Communiqué du conseil des ministres extraordinaire du vendredi 20 novembre 2015
21 Nov 2015 - 10:11
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Le Conseil des Ministres s'est réuni en session extraordinaire, le vendredi 20 novembre 2015, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Président de la République, Monsieur Ibrahim Boubacar KEÏTA.
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caribiaVoici selon une étude mondiale les solutions pour éradiquer ce fléau: Les moyens efficaces pour éradiquer le terrorisme. La lutte contre le terrorisme exige nécessairement la compréhension de ses causes profondes d'abord, ensuite trouver les remèdes obligatoires à ces « maladies », car « prévenir vaut mieux que guerrir ». Autrement, la lutte contre le terrorisme doit, pour être efficace, se placer sur le terrain de la lute contre les causes du terrorisme. A cet égard, il faut comprendre les souffrances et le désespoir des pauvres, respecter la dignité humaine, la tolérance et mettre en pratiques les principes des conventions des droits de l'homme, notamment la démocratie et le partage des richesses. Une politique responsable doit faire en sorte que les richesses produites profitent à tout le monde. Cela n'a rien à voir avec l'idiologie, c'est une simple question de justice.(66(*)) Si on l'applique pas ces principes, les choses ne s'améliorent plus et on n'aboutira pas à une paix durable. On ne saurait mieux poser le problème que ne le fait Mary Robinson, ancienne haut commissaire des Nations Unies aux droits de l'Homme ; « la sécurité de l'être humain, rappelle-t-elle, n'est pas une question d'armes, c'est une question de vie et de dignité » qui passe obligatoirement « par l'économie, la nourriture, la santé, l'environnement, la sécurité politique... » « ...le combat contre le terrorisme doit être aussi une guerre menée contre le dénuement la discrimination et le désespoir ».(67(*)) Alors, après avoir donner notre avis sur l'utilisation de la force militaire comme étant la seule réponse au terrorisme (section 1), nous discutons sur l'arsenal juridique antiterroriste (section 2), pour arriver, enfin, a proposer quelques solutions importantes, telles que : le développement durable (section 3), les luttes pour la démocratie (section4) et le règlement total du conflit israélo-palestinien (section5) Section 1 : le recours à la force militaire,est-il une solution ? Au lendemain du 11 septembre 2001, les Etats-Unis ont déclaré une guerre sans limite contre le terrorisme qui à commencé par le bombardement de l'Afghanistan, tout en provoquant les milliers de morts civils innocents. On invoque le fait que l'Afghanistan abrite des terroristes. Sans doute. Mais, en vertu de ce principe quel pays ne devrait-on bombarder ? Puisque, depuis longtemps, Haïti demande, sans succès, l'extradition d'Emmanuel Constant, terroriste notoire réfugié aux Etats-Unis, doit-on conclure que Haïti serait en droit d'attaquer ce pays ? La riposte américaine a, certes, permis la victoire militaire de l'Alliance du Nord et la chute du régime de Taliban, mais, est ce pour autant que l'objectif initial d'atteindre Oussama Ben Laden et d'éradiquer le terrorisme sera atteint ? Le doute demeure et pour longtemps encore peut-être. Car même si Oussama Ben Laden est atteint physiquement, directement ou indirectement, le terrorisme ne risque pas de disparaître, parce que, d'une part, les tentatives de vengeance de ses fidèles ne manqueront pas, et d'autre part, parce que « les Oussama Ben Laden » pullulent et n'attendent que le moment où ils pourront frapper. Ainsi qu'a pu le dire M. Nelson Mandela, « toute action (militaire) serait aussi impopulaire que celle que des terroristes ».(68(*)) La guerre au terrorisme s'est poursuit, ainsi, par la guerre, dite « préventive » contre l'Iraq (printemps 2003)qui avait des objectifs où, au-delà des hypothétiques armes de destruction massive, le renversement de Saddam Hussein et l'avènement de la démocratie dans la région, figuraient également les liens supposés entre ce dernier et Alqaïda. Pourtant, le terrorisme n'a pas cessé pour autant,comme le montrent entre autre les attentats contre les bureaux de l'ONU à Baghdad (19 août 2003) ou ceux de Madrid (11 mars 2004), par exemple. Au lieu d'arrêter ce phénomène, comme c'est prétendu, cette guerre va lui donner une impulsion. C'est pourquoi la réponse juste au terrorisme n'est pas, et ne peut pas être, dans les représailles. Aucune frappe militaire, quelle qu'en soit la taille, l'intensité ou la cible, ne pourra atteindre les deux objectifs que devrait poursuivre toute décision politique ou militaire : être efficace quant aux objectifs poursuivis, et contribuer à améliorer la situation plutôt qu'à la détériorer.(69(*)) D'ailleurs, la force et la violence n'ont jamais corrigé durablement les problèmes et n'ont toujours, aux mieux, procuré que des victoires apparentes et temporaires, quand elles ne sont pas révélées un remède pire que le mal. Faire, donc, pleuvoir les missiles sur l'Afghanistan, sur l'Iraq ou sur tout autre pays du monde ne fait qu'ajouter les morts aux morts et nourrir davantage la haine, sans prouver, ni régler quoi que ce soit. En effet, Tony Blair, le premier ministre britannique et l'allié fidèle de la Maison Blanche constate que « l'action militaire restera futile, à moins que nous nous consacrions à la ques9 ansRépondreLike (0)
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bebalVoici les causes du terrorisme dans le monde: Les causes du terrorisme De prime abord, il faut faire une distinction entre comprendre les causes du terrorisme et l'approuver. Ce qui est, pourtant, élémentaire et essentiel. Donc, on va s'interroger sur les causes du terrorisme, notamment, de l'après guerre froide, qui se sont fortement multipliées : la pauvreté, le chômage l'analphabétisme, l'injustice, l'humiliation...en un mot cette mondialisation (section 1) qui a, aussi, fourni au terrorisme tous les moyens technologiques dont il a besoin, pour se concrétiser et s'étendre. Parallèlement, la politique étrangère des Etats-Unis d'Amérique qui nous paraît injuste, arrogante et guerrière, est accusée d'être la deuxième cause du terrorisme (section 2) Section 1 : la mondialisation. La mondialisation, telle qu'elle est définie, est un mouvement d'internationalisation des économies et des sociétés induit par le développement des échanges dans le monde. Elle ne concerne plus seulement les marchandises, mais englobe les capitaux, la main-d'oeuvre, les services, la propriété intellectuelle, les oeuvres d'arts...(18(*)) ce qui la rend un processus de changement global, profond, inexorable, irrésistible et durable qui transforme le paysage politique, économique et social international. (19(*)) La genèse le la mondialisation est quelque peu controversée en doctrine.(20(*)) Mais la majorité des spécialistes font coïncider son avènement avec la fin du 20ème siècle, qui a connu des brusques transformations à l'échelle mondiale, notamment : la chute du mer de Berlin, la dislocation de l'Union soviétique et la première guerre irakienne de 1991. (21(*)) Mais, comment ce phénomène peut-il conduire au terrorisme ? La doctrine de la mondialisation repose sur les quatre points suivants : 1) ouverture des frontières afin de libéraliser le commerceet la finance. 2) déréglementation et privatisation. 3) recul des dépenses publiques et des impôts au profit des activités privées. 4) primauté des investissements internationaux et des marchés financiers. En somme le déclin du politique et de l'Etat au profit des intérêts privés !(22(*)) En libérant les mouvements des capitaux de tout contrôle étatique, cette politique, déplace le pouvoir économique de la sphère publique, des Etats à la sphère privée de la finance internationale. Les fonds de pension, fonds de spéculation, banque, assurances contrôlent une masse de liquidités de l'ordre de 30000 milliards de dollars, supérieur au produit mondial d'une année.(23(*)) Il n'y a, donc, pas de nations qui peuvent résister à leurs pressions. Ainsi, leur capacité de nuisance est très forte comme en témoigne les différentes crises qui ont frappé l'économie d'un nombre très grand de pays émergeants. (24(*)) C'est, donc, une logique de fructification rapide des patrimoines financiers qui caractérise, désormais, le système. Cette course sans limite au profit à court terme épuise la nature, multiplie les déchets, détruit les régulations de la biosphère et menace le destin des générations futures. La mondialisation est devenue insensée au sens propre, puisque l'instrument économique se substitue à la finalité au lieu de la servir, les frontières entre le moral et l'immoral, le légitime et l'illégitime disparaissent ! Ce pendant, toutes les conditions étaient requises pour provoquer le désespoir, puis l'action et la réaction des peuples, qui peut être pacifique à travers les grandes mobilisations du mouvement anti-mondialisation (constitué principalement par les ONG, les syndicats des travailleurs, les intellectuels...), mais aussi sanglante qui culmine avec des attentats terroristes, puisque « quand on sème le désespoir, on récolte fatalement la violence ». (25(*)) Le terrorisme, donc ne surgit pas du néant, il s'est trouvé un terreau (paragraphe 1), celui de la misère, de l'humiliation et du délitement des valeurs. Ce terreau s'est trouvé enrichi par un engrais (paragraphe 2), ce lui de la technologie de pointe et de l'argent de l'illégalité. Paragraphe 1) le terreau A) la misère : Nous venons, donc, de démontre l'autre revers de la mondialisation qui réside, essentiellement, dans : la pauvreté (a), le chômage (b), la famine (c), la situation tragique de l'enfance (d), la propagation des maladies graves (e), et l'injustice résultant des disparités de développement entre les pays (f). a- la pauvreté : Certes, la pauvreté est un phénomène historique, mais, à l'ère de la mondialisation elle n'a pas cessé d'augmenter. Les chiffres parlent d'un milliard et demi de personnes dans le monde qui ont moins d'un dollar par jour pour vivre, et ceux qui vivent par mois de deux dollars par jour, sont de trois milliards dans le monde, c'est à dire la moitié de la population mondiale. (26(*)) Ainsi, la pauvreté varie en fonction des aires géographiques, les pauvres représentent 10% des habitants de l'Asie de l'est, 52% de l'Asie du sud, 25% de l'Amérique latine9 ansRépondreLike (0)
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baltazarLes ONG nationales et internationales travaillant dans des situations de conflit sont confrontées à un nombre important de dilemmes, notamment celui de leur positionnement vis-à-vis des gouvernements. Cette tension a été exacerbée par le contexte de la guerre contre le terrorisme comme le démontrent les témoignages recueillis au cours d’échanges avec des représentants d’organisations de la société civile de différents pays d’Afrique, d’Amérique Latine et d’Asie. L’impact des mesures anti-terroristes sur les ONG couvre des domaines divers tels que la politisation des critères du financement, la stigmatisation et le durcissement des contrôles, le placement sur des listes terroristes répondant à des critères arbitraires, ainsi que des faits de violence physique et psychologique à l’encontre des leaders d’ONG considérées abusivement comme suspectes ou dissidentes. Un grand nombre de régimes répressifs profitent de la guerre menée contre le terrorisme pour accentuer leurs contrôles sur les ONG. L’agenda anti-terroriste international défini sous l’égide de l’administration des a servi les agendas sécuritaires nationaux, notamment en légitimant des mesures de restriction du champ d’action des ONG. La question fondamentale qui se pose est de savoir si le vaste arsenal de mesures anti-terroristes déployé est conciliable avec la liberté d’association qui constitue un des piliers de la vie démocratique Chers maliens soyons compatissant car la compassion fait agir contrairement à la faiblesse qui rend craintif9 ansRépondreLike (0)
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baalL’une des victimes de l’acte barbare et effrayant d’hier était un homme, un économiste, un écrivain, un journaliste singulier,conférencier et homme d'affaire un original Belge , bien connu des grands conférenciers de France. C’était Geoffrey Dieudonné , un homme engagé, volontiers rebelle à sa manière, nourri de Marx et surtout de Keynes, et qui refusait obstinément qu’un réaliste ambiant ruine l’ambition et la noblesse de l’idéal politique. Un homme sensible, au grand charme, qui aimait les duels, bataillait certes contre l’ère du temps libéral, mais sans aucun sectarisme, ni arrogance. il travaillait pour l'UE.Geoffrey Dieudonné n’avait pas la religion de l’ennemi. L’homme qui vient de perdre la vie sous les balles du fanatisme, cherchait simplement à nous préserver de « la fureur du capitalisme ». Alors soyons des sources de compassion et de securité pour le monde entier. Que Dieu bénisse IBK et vive le Mali9 ansRépondreLike (0)
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baronLa compassion nous enseigne à reconnaître le caractère sacré de chaque être humain, et à traiter autrui sans exception et respect dans un esprit de justice , d'équité ,et d'unicité Car c’est quand les terroristes frappent à intervalle plus ou moins réguliers, quand le virus de la peur et de l’insécurité gagne les esprits et commence à changer les comportements économiques des particuliers et des entreprises : on se déplace moins, on consomme moins, on diffère des investissements petits ou grands. Le coût des politiques de sécurité s’envole, et renchérissent les actions économiques et les transactions. Les grandes entreprises annulent ou différent des campagnes. On en n’est pas là bien sûr aujourd’hui en France et il est encore bien trop tôt pour dire savoir comment les Français réagiront si le terrorisme s’installait d’un manière ou d’une autre dans notre quotidien. Un scénario du pire que bien évidemment nul ne souhaite. Que la Paix et la sécurité soient notre bouclier9 ansRépondreLike (0)
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belzebultCe survol des préjudices économiques et humains globaux du terrorisme est là pour attester d’un impact certain sur le quotidien et la planification du futur. La mécanique et la logique mathématique ont ce défaut de permettre d’évaluer l’instabilité. Ainsi, les probabilités appliquées nous enseignent que si le risque demeure l’élément moteur des affaires, il en est aussi le facteur le plus répulsif. Il en coûte cher d’avoir peur. En un seul mot,un seul geste , une seule pensé peuvent réduire les souffrance d'une nation La paix mondiale et universelle est notre seul priorité9 ansRépondreLike (0)