L’élection présidentielle au Sénégal a bouleversé de nombreuses idées reçues, apportant un éclairage nouveau sur le potentiel de changement politique en Afrique . Au cœur de cette transformation se trouve Ousmane Sonko , qui, confronté à son exclusion des listes électorales, à pris la décision stratégique de soutenir Bassirou Diomaye Faye comme son représentant au lieu de choisir comme bien d’autres un boycott pur et simple des élections. Cette manœuvre, loin d’être un simple coup politique, a incarné une profonde confiance dans la capacité du peuple sénégalais à porter le changement.
Le duo Sonko-Faye , malgré des ressources financières limitées, a réussi à vaincre le mythe selon lequel l’accès à la présidence est uniquement réservé à ceux disposant de fonds substantiels. Cette victoire illustre qu’avec une détermination et une stratégie adéquate, les barrières financières ne sont pas insurmontables. La campagne de Faye, portée par l’engagement et le soutien de Sonko, a démontré qu’une vision partagée et des valeurs communes peuvent mobiliser efficacement le soutien populaire, même en l’absence de ressources financières importantes.
L’élément crucial de cette réussite électorale réside dans l’extraordinaire mobilisation de la population sénégalaise. Face à un contexte politique tendu et des enjeux démocratiques significatifs, les Sénégalais se sont massivement mobilisés pour soutenir le changement et défendre leurs droits. Cette mobilisation, allant au-delà des clivages et des intérêts personnels, a joué un rôle déterminant dans la victoire de Faye, a démontré la force de l’unité et de la solidarité dans la poursuite d’objectifs communs.
Cette élection a également mis en lumière les limites du pouvoir en place, incarné par Macky Sall . Malgré les tentatives de maintenir le statu quo, la volonté populaire, guidée par un soif de renouveau et de justice, a finalement prévalu, remettant en question les dynamiques de pouvoir établies et ouvrant la voie à de nouvelles possibilités pour l’avenir politique du Sénégal .
La leçon que Sonko et le peuple sénégalais offrent aux opposants africains est claire : l’engagement, la solidarité et une stratégie réfléchie peuvent transcender les obstacles financiers et politiques . Cette élection rappelle aux acteurs politiques à travers l’Afrique que la puissance réside dans la volonté véritable collective et la capacité à s’unir pour un changement significatif.
Article reads like what I consider NATO democracy would have 150 years ago. Times have changed plus economic conditions are primary factor after security. Voter degree of education also determine how they perceive information about politicians. In fact in Africa degree of education have been dynamic being those with lesser world class education are often manipulated or/plus duped into believing likeable incompetent politicians are good leaders. Instead they create conditions that subject more Africans to being peasants .
African Democracy properly defined plus managed is plus always have best represented Africans best interest. This inclination to follow passage of unaffordable plus cleverly manipulating NATO democracy go to show lingering effect of Colonialism plus Stockholm Syndrome in Africa. It must be stopped. It is clearly a traitor to Africa s best interest or/plus sleeping agent intending to destroy Negroid Africans.
Henry Author Price Jr aka Kankan
Moi je trouve que la leçon a été donnée par les institutions sénégalaises qui ont résisté aux manoeuvres politicinennes. On verra bien ce que feront les nouveaux dirigeants quand ces mêmes institutions s’opposeront à l’une de leur décision.