Urgence humanitaire, reconquête du territoire, confection d’un fichier digne du nom, remise de l’école et de l’administration sur les rails, etc. le nouveau chef du gouvernement a véritablement du pain sur la planche. Et le compte à rebours a commencé pour lui.
C’est un pays complètement fragilisé que vient d’hériter Cheick Modibo Diarra. Nommé mardi dernier comme Premier ministre de la transition, il aura, avec ses « pleins pouvoirs », comme mission de remettre le pays au travail. La formation du nouveau gouvernement, dont les consultations ont déjà commencé, devrait intervenir dans les prochains jours. Et l’une des priorités reste la reconquête du territoire, aujourd’hui partagé entre la nébuleuse rébellion du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et les groupes islamistes armés d’Ançar Dine et AQMI. Jamais depuis 1960, l’armée malienne n’a été aussi humiliée. Chassée des trois principales régions du Nord (Gao, Tombouctou et Kidal), les populations doivent se résigner à attendre l’aide extérieure de la CEDEAO pour rétablir l’intégrité territoriale. La moitié du pays échappe depuis un mois au contrôle de l’administration centrale. Achat de moyens de combat adaptés aux réalités du terrain, formation de militaires capables de défendre le drapeau en tout lieu et en toute circonstance, etc. aujourd’hui aucun effort ne sera de trop pour reconquérir nos villes.
Mais en attendant, ce sont des centaines de milliers de familles qui fuient vers Bamako (au meilleur des cas) ou vers les pays voisins. Avec des magasins et banques pillés, des hôpitaux en manque de médicaments et de personnel souvent, etc. Le défi humanitaire reste urgent. Ce tableau sombre est venu malheureusement s’ajouter à une situation alimentaire des plus catastrophiques. Car depuis une année, le Système d’alerte précoce (SAP) avait tiré la sonnette d’alarme sur la menace de famine qui sévit dans 104 communes (sur les 703) du pays. Le temps presse pour le nouveau Premier ministre, et la création d’un département ministériel chargé du Nord préconisée par les conclusions de Ouagadougou, démontre toute l’importance de l’enjeu.
Ecole, fichier électoral, administration publique, etc.
L’enjeu de la mission de Cheick Modibo Diarra sera aussi d’établir un fichier électoral fiable en vue des prochaines élections. « Nous attendons qu’il mette en place un fichier biométrique avant les élections générales. C’est la seule solution pour avoir un climat politique apaisé et organiser des élections transparentes et crédibles. La gestion du fichier électoral et l’organisation matérielle des opérations de vote doivent être confiées à un organisme indépendant afin d’éviter toute crise postélectorale », recommandent plusieurs responsables politiques interrogés sur leurs attentes. « Le Mali pourrait organiser pour la première fois depuis 1992, des élections crédibles dignes de ce nom », espèrent d’autres.
Il y a un défi non moins important qui va attendre le nouveau patron de l’exécutif national : c’est celui de remettre les Maliens au travail. Il faut le dire, Cheick Modibo hérite d’un pays à genou économiquement, du fait de la corruption à tous les niveaux, d’une administration très malade où l’usager est très mal servi, où les recrutements sont faits sur la base des rapports politiques ou de parenté. Le nouveau chef du gouvernement hérite également d’un Etat complètement absent où l’autorité n’existe que sur le papier, où le laisser-aller a plongé les populations dans une sorte de jungle, où chacun fait ce qu’il, où les règles élémentaires de civisme et de patriotisme sont régulièrement foulés au pied par ceux-là même qui doivent constituer l’exemple. Cheick Modibo hérite, encore une fois, d’un pays sans école depuis plus de 10 ans. A tous les niveaux de l’enseignement, il n’y a aucune perspective, et rien ne constitue un motif de satisfaction. L’ancien régime, qui a étalé son incapacité notoire à assurer la formation des ressources humaines, avait laissé faire. Et le fameux « Forum sur l’éducation » n’a pu changer le visage d’une école en quête de repères.
Comment redonner espoir à un Mali malade de lui-même ? Voici tout le défi du Premier ministre de la transition. Le temps presse pour lui, et le bilan qui lui sera dressé sera sans complaisance !
Issa Fakaba Sissoko
Ceux qui s’attendent à une riposte de l’armée malienne ont beaucoup de jours devant eux . Presentement la ville de Sévaré est la plus militarisée du Mali . Il y’a pratiquement les 2/3 de l’effectif de notre armée basée au camp de Sevaré à attendre selon leur dire le mot d’ordre de Bamako . Entre temps que font-ils ?
– Vente de la dotation de carburant de leur vehicule . Des barils au niveau superieur et des bidons de 20 litres au niveau des soldats .
– Vente de la dotation de macoroni , huile , savon , poulet en boite aux commerçants de la place
– Exhibitionnisme permanente dans la ville .Avec des executions extra-judiciares en plein jour et des fois dans des cours d’ecoles en presence d’enfants ( comme s’etait le cas le Vendredi dernier à 09 heures du matin )
– Ils courtisent les femmes mariées . Profitant bien entendu de la difficulté financiere actuelle de la region de Mopti . Mopti est sans banque . Meme les salariés s’endettent pour pouvoir assurer le quotidien de leur famille ( beaucoup de chef de famille commencent à se plaindre d’eux ).
Actuellement plus de la moitie des prostitués du Mali se sont données rendez-vous à Mopti . Leur clients fidels ne sont autres que les militaires . C’est actuellement la deparavation des moeurs .
Les Bars ont ouvert et font des recettes falamineuse toutes les nuits en consonmation d’alcool de nos soldats en “replis tactique”.
Cette armée que l’on observe à Sevaré ne peut meme pas arrivée à bout des enfants munis de lance-pierre à plus forte raison de MNLA et ANSAR-DINA lourdement armée . Un groupe qu’on ne poura battre qu’avec de la determination et du profetionnalisme de notre armée .
Bamako doit agir pour maitriser cette debacle à Mopti sans quoi un jour cette ville tombera egalement dans une mutinerie entre habitant et militaires . Dejà que tout le monde sait que ce sont des laches et fuyards.
Voila toute la situation à Mopti .
Que vont faire Sanogo et compagnie maintenant? Le Col-major Gamou est un rempart contre les Sanogo maintenant car il n’est sous aucun commandement.Gamou ne se laisserait commander par un petit capitaine et s’il est garçon pourquoi ne pas envoyer sa milice a Labezenga pour l’arrêter comme il aime le faire c’est pourquoi il me dort plus que d’un œil.
Je pense qu’il faut d’abord un gouvernememt d’union nationale.
Mais cela sera dificil,parceque les opposants aux CNRDRE n’acepteront jamais d’etre figurant dans ce nouveau gouvernement.Mais et pourtant ,ils ont aux suppletifs/figurants au temps ATT.
Le peuple malien tout entier ,en particulier ceux du nord ,demande aux politiciens et la junte militaire de mettre d’abord l’interet du peuple en premier lieu,enfin de former un gouvernement d’union nationale.
je pense que les dés sont déjà jetés et dailleurs dépuis longtemps.
Les conseillers de Mr. Sanogo ,doivent lui dire de faire attention,parceque plus le temps ,la population préocupée´par le probleme du nord devient aigrie ,incertaine et dira aller au diable tout le monde.
Considérant tout cela,je pense que Mr. Diarra C. Modibo aurra une note de 14 sur 20 s’il obtient un bon resultat dans le cadre de la reprise du nord et surtout d’une solution viable et a long terme,oui je le dit a long terme.
Pas comme ATT (a court terme).
La santé,L’education, j’en passe ,par tout des problemes.c.ad. un trou ,il faut d’abord remplir le trou .Alors Mr. Diarra sur ce point il faut remplir le trou pas plus pas moins.et personne ne vous reprochera de rien si le probleme du nord se fini bien et a long terme.
Non franchement,les politiciens etaient depassés par l’allure de la vie quotidienne.
Il ya combien de jeunes diplomés sans emplois au Mali.
Non mais je commence a m’enervé,a plus tard.
Je pense qu’il faut d’abord un gouvernememt d’union nationale.
Mais cela sera dificil,parceque les opposants aux CNRDRE n’acepteront jamais d’etre figurant dans ce nouveau gouvernement.Mais et pourtant ,ils ont aux suppletifs/figurants au temps ATT.
Le peuple malien tout entier ,en particulier ceux du nord ,demande aux politiciens et la junte militaire de mettre d’abord l’interet du peuple en premier lieu,enfin de former un gouvernement d’union nationale.
je pense que les dés sont déjà jetés et dailleurs dépuis longtemps.
Les conseillers de Mr. Sanogo ,doivent lui dire de faire attention,parceque plus le temps ,la population préocupée´par le probleme du nord devient aigrie ,incertaine et dira aller au diable tout le monde.
Considérant tout cela,je pense que Mr. Diarra C. Modibo aurra une note de 14 sur 20 s’il obtient un bon resultat dans le cadre de la reprise du nord et surtout d’une solution viable et a long terme,oui je le dit a long terme.
Pas comme ATT (a court terme).
La santé,L’education, j’en passe ,par tout des problemes.c.ad. un trou ,il faut d’abord remplir le trou .Alors Mr. Diarra sur ce point il faut remplir le trou pas plus pas moins.et personne ne vous reprochera de rien si le probleme du nord se fini bien et a long terme.
Non franchement,les politiciens etaient depassés par l’allure de la quotidienne.
Il ya combien de jeunes diplomés sans emplois au Mali.
Non mais je commence a m’enervé,a plus tard.
blblaa
Moi je pense que le PM ne doit pas s’attaquer à tout en même temps. Il doit prioriser ses interventions, d’abord former son gouvernement puisque dans son discours il a averti les imposteurs du Nord; Et s’il vous plaît ce gouvernement ne doit pas rtetenir les enciens ministres d’ATT, parcequ’on pense que ce dernier est le seul coupable de l’impasse dans laquelle on se trouve, non tous ceux qui ont participé durant les dix années de ATT sont aussi coupables.
Ensuite il faudra que le PM revoit sérieusement avec la CEDEAO qu’elles sont les voies et moyens, mais également les stratégies à mettre en place pour une intervention millitaire, parcequ’on se trouve en face d’interlocuteurs armés et cela veut dire que je ne veux rien entendre. Et tout ceci justement en collaboration avec l’armée malienne qui est le premier défenseur de l’intégrité térritoraile. Et surtout qu’elle sort de l’engrenage politique pour se focaliser sur leur vrai mission, qui est la défense ne pas se meler des tendance ou penchant pour tel ou tel candidat.
Le PM doit veiller à ce que les populations bénéficient de toute l’assistance dont elles ont besoin au Nord comme au Sud qui reçoit beaucoup de personnes.
Pour l’enseignement, le charger de cela peut bien s’occuper avec ces collaborateurs et le corps prfessoral, il ne faut pas que l’on mette des ministres et que c’est le PM qui vient s’occuper de tout, c’est pourquoi il faut s’assurer du niveau intellectuel avant les nominations. Et même si les partis proposent des personnes qu’ils aient un bagage pour comprendre et pouvoir défendre leur portefeuille.
Et surtout en temps que simple citoyen de ce pays il faut qu’on attire l’attention sur la télémania, la majorité de la population étant analphabète dès qu’elle voit quelqu’un à la TV elle pense que la personne est indispensable au développement politique et socio- économique de notre pays. Ains beaucoup d’incompétents profitent du pétit écran pour fixer leur image dans la tête de la masse.
Enfin nous souhaitons tous que le Mali sorte de cette situation humiliante et recommence a être concurrenciel d’avec ces voisins.
Ma chere Djeneba sans vous flatter vous meritez une place de conseillere. Si le PM pouvait avoir acces a des conseils en provenance du commun des mortels comme vous sincerement le pays ne ferait qu’en beneficier. Pour un homme auquel les accords ne donnent qu’un temps bien limite, il doit avoir des priorites et la priorite actuelle est la liberation du nord un point un trait. Comment veut on reparer des tords qui on ete causes pendant 20 ans en 40 jours. Que le PM choisisse ses propres car en cas de problemes ces memes gens qui veulent lui imposer leurs gens seront les premiers a l’accuser. LE TEMPS PRESSE ET IL FAUT AGIR. MA PAUVRE D GRAND MERE A TOUJOURS DIT QU’ON NE PEUT PAS DIRE A QUELQU’UN QUI EST ASSIS SUR DES BRAISES D’ATTENDRE OU DE PATIENTER.
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