Il me revient depuis New Delhi que des forains de ma chère commune ont été victimes de braquage de bandits de grands chemins. Nous nous indignons de cette situation récurrente qui met en danger la vie de paisibles citoyens en quête de leur pain quotidien. L’essor économique de notre commune est dû en partie à la vibrance des échanges commerciaux exercés par une bonne frange de la population.
Le vandalisme qui a été perpétré à la suite du braquage ne pourrait en aucun cas être justifié par la lenteur de la réaction de forces de sécurité. Saccager les biens immobiliers et matériels roulants de la Brigade Territoriale est un acte d’incivisme qui ne contribue guère à la résolution de l’insécurité dans notre commune. Nous invitons la population à s’élever au-dessus des perturbateurs et ceux qui les incitent à se rendre justice. Notre commune profitera et se fera respecter pour ce que nous construisons, mais point pour la destruction de biens publics ou privés.
En attendant le rapport de la réunion d’urgence convoquée par le Préfet de Kati, nous exprimons nos regrets pour les pertes des biens privés et les dommages causés par les vandales. La population de la commune et les autorités locales (sécuritaires, administratives et politiques) ne ménageront aucun effort pour assurer la protection des personnes et leurs biens dans la commune Rurale de Ouélessébougou. Unis, nous gagnons tous, divisés, nous perdons tous !
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Un Ambassadeur ne se mêle pas des situations intérieures de son pays, si ancien Maire fût-il.
Celui -la va jusqu’à s’exprimer en lieu et place des autorités locales (sécuritaires, administratives et politiques)
Le Département doit rappeler à l’ordre cet Ambassadeur.
Pauvre Mali…..
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