Honorable Yacouba Traoré à propos des infrastructures de développement dans la DPG : « Le Premier ministre a exposé un ambitieux programme »

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Honorable Yacouba Traoré
Honorable Yacouba Traoré

Selon lui cette déclaration de politique générale du gouvernement contient des projets  d’infrastructures déjà en cours sur le terrain. Mais aussi, des projets avec des financements déjà acquis et approuvés par l’Assemblée nationale et d’autres en quête de financement.

Il s’agit  de la route 2×2 Bamako-Ségou en cours, la route Gomacoura-Nampala-Léré-Nianfunké-Goundam-Diré-Tombouctou, la route de l’Avenue An 2000 à Ségou.

A ces infrastructures s’ajoutent  entre autres, l’aménagement en 2×2 voies de la section Ségou-San de la route nationale, l’échangeur au carrefour de Markala, la route Zantièbougou-Kolondièba-frontière Côte-D’ivoire, la réhabilitation de la section tour de l’Afrique à Yirimadio. Sans oublier l’aménagement de la voie de raccordement du 3ème pont de Bamako à la route nationale Bamako-Ségou, l’aménagement de 10 km  de voirie dans la ville de Ségou, l’aménagement de la route Bamako-Koulikoro avec la construction du Pont de Kayo et ses voies d’accès et la construction du pont de Kouoro Barrage sur la route Sikasso-Koutiala.

Pour l’honorable Yacouba Traoré, le gouvernement est en train de chercher des financements pour d’autres infrastructures de développement.  Notamment, la construction du 4ème pont de Bamako et ses voies d’accès, la construction de la ligne d’interconnexion ferroviaire Conakry-Kankan-Kandia-Bougouni-Bamako, l’aménagement de la voie reliant la route de l’aéroport de Bamako-Senou à l’université de Kabala, la réhabilitation de la route Sevaré-Gao, et l’aménagement de la voie Gao-Bourem-Kidal-frontière Algérie, l’aménagement de la voie Kayes-Aourou-frontière Mauritanie, la construction du port fluvial d’Ambidedi.  Au même titre que le bitumage de la route Kwala-Goumbou-Nara-frontière Mauritanie, l’aménagement de la route Ansongo-Ménaka-Anderaboucane, l’aménagement de la route Tombouctou-Bambara Maoudé-Douentza, l’aménagement en 2×2 voies de la route Sikasso-Zegoua, la réhabilitation  du chemin de fer Bamako-Dakar, le bitumage de la route Macina-Diafarabé-Ténenkou, l’aménagement de la route Konna-Korientzé, le bitumage de la route Fana-Bèlèko-Kignan. En plus du bitumage de la route Dioila-Massigui-Koualé, l’aménagement des ports secs à Kayes et à Sikasso, la construction d’un pont à Dioila, la construction d’un autre pont sur le fleuve Niger à Ségou et l’aménagement de 1000 Km de pistes rurales en 5 ans. Ajoutés à cela, des recherches de financements pour la construction et le bitumage de la route Tien-Gouni-Zantiguila sur la route nationale N°6, la réalisation de la voie de contournement de l’Aéroport Ambodedjo de Mopti, l’aménagement de 10 Km de voies urbaines dans la localité de Kadiolo, la construction et le bitumage de la route Bougouni-Mananko-frontière Cote d’Ivoire.

En plus de cela, l’achèvement des travaux d’extension et de modernisation de l’aéroport de Bamako-Senou, le renforcement des capacités de  traitement de l’aéroport de Kayes ‘’Dag-Dag’’ par l’accélération des travaux de construction du dépôt de carburant jet A1, la poursuite des recherches de financement de l’aéroport de Kidal.

Pour l’honorable Yacouba Traoré, le Premier ministre Modibo Keita a été très clair dans sa déclaration de politique générale, surtout sur les infrastructures de développement, notamment les projets routiers en cours ou en recherche de financement.  Selon lui, si cette DPG est bien mise en œuvre comme déclarée par le Premier ministre, il faudra tirer le chapeau au gouvernement du Mali. Pour lui, cette DPG est déjà en cours sur le terrain. Et le gouvernement est déjà à pied d’œuvre pour l’atteinte  des objectifs du programme du président IBK. Pour les infrastructures annoncées dans cette  DPG, précise l’honorable Yacouba Traoré, certains financements son déjà acquis et pour certains autres, les accords de financement doivent être bientôt approuvés par l’Assemblée nationale.

« Nous prions le bon Dieu pour qu’il permette que les  projets qui n’ont pas encore eu de financement pour leur réalisation puissent en avoir afin  de permettre le développement socio-économique du pays », conclut l’honorable Yacouba Traoré.

D. Diama

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5 COMMENTAIRES

  1. Surtout la route koulikoro bko plus aménagement des espaces vert a la plce des anciens ministère dans le grand marche et déplacer le marche de médina coura qui est descendu jusqu’à dans le quartier de missira qui deviendra comme bagadadji et bozola et une partie de niarela envahit par les commerçants

  2. Depuis la soit disant démocratie combien de premiers sont passé a l'assemblée pour leur DPG ? Ou sont les résultats. Désarmement de notre armée afin de permettre à l'ennemie d'atteindre ses objectifs.

  3. Oui il faut faire les routes de Bamako ,mais le Mali ne se limite pas à Bamako tous ce qui est consomme dans bamako vient des Provence il faut des routes pour augmenter la production et facilité sont

  4. La reconstruction des routes de Bamako est la priorite des priorites. A plus 30% de la population malienne concentré ou tournant a Bamako, cest urgent de refaire toutes les routes existantes. Les routes delabrees font honte et transforment Bamako en une grosse poubelles entassee qui est aussi tres dangereuses en termes d’accidents routiers. Les usagers souffrent quotidiennement du stress de conduite sur les routes de Bamako cest de l’enfer sur terre! Les sotramas et les taxis les diakartas font la loi…chacun conduit sans respect au codes routiers…. cest du desordre total sous le nez de la police qui ne lorgne que pour collecter les 1000 et les 2000 fcfa sans se soucier de consequences de ce desordre. Cest les pauvres usager qui paient de leurs vies tous les jours. Que cest maccabres sur les routes de Bamako!

    Au lieu d’elargir les arteres et y creer de pistes cyclables pour les motos afin de soulager les conducteurs de voitures et aussi butimer les trottoirs pour eliminer definitivement la poussiere (ex., boulevard d’independance etc…), nos autorites sont en train de jetter pres de 10 milliards annuels dans les projets bidon comme OZONE Mali qui ne pourra jamais nettoyer Bamako…car comment peut-on depousserer la poussiere elle meme qui est les routes de Bamako? Cest comme le proverbe bamabara dit: cest de constuire un mur en boue sous la pluie! Cette affaire d’ OZONE est une comedie! L’air de Bamako reste le SMOG qu’il a toujours ete avant l’arrivee de l’OZONE. Les 10 milliards jettes a l’OZONE est co peuvent constuire 8 km de vraies routes avec des trottoirs butimes chaque annee dans la ville de Bamako. Cest apres avoir constuit assez des routes reelles un peu partout que des societes de nettoyages comme OZONE auront tout leur sens…sinon actuellement en realite ce que le gouvernement est en train de faire cest de la pub pendant qu’il jette des dizaines de milliards a OZONE sans effet reel.

    OZONE reste professionnel, mais elle meme sait que sont travail a peu d’effet dans la poussiere de Bamako. Dans quelle ville digne de ce nom au monde peut-on chaque matin remplir des centaines de bennes du sable infinis et appeler cela nettoyage de route? Pourquoi cette quantite infinie des sable sur nos routes? Je me demande si nos maires et deputes etc.. circulent vraiment a Bamako…surtout le dimanche!

  5. La reconstruction des routes de Bamako est la priorite des priorites. A plus 30% de la population malienne concentré ou tournant a Bamako, cest urgent de refaire toutes les routes existantes. Les routes delabrees font honte et transforment Bamako en une grosse poubelles entassee qui est aussi tres dangereuses en termes d’accidents routiers. Les usagers souffrent quotidiennement du stress de conduite sur les routes de Bamako cest de l’enfer sur terre! Les sotramas et les taxis les diakartas font la loi…chacun conduit sans respect au codes routiers…. cest du desordre total sous le nez de la police qui ne lorgne que pour collecter les 1000 et les 2000 fcfa sans se soucier de consequences de ce desordre. Cest les pauvres usager qui paient de leurs vies tous les jours. Que cest maccabres sur les routes de Bamako!

    Au lieu d’elargir les arteres et y creer de pistes cyclables pour les motos afin de soulager les conducteurs de voitures et aussi butimer les trottoirs pour eliminer definitivement la poussiere (ex., boulevard d’independance etc…), nos autorites sont en train de jetter pres de 10 milliards annuels dans les projets bidon comme OZONE Mali qui ne pourra jamais nettoyer Bamako…car comment peut-on depousserer la poussiere elle meme qui est les routes de Bamako? Cest comme le proverbe bamabara dit: cest de constuire un mur en boue sous la pluie! Cette affaire d’ OZONE est une comedie! L’air de Bamako reste le SMOG qu’il a toujours ete avant l’arrivee l’OZONE. Les 10 milliards jettes a l’OZONE est co peuvent constuire 8 km de vraies routes avec des trottoirs butimes chaque annee dans la ville de Bamako. Cest apres avoir constuit assez des routes reelles un peu partout que des societes de nettoyages comme OZONE auront tout leur sens…sinon actuellement en realite ce que le gouvernement est en train de faire cest de la pub pendant qu’il jette des dizaines de milliards a OZONE sans effet.
    OZONE reste professionnel mais elle meme sait que sont travail a peu d’effet dans la poussiere de Bamako. Dans quelle ville digne de ce nom au monde peut-on chaque matin remplir des cetaines de bennes du sable infinis et appeler cela nettoyage de route! Pourquoi cette quantite de sable sur nos routes? Je me demande si nos maires et deputes etc.. circulent vraiment a Bamako…surtout le dimanche!

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