Le genou d’Emmanuel Macron posé sur le cou des Africains

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Au regard des dynamiques socioéconomiques du continent africain, je procède, dans cet article, à une analyse critique des enjeux liés à l’emploi des jeunes. Mon approche se caractérise par une réflexion audacieuse, illustrée par la métaphore du « genou d’Emmanuel Macron posé sur le cou des Africains », symbolisant les défis et les pressions externes auxquels les États africains sont confrontés et qui font échouer les politiques et initiatives publiques de création d’emplois pour les jeunes. Mon expertise s’articule donc autour de la recherche de solutions innovantes et durables pour transformer ces défis en opportunités de croissance et d’émancipation pour la jeunesse africaine.

En effet, enthousiasmé par les enjeux socioéconomiques contemporains, je porte un intérêt particulier à la problématique de l’emploi des jeunes en Afrique. Ma réflexion critique se concentre sur l’influence des politiques internationales sur le développement du continent, en questionnant notamment le rôle des acteurs occidentaux. À travers la métaphore audacieuse susmentionnée, je compare l’impact de ces politiques à la pression exercée par le genou d’Emmanuel Macron sur la nuque des populations africaines, symbolisant ainsi les défis auxquels elles sont confrontées. Cet article vise à susciter un dialogue constructif et à encourager des solutions innovantes pour surmonter ces obstacles malheureux. Il se concentre également sur le rôle que peuvent jouer les États, les institutions et les structures privées, ainsi que sur l’importance des initiatives individuelles dans la résolution de cette question cruciale. C’est pourquoi, doté d’une vision stratégique et d’une capacité à analyser les dynamiques complexes, je suis engagé à contribuer efficacement à l’élaboration de solutions innovantes et durables pour booster l’emploi des jeunes sur le continent africain.

Ma démarche scientifique s’inscrit dans une vision dynamique et contemporaine du marché de l’emploi, particulièrement axée sur les enjeux de l’insertion des jeunes. Car, je suis convaincu que le concept d’emploi doit être envisagé dans sa globalité, englobant toute activité créatrice de valeur et génératrice de revenus. Cette approche permet de contribuer efficacement à l’autonomisation des individus et des collectivités, en leur fournissant les outils nécessaires pour mener une vie décente et indépendante. Il est essentiel que les acteurs de l’espace public africain (Etat, Organisations de la société civile et secteur privé) s’engagent à transformer ces défis en opportunités tangibles, en mettant à profit les compétences pour favoriser une intégration professionnelle réussie et durable des jeunes. Pour ce faire, il conviendrait de distinguer les différents rôles de l’État dans l’économie. Que ce soit en tant que principal pourvoyeur d’emplois ou en tant que régulateur stratégique, l’Etat doit appliquer à optimiser la gouvernance et à stimuler la création d’opportunités professionnelles, tant dans le secteur privé que dans le milieu informel. Cette approche d’expertise s’ancre dans une vision pragmatique et innovante de l’emploi, alignée avec les tendances actuelles du marché du travail. Ainsi, il est nécessaire pour les Etats africains d’approfondir la recherche dans l’analyse et la mobilisation des ressources clés – humaines, financières et matérielles – pour stimuler les facteurs de développement. Cette nécessité urgente doit s’étendre sur la maîtrise des indicateurs macroéconomiques essentiels tels que le PIB, le PNB, les services de la dette et la balance des paiements, pour justement contribuer à une croissance économique soutenue grâce à une stratégie bien informée et à une gestion efficace des ressources.

Avec une acuité stratégique pour les dynamiques de la mondialisation et les exigences du contexte économique international, je suis profondément conscient de l’importance des partenariats interétatiques qui valorisent les avantages comparatifs et favorisent les axes de coopération ainsi que l’échange de produits et services. Je reconnais également l’interdépendance des économies mondiales et l’approche collaborative des BRICS, qui se distingue de l’Occident par la proposition d’infrastructures et le soutien technique, financier et matériel dans une optique de partenariat mutuellement bénéfique. C’est pourquoi, ma perspective critique sur les pratiques occidentales met en lumière une certaine condescendance et l’imposition de valeurs sous couvert de démocratie, révélant ainsi les enjeux de l’influence occidentalo-américaine. Mon approche est donc centrée sur l’éthique, l’efficacité et le respect des diversités culturelles et économiques, éléments clés pour naviguer et prospérer dans le paysage économique mondial actuel. Ainsi, avec une acuité professionnelle aiguisée par les réalités contemporaines, les dirigeants africains doivent pleinement être conscients que le modèle de l’État-providence est désormais dépassé. Dans un monde où l’efficacité est reine, il nul n’est censé ignorer l’importance croissante du secteur privé et la dynamique de globalisation qui effacent progressivement les frontières nationales et continentales. Mon approche est donc résolument tournée vers l’innovation, l’adaptabilité et la stratégie transnationale, des compétences essentielles pour naviguer avec succès dans le paysage économique actuel ouvert au le Multipolarisme.

Cependant, doté d’une vision pragmatique de la gouvernance, je suis fermement convaincu de l’importance pérenne de l’État dans le contexte actuel. Malgré l’émergence des ensembles supranationaux, il faut reconnaitre que la responsabilité première et directe du bien-être des citoyens incombe inévitablement aux États individuels. Cette compréhension approfondie des dynamiques politiques modernes souligne mon engagement envers une gestion étatique efficace et responsable, prête à relever les défis contemporains tout en anticipant les besoins futurs de la société. Il apparaît dès lors crucial d’approfondir la compréhension des politiques de l’emploi et de leur mise en œuvre au niveau étatique. Cette approche voudrait s’ancrer dans l’analyse stratégique des cadres politiques, permettant d’apporter des solutions innovantes et efficaces aux défis de l’emploi contemporains. Cette vision analytique et prospective, voudrait contribuer activement à l’élaboration de politiques d’emploi robustes et adaptées aux besoins actuels de l’Afrique. En tant que professionnel averti, je suis particulièrement sensible à la dynamique des politiques d’emploi au niveau supranational, notamment au sein de l’Union Européenne, où les états membres jouent un rôle crucial bien qu’intégré dans un cadre plus large. Cette perspective globale permet de développer une compréhension nuancée des interactions entre les différents niveaux de gouvernance. C’est dans cet esprit que mon analyse critique des discours politiques, illustrée par l’approche parfois controversée du président Emmanuel Macron lorsqu’il s’adresse au continent africain, témoigne de ma capacité à évaluer les enjeux de représentation et de communication interculturelle. Je suis particulièrement attentif aux nuances de ces échanges, qui doivent être maniés avec respect et équité, évitant toute forme de condescendance ou de néocolonialisme. Ce qui fait que mon expertise s’étend donc à une sensibilité interculturelle aiguisée, essentielle pour naviguer avec succès dans le paysage international complexe changeant d’aujourd’hui.

Par ailleurs, les dynamiques socioéconomiques et leur impact sur l’emploi, invitent particulièrement à être attentif aux enjeux du développement économique et de l’insertion professionnelle des jeunes en Afrique. C’est pourquoi, je souligne dans cette analyse critique, l’importance des termes de l’échange dans la capacité des États africains à générer des opportunités d’emploi. Car, je suis conscient des défis posés par la mondialisation et l’émergence du multipolarisme, notamment en ce qui concerne l’intégration des pays africains au sein de blocs économiques influents tels que les BRICS. Cette approche est marquée par une compréhension nuancée des politiques internationales et des stratégies de développement, tout en restant vigilant face aux influences extérieures qui peuvent façonner les décisions politiques sur le continent africain. Il convient alors d’approfondir la compréhension des dynamiques économiques qui révèle comment la dépendance économique entrave le développement des perspectives d’emploi en Afrique, particulièrement pour les jeunes en quête de leur première expérience professionnelle. Il faudrait être particulièrement sensible aux enjeux historiques et actuels qui impactent les sociétés, tels que le chômage endémique et la migration forcée, des phénomènes ancrés dans les séquelles de la conférence de Berlin. Cette période a vu le début de l’exploitation et de l’expropriation des ressources africaines par des puissances coloniales, avec des répercussions qui perdurent encore aujourd’hui, les politiques publiques. C’est dans cette perspective que mon analyse critique des relations internationales, en particulier la posture néo-impérialiste de certains leaders contemporains, permet de saisir les obstacles au bonheur et au développement autonome des peuples africains, malgré l’immense potentiel de leur continent. Une parfaite compréhension des enjeux économiques et politiques permet de reconnaître que l’absence de création d’opportunités d’emploi dans les pays en développement ne résulte pas uniquement d’un facteur isolé. Il faut souligner particulièrement l’impact de la mauvaise gouvernance, caractérisée par une répartition inéquitable des ressources exacerbée par la corruption des élites dirigeantes. Ces dernières, souvent indifférentes à l’intérêt collectif, échappent à la pression tant interne qu’internationale, ce qui constitue un frein majeur au développement de l’emploi. Cette analyse critique qui décrit la capacité à identifier les leviers d’action stratégiques est un atout à mettre au service de projets visant à améliorer la gouvernance et à stimuler la croissance économique. Passionné par le développement durable et l’éthique dans les affaires, je suis fermement convaincu que la lutte contre la corruption est essentielle pour promouvoir une bonne gouvernance et renforcer les principes démocratiques en Afrique. C’est dans cet esprit que mon approche s’aligne sur les initiatives soutenues par l’Union Africaine, les organisations de la société civile et l’alliance BRICS, visant à instaurer une démocratie authentique, respectueuse des valeurs et des cultures africaines, plutôt que de souscrire à une occidentalisation systématique. Le besoin est plus qu’urgent pour les acteurs de l’espace public africain de s’engager dans la promotion d’une civilisation universelle qui valorise la diversité et l’inclusivité, contribuant ainsi à la consolidation d’un espace universel véritablement représentatif de toutes les sociétés.

Outre, passionné par la quête d’un bien-être universel, je suis convaincu que la vitalité des organisations de la société civile joue un rôle clé dans l’orientation des actions gouvernementales et la mobilisation des partenaires au développement. Mon approche est résolument tournée vers le multipolarisme, reflétant une vision moderne des relations internationales. Cela se traduit par un intérêt marqué pour les dynamiques telles que l’Alliance BRICS, qui remet en question l’ordre mondial traditionnel et ouvre la voie à une ère de diversité géopolitique. Mon expertise s’articule autour de cette transition vers un paysage global multipolaire, où la collaboration et l’engagement collectif sont essentiels pour façonner un avenir équilibré et inclusif. C’est pourquoi, passionné par le développement de l’employabilité des jeunes en Afrique, je suis convaincu que les défis rencontrés dans ce domaine sont principalement dus à l’ingérence historique des anciennes puissances coloniales. Cette perspective m’amène à valoriser et à soutenir les initiatives de coopération internationale exemptes de passif colonial, telles que celles proposées par la fédération de Russie et l’Alliance BRICS. Les Etats africains doivent fermement s’engager dans la promotion de partenariats équitables et mutuellement avantageux, qui constituent à mes yeux le socle d’une collaboration durable et fructueuse, en phase avec les aspirations des peuples africains et, en particulier, de sa jeunesse dynamique.

Pour clore, enthousiaste par la promotion d’une identité qui embrasse à la fois les valeurs du Multipolarisme et le Panafricanisme, je suis strictement engagé dans la voie du progrès et de la solidarité africaine. Mon objectif est de contribuer activement à l’érosion de la Françafrique, en faveur d’une coopération BRICS, équitable et respectueuse. Mon parcours reflète cet engagement, où la synergie culturelle et l’unité africaine sont au cœur de mon action professionnelle.

 

Mohamed Lamine KABA – Expert en géopolitique de la gouvernance et de l’intégration régionale, Institut de la gouvernance, des sciences humaines et sociales, Université panafricaine, spécialement pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook »

Source: https://journal-neo.su/fr/

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11 COMMENTAIRES

  1. MACRON N A PAS DE GENOU QU IL POURRAIT METTRE SUR LE COU DE L AFRIQUE, CETTE COLOSSE QU EST L AFRIQUE,. IL FAUT STOPER DE MAGNIFIER LA FRANCE ET L EUROPE TOUT EN ABAISSANT L AFRIQUE.
    AGISSONS ENSEMBLE C EST TOUT, 1.4 MILLIARDS DE NOIRS AFRICAINS CONTRE 60 MILLIONS DE FRANÇAIS?

  2. Il est accuser de terorisme a la cjr en reunion avec christian delprat pedojuif , gregory delhomme pedojuif soyans , arnaud ganancia pedojuif 6 boulevard chevandier a valence 26000.

  3. Article rédigé par IA par l’Africa corps Russe
    Il suffit de chercher à trouver un sens et une cohérence dans le recit pour s’en apercevoir. Quelques fautes de grammaire qu’aucun expert ne laisse passer dans son texte.
    Un article inutilement long et redondant qui reprend les même thèmes en les moulinants sans cesse.
    Il n’existe pas d’institut de la gouvernance ni d’université panafricaine.
    Pour la simple raison que chaque pays est gouverné selon ses réalités, son histoire, sa population et sa culture.
    Tout est Faux. Ce Fameux LAmine Kaba est un pseudo pour tromper la vigilance des lecteurs.

  4. MACRON N A PAS DE GWNOU QU IL POURRAIT METTRE SUR LE COU DE L AFEIQUE, CETTE COLOSSE QU EST L AFEIQUE,. IL FAUT STOPER DE MAGNIFIER LA FRANCE ET L EUROPE TOUT EN ABAISSANT L AF3IQUE. 😁AGISSONS ENSEMBLE
    C EST TOUT, 1.4 MILLIARDS DE NOIRS AFEICAINS CONTRE 60MILLIONS DE FRANÇAIS? 😁

  5. ttps://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20240510-l-assemblée-générale-de-l-onu-apporte-un-soutien-massif-mais-symbolique-à-l-adhésion-palestinienne

  6. Ce brave guinéen aurait pu s’étendre un peu sur le refus des Brics, de la Chine et des russes pour accorder un prêt au Mali. Ce dernier a été dans l’obligation de se tourner en urgence vers le FMI et BM pour encore s’aliéner avec l’USD
    Bien sûr pas un mot …. sur les sujets qui pourraient ternir sa thèse fumeuse et destinée à un public déjà conquis. Thèse reprise maintes fois mais qui cache mal des incompétences notoires des pouvoirs/administrations/milieu des affaires en place.
    Macron s’en branle des africains et de l’Afrique, faudra s’en rendre compte un jour ……

    • Tu es un vrai sale troll de la tres maudite France esclavagiste, colonialiste, et imperialiste. Demandes a Macron le petit bila.koroni pourquoi il est en train de pleurnicher depuis que les dirigeants Africains ont refuse de le recevoir!

        • Presidents Assimi Goita, President Ibrahim Traore, President Abdourahaman Tiani, President Faure Eyadema, et President Bassirou Faye

          • Donc tu es un menteur (ce que l’on savait) , JAMAIS cela n’a été dans l’agenda de macaron.
            Et tu n’as apporté aucun preuve de ce que tu prétends
            Tu es un beau menteur

    • La BM et le FMI ont aussi l argent des BRICS et de tout le monde.

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