Le défilé des ministres à la barre

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Assemblée nationale
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Thièrno H Diallo répondait aux questions de l’honorable Illias Goro, élu à Douentza. Ces questions faisaient allusions à la mauvaise organisation du pèlerinage à la Mecque 2014. Selon le ministre, son département n’est pas technique mais de spiritualité. A l’en croire, le nombre de pèlerin gouvernemental était de 961, l’encadrement était de 30, les délégués étaient de 98. La location de l’hôtel a couté plus d’un milliard de FCFA. « Je travaille pour Dieu et chaque acte que je pose dans mon département m’interpelle. Nous avons une obligation de résultat. J’appartiens à la jeunesse. Je ne dois pas faillir ni décevoir. Je n’ai pas signé le contrat d’attribution de l’hôtel car je n’avais pas encore pris fonction. Nous n’avons pas le monopole de la perfection. Les imperfections seront corrigées », a rassuré le ministre des affaires religieuses et du culte.

Fily Sissoko

L’interpellation du ministre Bouaré Fily Sissoko faisait allusion à une convention que l’Etat a eu à signée en 1993 avec Betram Sa dont beaucoup de jeunes ont perdu leurs emplois par la suite. Fily Sissoko a souligné que le Mali est un Etat de droit et le gouvernement fera tout pour mettre chacun dans son droit.

Sada Samaké : « Il n’est pas question de nier l’insécurité à Bamako. Il faut savoir raison garder, les forces de sécurité sont à pied d’œuvre avec les moyens de bord pour combattre le fléau. La capacité de professionnalisme est de 70%, nous travaillons sur l’anticipation maintenant. Nous avons l’ambition de faire de la police un corps compétent. Les indisciplinés n’ont pas leur place. Personne ne va nous divertir. Il n’y’aura pas de coup d’Etat. Tant que je suis ministre de la sécurité, nous ferons de la police ce que nous voulons », a dit le ministre.

Le ministre Ousmane Koné

L’interpellant a invité le ministre à prendre des dispositions pour faire face à l’Ebola, surtout dans les zones frontalières comme Faléa et les zones minières. Selon le député, le malade évacué de la Guinée sur le Mali doit avoir impérativement un certificat d’évacuation. Avant d’ajouter que les responsables de la propagation de l’Ebola au Mali doivent être sanctionnés. Le ministre de la santé Ousmane Koné a, dans sa réponse, souligné qu’il ne doit pas y avoir de certificat d’évacuation entre la Guinée et le Mali. Selon lui, l’enquête établira les responsabilités. Il a signalé que le nombre de décès lié à Ebola est de 5 et une soixantaine sont en quarantaine.

 

 

 

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2 COMMENTAIRES

  1. salut le peuple du mali concerna le débat des débuté du mali ils ont parle le problème de la carte NINA il y a un débuté qui a dit qu’ont doit fait le récencement avec l’importe qu’elle papier qu’on amène pour moi ce qu’il a dit c’est anormale nous qui somme a l’extérieur du mali nous soufrons trot a cause de notre papier.Les pièces d’identité du mali son devenu autre chose tout le monde viens prendre notre pièce d’identité comme arachide c’est ce qui est anormale.Voila aujourd’hui la Cameroun menace notre convention a cause de même problème.notre pièce d’identité na plus de valeur par ce que toute nos voisin vienne prendre comme ils veulent,c’est sa qui nous fais soufrire aujourd’hui.On ne nous respecte pas a cause de notre insécurité de notre pièce d’identité.Il faut que l’état malienne cherche une solution pour sa MERCi

  2. Tout cela est bien beau, il faut des actions visibles et cessez s’il vous plaît de mentir au peuple car le jour ou il se déchaînera, plus rien ne peut l’arrêter encore. Nous souffrons dans notre chair et vous êtes la depuis si longtemps. Faites-nous rêver ou ayez le courage de démissionner pour que d’autres essayent.
    Vive le Mali que Dieu envoie les menteurs en enfer.

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