Burkina Faso: la gendarmerie de Djibo ciblée par une nouvelle attaque

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Au Burkina Faso, les forces de sécurité n’ont pas connu de repos durant les festivités de fin d’année. La gendarmerie de Djibo, dans la province du Soum, dans le nord du pays, a été attaquée dans la soirée du 31 décembre. On déplore une victime dans les rangs des gendarmes.

Les attaques à l’aune de la nouvelle année ne sont pas rares. Elles s’inscrivent souvent dans une stratégie de harcèlement de la part des terroristes. Djibo subit une pression croissante depuis plusieurs mois, car elle représente un verrou stratégique que les jihadistes essaient de faire sauter.

C’est vers 20 heures que plusieurs assaillants ont pris d’assaut la brigade. D’après une source à la gendarmerie nationale, l’arrivée en renfort d’un détachement armé a permis de repousser rapidement les terroristes dont plusieurs auraient été tués.

Déjà en octobre 2018, plusieurs hommes ont assiégé cette même gendarmerie. Bilan : des véhicules incendiés, des armes volées et des prisonniers échappés.

En novembre dernier, c’est le maire de Djibo qui est assassiné. Cela fait des mois que les terroristes tentent de s’emparer de ce chef-lieu. Ils l’ont d’abord isolé en coupant des routes stratégiques. Le pont de Boukouma, à l’est de la ville, par exemple a été détruit, empêchant toute connexion avec Arbinda, seconde localité de la province.

Mi-septembre, une opération de Barkhane a même été déclenchée au sol « à la demande des autorités burkinabè et en coopération avec leurs forces armées » selon le compte rendu de l’état-major français en date du 23 septembre. L’objectif était de « sécuriser ce verrou important entre le nord du Burkina et Ouagadougou ». Il s’agit de la première opération d’envergure au sol, officiellement reconnue de la force française au Burkina Faso.

Par RFI Publié le 02-01-2020

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5 COMMENTAIRES

  1. Les terroristes meritent la mort et sans pitie, il faut les tuer juqu’au dernier car des criminels assoiffes de sang alors il faut boire leur sang nos vaillants Bukinabes!

  2. A ……:
    EL Hajj Niyefôkoyésegou DIT LE COUILLON BETE ,

    SAIS TU QU EN PLUS DE CE QUE TU DEVRAIS AVOIR COMPRIS DE NOS AFFAIRES ….( ? ? ? ..! ! ! ! ! ) IL Y EN A UNE AUTRE ….ENORME ELLE AUSSI …
    QUI A ENMENE MAITRE BASSALIFOU SYLLA A “”GAGNER “” AVEC L AIDE DE TA COPINE BA AWA TOUMAGNON LE PROCES ENGAGE PAR NOUS A LA COUR D APPEL ( L ARRET 20 DE REDDITION DES COMPTES DU 11 FEVRIER 2009 )
    …ET A “”GAGNER “” ENCORE LA SAISIE DES HALLES DE BAMAKO …LE 17 MARS 2010 LORS DU JUGEMENT 043 DE LA COMMUNE IV ….ET QU IL FAUDRA QUE BHM- SA ( BMS SA ) RENDE A SON VRAI PROPRIETAIRE …
    (CAR …. IL SE TROUVE QUE LE GRAND MAITRE BASSALIFOU SYLLA A RECU EXPEDIE PAR MOI …ET PAR VOIE D HUISSIER …MAITRE SYLVAIN MAKAN KEITA ) LE VRAI CERTIFICAT DE PROPRIETE DES HALLES DE BAMAKO LE 22 AOUT 2007 ….ET LA BANQUE LE LENDEMAIN D AILLEURS …
    ET QUE CE PAPIER ..LE FAMEUX CERTIFICAT –N A PU ETRE OBTENU GRATUITEMENT COMME TOUS LES ENREGISTREMENTS FAITS PAR ME MADINA QUE SUR PRESENTATION DE L EXONERATION DES DROITS ACCORDEE AU SIGNATAIRE DU BAIL A CONSTRUCTION …EST CE QUE TU COMPRENDS ?

    EH OUI …C EST NORMAL …CE QUI EST ANORMAL PAR CONTRE …C EST QUE TOUS LES ACTES DE ME MADINA PRESENTENT UNE ANOMALIE …DEVINES , COUILLON BETE ?

    EH BIEN …ET C EST LA QUE JE VOULAIS EN VENIR ..
    FIGURES TOI QUE NOUS AVONS PORTE PLAINTE , CONTRE MAITRE MADINA DEME COULIBALY ..POUR FAUX …ET USAGE …
    ET FIGURES TOI QUE NOTRE DERNIERE PLAINTE …LA PLAINTE N °38 DEPOSEE AU POLE ECONOMIQUE EN EST ELLE SORTIE ….MANIFESTEMENT SUITE A UN COURRIER FAIT LE 9 SEPTEMBRE 2015 PAR DANIEL TESSOUGUE ( LUI MEME )…PROCUREUR DE SON ETAT …SOUS REFERENCE VBE 2751 /PR -CV DU O2 -09-2015 …QUI SEMBLE AVOIR ETE RENSEIGNE DU FAIT QUE LE 24 /12/2014 ….A ABIDJAN LA CCJA AVAIT DECLARE LE POURVOI DE SICG MALI IRRECEVALE PAR SA DECISION 144 …
    DECISION QU ELLE A RENOUVELE UNE DEUXIEME FOIS LE 11-5-2017 PAR SON ARRET 109 …AVANT DE VOIR SON PRESIDENT LUI MEME CONFRONTE A UNE PLAINTE DE LA CCJA ELLE MEME …

    CE QUI A MIS CES “”BRAVES BANQUIERS”” DANS TOUTS LEURS ETATS …VU L ARGENT SORTI …POUR FABRIQUER DES FAUX ….EN SERIE …ET POUR N AVOIR AUCUNE REPONSE A DONNER AUX HUIT CENT PAGES DE PREUVES DEPOSEES A LA CCJA ..EN OCTOBRE 2010 !

    ET TU NE CONNAIS PAS ENCORE BEAUCOUP DE CHOSES , GROSSE NOUNOUILLE !

    SACHES SEULEMENT QUE MAINTENANT , C EST FINI ….FINI …FINI …
    ET ESSAYES DE COMPRENDRE QU IL VA Y AVOIR BIENTOT DES CHANGEMENTS …
    TANT AU NIVEAU DE LA BMS SA …QUE ET SURTOUT DE SON AVOCAT .. QUI IL Y A ENCORE UN AN SE VANTAIT D ETRE UN RENARD INTERNATIONAL ..
    TITRE QUE JE MINORE QUELQUE PEU AUJOURD HUI EN REPRECISANT :
    MON ACCORD SUR “”RENARD LOCAL”” OUI …
    “”GROS TRICHEUR”” …..OUI AUSSI !

  3. JE PROFITE DE LA TRIBUNE OFFERTE POUR AVERTIR LE MALI QUE :

    Côte d’Ivoire: La Cour commune de justice d’arbitrage de l’OHADA rétablit dans ses Droits une entreprise ivoirienne spoliée au Mali depuis 15 ans

    © Koaci.com – mercredi 11 décembre 2019 – 11:15
    L’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA) a rétabli dans ses droits une entreprise ivoirienne spoliée au Mali depuis 2004 soit 15 ans.

    Il s’agit de la Société ivoirienne de concept et gestion (SICG, entreprise ivoirienne d’origine), à travers sa filiale une au Mali (SICG- MALI). L’affaire l’opposait à la Banque malienne de solidarité (BMS), ex Banque de l’habitat du Mali (BHM).

    La Cour commune de justice d’arbitrage de l’OHADA (CCJA) dans son arrêt n° 068/2019 du 14 mars 2019 a condamné la BMS à payer au titre de la reddition des comptes 1, 707 milliards FCFA avec les intérêts à compter du 1er janvier 2004. La Cour n’a fait que s’appuyer sur le rapport des experts comptables désignés par la Cour d’appel de Bamako.

    La seconde partie de la condamnation a trait aux différents préjudices subis par la SICG Mali à la suite de la spoliation organisée de ses terrains par le Bureau du Vérificateur avait la complicité de la BHM SA devenue BMS SA.

    Selon une source proche du dossier, il est bon de savoir que la BMS n’avait pas contesté en son temps devant la CCJA le rapport de la reddition des comptes des experts judiciaires maliens d’une part, et d’autre part, les demandes de préjudices commerciaux et financiers subis par la SICG MALI.

    « La banque avait simplement contesté la compétence de la CCJA, et la qualité des avocats de SICG MALI d’une part, et d’autre part elle s’était abritée derrière la Loi Privilège n° 008 du 8 Février 2008. Une Loi taillée sur mesure. Sur les premières contestations, elle a été déboutée comme l’indique ce que vous avez publié précédemment.

    Revenons à la loi sur les privilèges, pour préciser qu’elle avait été votée le 8 février 2008, un mois après que les experts comptables désignés par la Cour d’Appel de Bamako, eurent déposé leur rapport de reddition des comptes le 8 janvier 2008 au Président de ladite Cour », explique-t-elle avait de relever les faits.

    « La BHM avait sollicité le Vérificateur de la République pour éviter de faire face à une reddition des comptes devant la justice malienne, puisqu’elle soupçonnait qu’une telle procédure permettrait à la SICG-Mali de découvrir les fautes commises par elle , ainsi que les recettes distraites dans la gestion des Halles de Bamako. Dans la foulée, il a été découvert que le Vérificateur a bénéficia d’un prêt de la BHM SA non remboursé à ce jour de 42 322 000 F CFA (voir relevé bancaire de Sidi Sosso Diarra). Le même Vérificateur général a pris ses quartiers dans les locaux du siège de la BHM SA en violation des dispositions de la BCEAO qui autorisent uniquement la présence d’une mission de la commission bancaire. Les banques ont un objet commercial. Elles doivent obéir aux règles édictées par l’OHADA en matière de banques, et aux prescriptions de la Bceao. Sur la base de des liens de collusion ainsi révélés, la SICG-MALI a refusé que le Vérificateur mène par ses soins l’opération de reddition des comptes, malgré de très fortes menaces, à cet effet. En représailles, et en exécution des menaces, Sidi Sosso Diarra, es qualité Vérificateur de la République, a pris des mesures conservatoires, au nom de l’État du Mali contre la SICG Mali. Il a ordonné au Directeur National des Domaines d’empêcher la SICG MALI de vendre ses terrains. Le but était que la SICG MALI ne puisse avoir de ressources pour honorer ses échéances vis-à-vis de l’ACI (agence nationale de cessions des terrains de l’Etat du Mali).L’ACI devait ainsi profiter ainsi des manœuvres du Vérificateur pour demander la résiliation des contrats de ventes signés avec SICG Mali au motif que celle-ci ne respectait pas les échéances de paiements d’acquisition desdits terrains. Ce qui fut fait, car grâce à ces manœuvres du Vérificateur et de la BHM SA, l’ACI a obtenu une résiliation desdits contrats à un cout 25 fois moindre que ce qu’elle aurait dû payer. »

    La CCJA, par arrêt 068/2019 du 14 Mars 2019, a condamné la BMS SA pour sa gestion fautive dans la gestion du compte SICG MALI ouvert dans ses livres. Elle a confirmé les soupçons qu’avait la SICG-Mali aussi bien sur la spoliation des ses terrains que sur la distraction de 1,707 milliards FCFA de ses recettes perçues par la BMS depuis le 1er janvier 2004.

    La SICG MALI est maintenant en position de demander des comptes au Bureau du Vérificateur du Mali sur la vente de ses terrains par ACI, et sur sa responsabilité dans cette injustice qui a été transportée jusqu’au « greffe » de la CCJA.

    Elle pourrait exiger certainement des dédommagements à l’État du Mali en sa qualité de Mandant de l’ex BHM devenue BMS SA, de l’ACI et du Vérificateur de la République.

    …JE VOUS REMERCIE …
    https://www.koaci.com/article/2019/12/11/cote-divoire/economie/cote-divoire-la-cour-commune-de-justice-darbitrage-de-lohada-retablit-dans-ses-droits-une-entreprise-ivoirienne-spoliee-au-mali-depuis-15-ans_137549.html

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