Communiqué de Maliactu Suite à l’arrestation musclée des trois (3) journalistes par des hommes armés
Suite à l’arrestation musclée par des hommes en armes dans les locaux de maliactu.net le mercredi 21 février 2018 à 11h, nous apprenons à travers le ministre de la communication du Mali que nos journalistes sont retenus par la police judiciaire dans les locaux de l’ Interpool.
Les trois (3) journalistes (Salif Diarrah, Aliou Hasseye et Issa Coulibaly) auraient été arrêtés à la suite d’une plainte déposée par le Maire de Koumaniana dans le cercle de Niafounké qui aurait fait l’objet d’un chantage de diffusion d’une vidéo compromettante par un réseau Béninois qui usurperait du numéro de contact de maliactu.net.
Le réseau de malfaiteur aurait demandé le paiement d’une rançon de 3 millions de FCFA au profit d’un bénéficiaire identifié au Bénin (par transfert d’argent au Bénin).
Selon les autorités policières, les malfaiteurs auraient utilisé le numéro de contact de maliactu.net (+223 74 02 95 49) disponible sur nos pages Facebook, notre compte Twitter, notre site internet ainsi que sur tous nos supports dans leurs échanges uniquement sur l’application whatsapp.
Aujourd’hui il existe des plateformes sur internet appelées des « spoof caller id » à l’instart de http://calleridfaker.com/ qui permettent d’appeler avec n’importe quel identifiant à afficher chez le numéro appelé.
Nos journalistes ne sont associés ni de près ou de loin à un quelconque réseau de diffusion de vidéos en ligne ou de chantage. Le seul fait d’évoquer le nom de maliactu.net ou même d’utiliser nos locaux sur des communications Whatsapp ne constitue pas de preuve qui impliquerait Maliactu dans cette entreprise.
Les journalistes de Maliactu ont été arrêtés par la force sur leur lieu de travail par quatre (4) policiers armés en civil sans mandat de d’emmener. Tout le matériel du travail (ordinateurs, microphones, caméras, téléphones etc) de la rédaction ont également été emmené.
La rédaction de maliactu.net condamne cette arrestation musclée de ses journalistes dans l’exercice de leur fonction et demande leur libération immédiate.
Nous ne comprenons pas cet acharnement sur nos journalistes qui font l’objet de menaces quotidiennes.
Les journalistes ne sont pas responsables des supports de communication et doivent pas être inquiétés dans l’exercice de leur fonction.
Par ailleurs, la direction de maliactu.net est disponible pour répondre à toutes plaintes et interrogations devant les juridictions compétentes du Mali.
La Rédaction
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LE ROI BITON DE SEGOUCes journalistes sont innocents pour le moment! C'est au procureur de demontrer ses preuves! Mes amis, faites attention car les pieges sont partou autour de vous!-
yugubanéOn s'en fout des pièges, un responsable qui envoie l'image de son «petit Bambara» aux filles doit s'attendre à ce que ça puisse tomber un jour dans les mains des journalistes.
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yugubanéDites le à vos chers Ministres et élus que pour draguer une gamine, on n'a pas besoin de lui envoyer la photo de ton machin ! Quiconque filme son propre derrière pour le balancer à qui que ce soit, ne peut plus se plaindre de la tournure que prend les choses. Moi je n'ai rien à reprocher à ceux qui se servent de ces images pour faire chanter les responsables, ma question est qui a réalisé ces images ? ?? Les petits violeurs de la semaine dernière ont dû voir le le cul de certains pères de famille avant de publier leur propre image sur internet. ????????
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jazPour créer un compte WhatSapp en associant un numéro de téléphone local, WhatSapp vérifie d'abord le numéro soit en envoyant un code directement sur le téléphone, soit en appelant directement le téléphone; si tu décroches ton téléphone, ton compte est activé ou si tu introduis le code reçu, ton compte est également activé. Sinon rien. Donc ce qu'ils racontent n'est pas clair. Ils sont impliqués.
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yugubanéAttention à ce que vous dites. Pour ma part, ça fait 4 ans que je n'arrive pas à échapper aux pirates installés en Russie alors que je n'ai jamais mis les pieds dans ce pays. Je change constamment de compte et ils reviennent toujours à la charge.
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BassitèUne position trop hâtive . Attendons les résultats de l'enquête .
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FBDes pseudos journalistes qui ne sont en réalité que des escrocs. Si le numéro que vous utilisez a été utilisé par les malfaiteurs c'est que vous êtes les malfaiteurs vu que c'est vous uniquement qui utilise ce numéro. Et on voit bien que vous cherchez à cacher la vérité sur cette affaire. Car selon les sources policières ces maîtres chanteurs de Mali.actu ont été interpellés dans un cyber café et non dans les locaux de mali.actu. Que force soit à la loi.
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oroBonjour Monsieur, vous devez savoir que n'importe qui peut pirater un numéro de téléphone, de compte émail, de compte bancaire et j'en passe. Donc , on peut bien accorder la présomption d'innocence à ces jeunes et ne pas arrêter les gens sans convocation, sans mandat.comme dit le proverbe:"Quand on veut abattre son chien on dit qu'il à la rage". Et puisque vous parlez "d'escroc" si la loi faisait son travail comme il fallait, il n'y aura plus d'enfant qui dormiront dans la rue, d'hôpital mal équipé, de pauvre qui meurt faute de soin adéquat, d'éducation bâcler bref les ESCROCS, ils savent bien ou les trouvés!
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yugubanéQue les Ministres et les élus Maliens cessent de jouer aux gamins qui piquent leur crise d'adolescence, c'est tout. Avant que l'on soit victime de ce genre de chantage, il d'abord tomber dans l'immoral.
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