Mali : Le ministre de l'Économie Alousséni Sanou à Moscou

Le ministre de l'Économie et des Finances Alousséni Sanou à la tête d'une importante délégation malienne séjourne en Russie.
Arrivé ce jeudi 27 octobre à Moscou, dans la capitale russe, le patron de l'hôtel des Finances qui conduit une délégation comprenant de nombreux techniciens, devrait mener des négociations portant sur plusieurs secteurs économiques dès, vendredi 28 octobre, avec des responsables techniques russes.
Il faut rappeler les autorités de la Transition multiplient les initiatives dans le cadre du renforcement de la coopération bilatérale avec la fédération de Russie, un partenariat stratégique du Mali notamment dans les domaines de la sécurité, de l'énergie du commerce et de l'industrie.
Un choix stratégique qui participe de la volonté clairement affichée par des plus hautes autorités du pays de diversifier le partenariat avec toutes les puissances internationales disposées à respecter la souveraineté du Mali et l'intérêt supérieur de son peuple.
Par Aboubacar TRAORE
Quelle est votre réaction ?







Articles Similaires
APPUI BUDGETAIRE NEERLANDAIS:Plus de 46 milliards de F CFA octroyés au Mali
Soir de Bamako 24 Juillet 2006 - 00:00 0
COOPERATION MALI-MAURITANIE: Développer les échanges commerciaux
Les Echos 26 Juillet 2006 - 00:00 0
CAR/NORD : 588 projets pour un montant total de 849 658 000 F CFA
L'Observateur 15 Juillet 2006 - 00:00 0
12e CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L’ONAP:Sous le signe des flambées des prix des hydrocarbures
Les Echos 21 Juillet 2006 - 00:00 0
CONTRE LES OGM AU MALI:La COPAGEN dans les rues de Bamako
Nouvel Horizon 24 Juillet 2006 - 00:00 0
-
◇□◇?◇□◇G◇□◇|◇□◇ℜ◇□◇ℒ◇□◇|◇□◇O◇□◇◇□◇G◇□◇|◇□◇Æ◇□◇®◇□◇◇□◇??$Ŧ?ℜ??ℳ€ℜIℂ?IN... ??$Ŧ?ℜ??Ŧℒ?NTI$ℳ€.. ??$Ŧ?ℜ?€?ℜO?É€NN€... ∁ℜ???ℒ€?ℜO?€€NN€..2 ansRépondreLike (0)
-
KInguiranke@Merci mille fois Sanou pour ton patriotisme sans faille et ton leadership intelligent, le Mali est tres fier de toi.3 ansRépondreLike (0)
-
DJIBRILLES TRAVAUX D ENTRETIENS ROUTIERS NE DOIVENT PAS ETRES OUBLIES !!!!!!!!!!!! EQUIPEMENTS ET PERSONNLE QUALIFIE POUR SOUTENIR NOS ENTREPRISES LOCALES A ALLIER QUALITE ET RAPIDITE https://www.youtube.com/watch?v=s2Rb5FWxu7Q&t=18s3 ansRépondreLike (0)
-
SeydouAli serieux? Chaque jour Il nous deverse sa haine ici.3 ansRépondreLike (0)
-
palgaaL’activisme et le militantisme devraient distinguer deux niveaux de priorité : le niveau de l’urgence est la lutte pour la sécurité ; la lutte anticolonialiste et panafricaniste, lutte pour la liberté, une lutte de longue date qui ne date pas d’aujourd’hui, en est un autre. A considérer la lutte anticolonialiste pour la liberté comme prioritaire et urgente, et à la rabattre sur la lutte pour la sécurité qui devient comme secondaire dans la mesure où l’on soutient que c’est parce que nous ne sommes pas libres que nous ne sommes pas en sécurité (et que celui qui nous tient encore sous sa dépendance est aussi celui qui nous met en insécurité), on ne sait plus finalement pourquoi on lutte : Si nous n’avons plus d’Etat et de territoire, nous ne pouvons plus lutter contre une puissance dominatrice et impérialiste qui les convoite pour en accaparer les ressources et nous en désapproprier ; la résistance suppose un sol à s’approprier et défendre contre tout colonialisme ; mais si ce sol et cette terre sont envahis par d’autres individus qui ne sont pas les colons contre lesquels nous luttons, la sagesse et l’intelligence seraient d’orienter d’abord notre lutte contre les envahisseurs violents. Non pas : il n’y a pas de sécurité sans liberté, mais, dans la situation que nous vivons il n’y a pas de liberté sans sécurité. La lutte actuelle pour la sécurité est tactique, le combat anticolonialiste de toujours pour la liberté est stratégique. Il faut d’abord gagner la première pour se donner les moyens du second. Voyez-vous : si, « indépendants » et « souverains », disposant de territoires et d’Etats avant le terrorisme, nous n’étions déjà pas (complètement) libres, comment pourrions-nous être plus libres sans Etats ni territoires s’ils sont envahis et colonisés par des terroristes ? Donc : un anticolonialiste conséquent, qui n’est pas un agitateur verbal et verbeux, devrait trouver dans la situation d’insécurité actuelle créée par les terroristes les ingrédients et prémices de la véritable lutte anticolonialiste. En ce sens : nous libérer des terroristes, et libérer notre territoire sont l’avant-goût de la libération du colonialisme. Cela suppose que cette libération de l’invasion terroriste soit nôtre, que nous en soyons les premiers acteurs. Si dans la libération de notre territoire nous sommes dépendants et des Français ou des Russes, on ne voit pas comment nous pourrions nous libérer seuls du colonialisme ! Si, indépendants, nous disons que nous ne sommes pas libres, comment pourrions-nous être libres dépendants ?... Il faut dont penser à éviter le scénario afghan : les Afghans qui fuyaient leur pays, en 2021, ne se jetaient pas dans les bras des vainqueurs du moment, les Talibans, mais cherchaient désespérément le secours et la protection des « vaincus », les Américains. On se rappelle ces scènes inédites d’Afghans qui s’accrochaient aux ailes des avions américains pour en retomber morts comme des oiseaux abattus. Les vrais vaincus ne sont pas toujours ceux qu’on croit, ceux qu’on chasse en faisant du bruit (ou alors la victoire est toujours de très courte durée). Toute la force de l’Occident, sa séduction, sa clôture, c’est ceci : il gagne encore en perdant ; plus il perd et plus il gagne… Il faut donc d’abord, si on lutte, lutter pour soi et contre soi, pour sauver sa peau. Cela s’appelle sécurité…3 ansRépondreLike (0)
-
MODIBBOVotre intervention est une diversion mûrement réfléchie pour être servie aux Maliens et tromper les Africains. En effet, on ne peut pas dissocier la lutte contre le terrorisme de la lutte politique, de la lutte contre le néocolonialisme français. Les deux vont de de pair. On ne peut pas s'attaquer au terrorisme et ensuite seulement s'attaquer au néocolonialisme français car le terrorisme n'est qu'un des aspects du néocolonialisme français. La lutte contre le terrorisme est en même temps et dans le même mouvement, une lutte contre le néocolonialisme français, une lutte contre les véritables sponsors du terrorisme, ceux qui forment, financent et arment les terroristes qui nous massacrent. Notre ennemie est clairement identifiée: c'est la France. Aucune lutte contre le terrorisme ne saurait être victorieuse si elle n'associe pas en même temps la lutte sans répit contre la politique française, contre la domination et l'exploitation des pays africains par la France et dont le terrorisme n'est que l'un des aspects. En conséquence de ce qui précède, nos objectifs sont clairement identifiés: 1. Chasser l’armée française de la terre sacrée d'Afrique. 2. Nous affranchir de toute tutelle politique française, sous quelque forme que ce soit. 3. Bannir l'usage du franc CFA, c’est-à-dire bannir tout accord de coopération monétaire, de quelque nature que ce soit, avec la France. 4. Remplacer le français comme langue d'enseignement par l'enseignement de nos langues, DE TOUTES NOS LANGUES; procéder en même temps au choix d'une ou de plusieurs langues officielles nationales et de l'anglais, langue de la science et du commerce international, comme deuxième langue dans nos écoles. Le français demeurera une langue que chacun pourra apprendre individuellement s'il le veut tout comme chacun peut apprendre au Mali le chinois, l'espagnol, l'allemand, etc. s'il le veut. L'enseignement obligatoire et officiel du français à l’école primaire (1er cycle de l'enseignement fondamental au Mali) sera banni. L'apprentissage obligatoire du français au niveau de tous les cycles d'enseignement sera banni. Seuls l'enseignement de nos langues nationales + l'enseignement de la ou des langue(s) officielle(s) choisie(s) + l'enseignement de l'anglais seront obligatoires. La ou les langue(s) nationale(s) officielle(s) et l'anglais seront progressivement introduits à divers niveaux du 1er et du second cycle de l'enseignement fondamental. La langue maternelle de l'enfant commencera a être étudiée des le premier jour d’école. Pour ce qui est de l'anglais, c'est la langue étudiée comme deuxième langue dans tous les pays du monde, sans exception (y compris la Chine, y compris la Corée du Nord, etc.), y compris en France où désormais dans les plus grandes écoles d’ingénieurs et de commerce, la plupart des programmes sont enseignés exclusivement en anglais et ce, en plein cœur de Paris. Alors, qu'on ne vienne pas nous dire: "Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais.". En cela, nous ne ferons que suivre l'exemple de tous les pays du monde, notamment, en Afrique, l'exemple d'autres pays anciennement colonisés par la France comme la Tunisie, le Maroc et l’Algérie qui ont tous remplacé l'enseignement du français par leurs langues nationales (notamment l'arabe) et choisi comme deuxième langue l'anglais. Bien qu'on parle encore français dans ces pays, le français est en train d’être officiellement remplacé à l’école primaire par l'anglais. L'enseignement sera donc multilingue (trilingue de préférence dès le primaire). L'enseignement monolingue du français tue nos langues et nos cultures et nous place sous tutelle mentale et politique de la France. Le remplacement du français par nos langues nationales, enseignée chacune au niveau de la région où elle est prédominante, participe de la lutte de libération idéologique, mentale et politique des Africains contre la domination culturelle et linguistique française qui tue nos personnalités, notre identité et notre self-esteem (notre sentiment de fierté nationale et historique). Sans cette libération mentale et politique, la lutte contre les forces du mal ne sera jamais entièrement victorieuse. 4. Déchirer les "accords de coopération économique" et autres contrats léonins imposés par la France et bâtir une économie de transformation de nos matières premières sur notre propre sol. Nous ne serons plus un marché captif pour l’écoulement des produits de l’industrie française. 5. Récupérer le contrôle total de toutes nos richesses minières spoliées par la France sur l’ensemble du territoire africain à l’échelle continentale. 6. Diversifier nos partenaires internationaux sans aucun statut préférentiel donné à la France. La France sera, si elle le veut, un partenaire comme un autre avec ni plus, ni moins de considération que les autres. Nous déciderons de qui seront nos partenaires sur la base de nos propres intérêts et non sur la base des intérêts politiques ou éco3 ansLike (0)
-
-
kanC'est rigolo ; Se sont des scénarii classiques ; on soutiens Moscou, on se déplace baiser les mains de son maitre , Il repart avec une enveloppe garnie , un prêt en rouble et beaucoup de promesses...... N'en déplaise aux détracteurs, insulteurs, haineux ; c'est ainsi que cela se passe3 ansRépondreLike (0)