Mali: où sont passés les jihadistes?
29 Jan 2013 - 05:18
29 Jan 2013 - 10:13
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[caption id="attachment_123036" align="alignleft" width="315"]
Ansar Dine près de Kidal le 9 juillet 2012.
AFP/YouTube[/caption] En deux jours, les troupes françaises et maliennes ont repris le contrôle de Gao et de Tombouctou, sans rencontrer de véritable résistance. Cette situation laisse beaucoup de questions en suspens. Où sont les islamistes ? Que préparent-ils ? Ont-ils changé de stratégie ? Éléments de réponse. 18 d’opérations, 48 heures seulement pour reprendre Gao et Tombouctou. Mais aucun bilan concernant le nombre total de jihadistes tués. Lors des combats à Gao, l’état-major assure qu’une quinzaine d’entre eux ont été éliminés par les forces spéciales, samedi dernier, près du pont qui permet l’accès à la ville. Les autres se seraient donc éparpillés. Cependant, pas plus tard que lundi dans la nuit, un hélicoptère Tigre a quand même retrouvé un groupe d’extrémistes, toujours dans la région de Gao. L’équipage a engagé le combat. Le bilan a été de dix morts côté jihadiste, et encore quelques pick-up ont été détruits. A Tombouctou, considéré jusqu’alors comme un fief islamiste, un important dispositif avait été mis en place dans la nuit de dimanche à lundi : prise de l’aéroport de la ville, progression d’un groupe tactique inter-armées d’infanterie et de blindés, parachutage de 250 hommes pour bloquer les accès nord de la ville. Résultat : « pas d’accrochages signalés », nous dit l’armée française. L’état-major reconnait que les islamistes n’ont pas de mal à se fondre dans la population. Compte tenu de la supériorité des moyens français et de la poussée des forces maliennes, ils pourraient opter pour des modes d’action dits « indirects ». L'idée ? Marquer les esprits, à l'aide de pièges laissés sur les routes ou sur les maisons, et d'attentats-suicides. Ces méthodes, les militaires français les connaissent bien, puisqu’ils y ont été confrontés pendant dix ans en Afghanistan. Par RFI

AFP/YouTube[/caption] En deux jours, les troupes françaises et maliennes ont repris le contrôle de Gao et de Tombouctou, sans rencontrer de véritable résistance. Cette situation laisse beaucoup de questions en suspens. Où sont les islamistes ? Que préparent-ils ? Ont-ils changé de stratégie ? Éléments de réponse. 18 d’opérations, 48 heures seulement pour reprendre Gao et Tombouctou. Mais aucun bilan concernant le nombre total de jihadistes tués. Lors des combats à Gao, l’état-major assure qu’une quinzaine d’entre eux ont été éliminés par les forces spéciales, samedi dernier, près du pont qui permet l’accès à la ville. Les autres se seraient donc éparpillés. Cependant, pas plus tard que lundi dans la nuit, un hélicoptère Tigre a quand même retrouvé un groupe d’extrémistes, toujours dans la région de Gao. L’équipage a engagé le combat. Le bilan a été de dix morts côté jihadiste, et encore quelques pick-up ont été détruits. A Tombouctou, considéré jusqu’alors comme un fief islamiste, un important dispositif avait été mis en place dans la nuit de dimanche à lundi : prise de l’aéroport de la ville, progression d’un groupe tactique inter-armées d’infanterie et de blindés, parachutage de 250 hommes pour bloquer les accès nord de la ville. Résultat : « pas d’accrochages signalés », nous dit l’armée française. L’état-major reconnait que les islamistes n’ont pas de mal à se fondre dans la population. Compte tenu de la supériorité des moyens français et de la poussée des forces maliennes, ils pourraient opter pour des modes d’action dits « indirects ». L'idée ? Marquer les esprits, à l'aide de pièges laissés sur les routes ou sur les maisons, et d'attentats-suicides. Ces méthodes, les militaires français les connaissent bien, puisqu’ils y ont été confrontés pendant dix ans en Afghanistan. Par RFI
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HABOU ZAKIIl ne faut pas faire de ségrégation quand même! ils ne sont pas venus tout seuls! ils ont été précédés par SANOGO! moi je dis où est passé SANOGO et les Jihadistes?12 ansRépondreLike (0)
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dibiOù sont passés les Djihado-wahabites et les Ethno-sécessionnistes touaregs? La question est oiseuse et n’aide en rien les débilités que sont nombre de Maliens à comprendre les évolutions en cours. Les forces étrangères d'occupation et de pillage s'installent. Elles prétexteront de la nécessité permanente de veiller au grain de ces complices évaporés dans la nature pour l'heure, mais manipulées ceux-ci sont appelés à donner de temps en temps quelques coups de mains meurtriers, afin de justifier la présence des barbouzes de la coloniale. Pendant ce temps, le pays est mis en coupes réglées pour le pillage avec la complicité du roi nègre, adoubé et placés là avec sa cour, à la suite du folklore électoral à venir. Une modalité frauduleuse et efficace de maintien du joug néocolonial où l’on fait accroire que le bulletin de vote réalise la démocratie et le développement économique au profit du peuple massivement analphabète ici. Des propagandistes de tous poils (journaleux tropicaux, satrapes locaux et internationaux, observateurs-experts, ONU, UA, CEDEAO...) entretiennent cette mythologie qui reste un impensé massif en Afrique. Ces vautours de l’ordre constitutionnel invariablement réactionnaire et néocolonial, déploient des trésors de menteries, d’illusions et d’abstractions pour piéger les masses avec des urnes dans des cages électorales. Ces dernières n’y voient de toutes façons que feu ; ou une occasion de s’offrir un gadget, au mieux un T-Shirt à l’effigie d’un entrepreneur politique françafricain de la place à l’exemple d’un Dioncounda ou d’un autre. D’ores et déjà, pour cette mumuse, populaire l’Etat malien, pour ce qui en reste ou en fait office, vient de débloquer plus de 52 milliards de francs de colonies françaises d’Afrique (FCFA). De même, le FMI (cette institution généreuse à étrangler les pauvres) promet pour la récréation politico-festive à venir, après l’harmattan djihado-wahabite, le FMI dis-je promet 18 millions de dollars. Pas mal pour une opération de refondation à l’identique de l’Etat et des institutions maliennes où on reprend les mêmes et on recommence. Comme dit l’adage, « on ne change pas une équipe qui gagne » ! Voilà pourquoi, Dioncounda l’héritier au traitre et planqué de Dakar peut dormir tranquille, en attendant l’arrivée des Djimbé et du Sabar en plus des fanfares de la coloniale. Aux Maliens donc de garder les petits drapeaux français. Ils pourront resservir lors des grands-messes de célébration de la reconquête coloniale. Et c’est ainsi que l’Afrique avance pour le moment : des satrapes vendus à la tête d’Etats faillis, morcelés, soumis à reconquêtes coloniales et prêts à tomber dans les mains intégristes de djihado-wahabites. Une régression sidérale en somme !12 ansRépondreLike (0)
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Fou du MaliC'est quand même bizarre! Quand on disait que les terroristes étaient environ 5000 à 6000 hommes dans le nord avec du matériel très sophistiqué, je me demande où se trouvent-ils? Où ont-ils caché leur armement? L'armée française a-t-elle détruit tout leur armement et tué tous les terroristes? C'est quand même bizarre!!!! Il ne faut pas que les choses s'arrêtent à Tombouctou. Il faut continuer sur Kidal sans trop attendre. Aller chercher ces connards d'islamistes et touareg pour les traduire devant la justice. VIVE LA FRANCE12 ansRépondreLike (0)
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Herr mannCes islamistes ont traverses depuis les premieres frappes francaises a Konna la frontiere malienne pour rentrer au Burkina. ils sont majoritairement loges a Ouaga 2000 et a Bobo 2000. Mefions nous de Blaise et recusons le.12 ansRépondreLike (0)
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MALIDJEILS SONT CHEZ INTALLA A KIDAL ET CHEZ BLAISE AU BURKINA12 ansRépondreLike (0)
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Konaré BounaIls sont passés dans le cul du monde, là où les français ne peuvent pas les suivre. Vous savez le desert, c'est un refuge et une base arrière sûre. Là-bas ils vont rencontrer les français et ils vont avoir le dessus. Attendez vous à la déroute des soldats de holland.12 ansRépondreLike (0)
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blanche neigeKonaré,les françaisont déjà fait le plus gros du boulot ,maintenant c'est à vous de vous bouger les fesses si vous ne voulez pas qu'ils soient à Bamako dans 6 mois :mrgreen: :mrgreen:12 ansLike (0)
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