Attaque de Bamba, le vendredi 30 janvier par les bandits armés : La CASBA invite l'Etat à prendre toutes ses responsabilités
Les attaques récurrentes de la commune rurale de Bamba (cercle de Bourem) par les rebelles développent, ces derniers jours chez les populations un sentiment d'abandon de l'Etat malien. Ces populations qui disent réaffirmer leur attachement à l'Etat malien ont souhaité une forte présence de l'administration et des forces de sécurité.
Suite aux attaquent répétitives de la localité de Bamba, singulièrement celle survenue le vendredi 30 janvier dernier par les bandits armés, provoquant des pertes en vie humaine et des dégâts matériels énormes, les membres de la Coordination des associations des villages et des fractions de Bamba (CASBA) ont animé hier mercredi un point de presse, animé par le président de CASBA, Mohamed El Moctar Maïga à la maison de la presse. L'objectif était de solliciter l'implication active de l'Etat à prendre toutes ses responsabilités pour protéger les personnes et de leurs biens.
Mr Maïga, a rappelé que de l'Indépendance à nos jours, la ville de Bamba bien qu'ayant toujours subi les effets collatéraux des différentes rébellions, s'est confiée à l'Etat du Mali dont elle est partie intégrante pour assurer dans une approche globale, la sécurité des personnes et de leurs biens. A le croire, le 25 juillet 1994, les groupes rebelles ont attaqué la foire hebdomadaire du lundi et se sont livrés à un véritable carnage (103 morts, s'y ajoutent des disparus, des blessés et des dégâts matériels considérables). Lors de l'occupation, en 2012, les populations ont connues toutes les formes d'exactions (enlèvement des biens, pillage des services publics, entraves aux libertés publiques…
Aussi, le lundi 3 novembre 2014, deux paisibles individus quittant la foire hebdomadaire de Bamba ont été lâchement assassinés.
Encore, le vendredi 30 janvier dernier, les populations ont assisté impuissamment au pillage de leurs biens matériels par des bandits armés à bord de trois à cinq véhicules venus de Ber. Cette dernière attaque qui a causé d'énormes dégâts matériels, a provoqué l'ire des populations. Parmi les dégâts causés on peut citer, l'endommagement de l'antenne du réseau orange, l'enlèvement de la moto Sanili d'un enseignant, de quatre motos d'un commerçant, de pillage de toutes les boutiques de la place, excepté cinq.
Pour tirer les populations des hordes des bandits armés, le CASBA sollicite fortement que l'Etat du Mali prenne urgemment des dispositions pratiques pour assurer la protection des populations en vertu de la responsabilité de protéger qui incombe à chaque Etat au terme de la Résolution des Nations-Unies adoptée lors du 60ème sommet mondial de 2005.
Falé COULIBALY
Mr Maïga, a rappelé que de l'Indépendance à nos jours, la ville de Bamba bien qu'ayant toujours subi les effets collatéraux des différentes rébellions, s'est confiée à l'Etat du Mali dont elle est partie intégrante pour assurer dans une approche globale, la sécurité des personnes et de leurs biens. A le croire, le 25 juillet 1994, les groupes rebelles ont attaqué la foire hebdomadaire du lundi et se sont livrés à un véritable carnage (103 morts, s'y ajoutent des disparus, des blessés et des dégâts matériels considérables). Lors de l'occupation, en 2012, les populations ont connues toutes les formes d'exactions (enlèvement des biens, pillage des services publics, entraves aux libertés publiques…
Aussi, le lundi 3 novembre 2014, deux paisibles individus quittant la foire hebdomadaire de Bamba ont été lâchement assassinés.
Encore, le vendredi 30 janvier dernier, les populations ont assisté impuissamment au pillage de leurs biens matériels par des bandits armés à bord de trois à cinq véhicules venus de Ber. Cette dernière attaque qui a causé d'énormes dégâts matériels, a provoqué l'ire des populations. Parmi les dégâts causés on peut citer, l'endommagement de l'antenne du réseau orange, l'enlèvement de la moto Sanili d'un enseignant, de quatre motos d'un commerçant, de pillage de toutes les boutiques de la place, excepté cinq.
Pour tirer les populations des hordes des bandits armés, le CASBA sollicite fortement que l'Etat du Mali prenne urgemment des dispositions pratiques pour assurer la protection des populations en vertu de la responsabilité de protéger qui incombe à chaque Etat au terme de la Résolution des Nations-Unies adoptée lors du 60ème sommet mondial de 2005.
Falé COULIBALY
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AMANIAGOui, il vous plait de dire des bêtises sur la reprise de IBK à la MINUSMA à l'ONU; Je vous dis étant ici sur le terrain ici à Ménaka que IBK a raison de dévoiler en face du monde la Vérité sur ce que ces 2 ORGANISATIONS au nom de la paix sont en train de se comporter contre cette PAIX COMME précisément HIER ici à Ménaka. la MINUSMA voulait aider les rebelles, apatrides de la CMA a rentré à Menaka quand le GATIA les bottait les fesses vers l'OUEST, le SUD et le NORD croyant que la MINUSMA était à l'EST. L'armée Malienne a bien compris pour forcer la MINUSMA a lui quitter le chemin afin d'occuper l'EST. Je dirai tout juste quand IBK donnait la réplique à l'ONU ALORS QUE VOULEZ VOUS ? Si notre pays est membre à part entière des Nations Unies, qu'on reconnait cette vérité que l'ONU ou MINUSMA, la FRANCE ne sont pas là, SANS PARTI PRIS, pour la Paix au Mali. ET CES DISCOURS DE PROTECTION DE LA CMA NE POUVAIT VENIR QUE D'UN FRANCAIS; En plus du grand remerciement à la GATIA, à tous les maliens de saluer l'armée malienne qui nous a montrer HIER ses muscles contre la MINUSMA pour sauver MENAKA et le GATIA les a bien botter les fesses hier encore.
