En un mot : Manœuvres dilatoires
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Dramane Aliou Koné[/caption]
L’heure du partage du gâteau a, semble-t-il, sonné et nul ne voudrait apparemment être mis de côté, surtout ces organisations créées par-ci, par-là pour prendre part à la résolution de la crise du Nord, mais qui accusent d’être isolés dans la mise en œuvre de l’accord de paix.
Hier, certains de ces très fâchés sont montés au créneau à travers le lancement d’un nouveau bloc, la Coordination des mouvements prônant l’exclusivité et signataires de l’accord du 15 mai 2015 (Compis-15). Mohamed Ag Ousmane Mahamedoun de la Coordination des peuples de l’Azawad (CPA), Mohamed Atayoubou Sidibé de Ganda Izo et Jimmy le Rebelle ont rencontré la presse pour presque menacer le gouvernement des conséquences de leur exclusion.
Cette levée de boucliers est une pression pour qu’ils soient pris en compte dans la nomination annoncée des membres de la commission Vérité, Justice Et Réconciliation et du gouvernement pour lesquels le Premier ministre a reçu mardi des représentants de la CMA et de la Plate-forme pour lesquels 4 postes ministériels sont déjà réservés. De cette pression à une reprise des armes, il n’y a qu’un pas que certains promettent de franchir s’ils ne sont pas remis dans le processus. Il fallait s’y attendre !
DAK
Dramane Aliou Koné[/caption]
L’heure du partage du gâteau a, semble-t-il, sonné et nul ne voudrait apparemment être mis de côté, surtout ces organisations créées par-ci, par-là pour prendre part à la résolution de la crise du Nord, mais qui accusent d’être isolés dans la mise en œuvre de l’accord de paix.
Hier, certains de ces très fâchés sont montés au créneau à travers le lancement d’un nouveau bloc, la Coordination des mouvements prônant l’exclusivité et signataires de l’accord du 15 mai 2015 (Compis-15). Mohamed Ag Ousmane Mahamedoun de la Coordination des peuples de l’Azawad (CPA), Mohamed Atayoubou Sidibé de Ganda Izo et Jimmy le Rebelle ont rencontré la presse pour presque menacer le gouvernement des conséquences de leur exclusion.
Cette levée de boucliers est une pression pour qu’ils soient pris en compte dans la nomination annoncée des membres de la commission Vérité, Justice Et Réconciliation et du gouvernement pour lesquels le Premier ministre a reçu mardi des représentants de la CMA et de la Plate-forme pour lesquels 4 postes ministériels sont déjà réservés. De cette pression à une reprise des armes, il n’y a qu’un pas que certains promettent de franchir s’ils ne sont pas remis dans le processus. Il fallait s’y attendre !
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DaffeAttention ,même s'ils sont sensés appartenir à l'un des grands groupes cités ,ils ont quand même acceptés d'accompagner le gouvernement le 15 pour la première signature .le gouvernement n'a pas le droit de les oublier . Renaissez nous et optons pour l'inclusivité -
LAMINENous demandons à ce nouveau bloc de faire tout pour ne plus saboter ce processus de paix. Monsieur le journaliste vous aussi "De cette pression à une reprise des armes, il n’y a qu’un pas que certains promettent de franchir s’ils ne sont pas remis dans le processus." Ce propos est une incitation à la polémique et il faut vraiment éviter des propos comme cela.
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CHEICK OLa paix ne doit pas être liée aux intérêts personnels d'une minorité :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: Le gouvernement ne doit plus négocier celui qui se détachera de ce processus pour la paix pour des raisons personnelles ou intérêts personnels.
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InteLenceCes mouvements et organisations mercantiles- des vautours politiques -ne défendent pas les intérêts de cette nation.Ils veulent en faire de la présente crise et de la misère du peuple malien leur lune de miel. Voilà les raisons profondes de leur combat. Seul Dieu sait et peut sauver le Mali. :evil: :evil: This country is the devil footprints. :evil:
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BLACKYCes personnes pensent qu'ils valent plus mieux que nous les autres maliens ou quoi :?: :?: :?: à chaque fois que nous prenons des initiatives pour :!: un bon départ, ils essayent de mettre du bâton dans nos roues. Trop c'est trop!!!
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BINTOUPersonne n’est mis de côté dans le développement du Mali. Le Mali a besoin de tous pour la paix et la securité. Ce n’est pas en créant chacun une organisation qu’on va y arrivé.
