« Nous disons un grand merci à tous ceux qui sont avec nous parce qu’ils ont l’espoir que les choses peuvent changer favorablement. C’est parce qu’ils ont pris conscience qu’un pays ne saurait se gérer sans la politique, sans les hommes politiques ». Ces propos sont du chef de file de ces jeunes de ces partis qui tentent de donner la voie à suivre pour la grande retrouvaille entre les poumons du même corps.
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Le Mali, après l’organisation des élections générales et la mise en place des institutions, ne semble plus en repos. Car, les acteurs politiques n’arrivent pas à accorder convenablement leur violon. Pourtant, ce sont, certains de ces partis qui ont tout mis en œuvre pour la réélection d’un indépendant à la tête du Mali dont la démocratie a été chèrement acquise.
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Quelques mois seulement après cette élection, l’on pense que les principes de la pratique démocratique sont récusés par cette même démocratie. Car, souligne-t-on, que c’est inimaginable que le parti majoritaire, malgré les propos tendancieux, ne détienne pas la primature. Que l’on foule au pied les cadres des partis politiques au profit des indépendants venus, on ne sait où. Ils estiment que c’est impensable et inacceptable que notre démocratie émane de la seule volonté d’un homme et de son clan.
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C’est pour cette raison, ont-ils souligné, qu’ils sont décidés à se retrouver pour mettre en place des commissions de réflexion. Lesquelles vont travailler pour la grande retrouvaille de l’Adéma afin que la politique revienne aux politiques. Pour que désormais, ceux qui veulent faire la politique se mettent dans la peau politique pour conquérir le pouvoir.
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Ces jeunes qui continuent à se rencontrer ont quand même des ambitions qu’ils veulent mettre à profit pour l’unification des partis issus du même corps. Il suffit, à cet effet, de la bonne volonté et l’engagement des différents partis pour redonner espoir aux maliennes et maliens qui en perdent de plus en plus. Comme en témoignent les nombreuses difficultés auxquelles nous sommes aujourd’hui confrontées et qui n’arrivent pas à être mieux élucidées.
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B. DABO
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