Plusieurs posts sur les réseaux sociaux présentent une série de recommandations attribuées au CNT voire à son président, dont la photo a fait le tour des réseaux sociaux hier jeudi 27 fevrier 2025. La rencontre s’est tenue le 25 février 2025.
En fait, parmi lesdites recommandations, une seule a été formulée par le Conseil national de transition (CNT). Il s’agit de celle relative à la soumission du projet de la Charte à référendum. Les autres sont la synthèse des préoccupations soulevées par les forces vives de la nation au cours de leurs rencontres avec la Commission dirigée par l’ex-Premier ministre Ousmane Issoufi Maïga. Par exemple, la libération des détenus politiques, l’octroi régulier aux partis politiques de l’aide financière publuque, la fin de la campagne de dénigrement contre les partis politiques sont des recommandations faites par la classe politique devant la commission, le 18 février dernier.
Les trois prérequis évoqués par l’ancien Premier ministre ont été avancés par Conseil national du Patronat du Mali. Il s’agit de la restauration de la stabilité politique, le respect scrupuleux des libertés individuelles et collectives…
Les recommandations concernant la relation entre les faîtières de la presse et la HAC, l’aide publique à la presse émanent des organisations faîtières de la presse. Etc.
Au total, une dizaine de préoccupations ont été soulevées par les forces vives de la nation au cours des différentes consultations en cours depuis le 17 février 2025 autour du projet de la Charte nationale pour la paix et la réconciliation. «Ce sont des questions qui ont fait l’objet de beaucoup de débats. Par honnêteté, nous devons les soumettre à votre très haute appréciation», a résumé Ousmane Issoufi Maïga devant le Premier ministre Abdoulaye Maïga et des membres du gouvernement.
Autre précision: ce sont des préoccupations d’ordre pratique qui ne peuvent pas être mises dans la Charte. Ce qui a amené la Commission à les soumettre à l’appréciation du gouvernement qui est libre de les traiter ou non.
Certains diront que l’ancien Premier ministre Ousmane Issoufi Maïga les cite dans une vidéo. Oui, mais son intervention qui fait près de 18 minutes a été traitée puis diffusée par nos confrères de Joliba. Certains l’interprètent comme ils veulent. Il est important de restituer les faits.
Faisons attention à la manipulation de l’information.
Sources: Moussa Sayon Camara ( L’indépendant)
NB: Le titre est de la rédaction
Kinguirangue le dérangé
NOUS,c’est qui?
N’est ce pas des délinquants trafiquants de drogues qui ont eu peur que le peuple malien exerce le pouvoir après la démission D’IBRAHIM BOUBACAR KEITA de la présidence de la République les obligeant à commettre un coup d’Etat?
Naturellement, ils ne peuvent pas adopter cette charte car signifiant un danger contre leur pouvoir.
ON SAIT TOUS QUE ISSOUFOU MAIGA EST ENTRAIN DE SE FAIRE RIDICULISER EN ACCEPTANT DE TRAVAILLER AVEC LES PUCHISTES.
Ces délinquants jouent au théâtre afin de gagner du temps.
Le bonheur des maliens n’a jamais été leurs préoccupations principales.
Ils sont guidés à sauvegarder leurs intérêts personnels.
Il n’est pas fortuit de rappeler qu’il s’agit des ASSASSSINS DES BERETS ROUGES,DES ASSASSSINS DE SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA.
Ils sont entrain de fuir la justice, pas de gérer le Mali.
Nous n’avons pas besoin de referendum pour une Charte de la Paix et la Reconciliation qui n’a pas de poids juridique ou legal, ce n’est pas une Constitution mais un document national de reference pour guider le vivre ensemble et le recours a des solutions humaines et paisibles a nos problèmes dans la société!