et il serait bon que les partis politiques s’en souviennent. À.D. Source : Sahel Tribune PLUS RIEN A AJOUTER!
