A court d’arguments : Ils veulent couper le sommeil à Alpha

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Depuis quelques semaines, l’ancien Président de la République, Alpha Oumar Konaré est confronté à de faux problèmes. Après l’attaque armée de son domicile, le va et vient des délégations envoyées par le régime soi-disant pour la réconciliation nationale en est un autre fait qui ne dit pas son nom.

 

La nouvelle a estomaqué plus d’un, au sein de l’opinion nationale et internationale. Peu avant l’aube, samedi, des bandits non identifiés ont attaqué à l’arme de guerre le domicile de l’ancien président Alpha Oumar Konaré, situé à Titibougou, à la sortie Est de Bamako, Route de Koulikoro. Bilan : un mort du côté des assaillants. Pourquoi maintenant ? Qui sont les assaillants ? A qui en voulaient-ils ? A qui profite cet attentat contre un président qui a réellement tiré sa révérence politique nationale ? Aujourd’hui, le Mali n’a point et guère besoin de crimes qui en rajouteraient à une situation sociopolitique et économique bien roussie, voire chaotique. Dans un pays où le chef de l’Etat (ancien ou nouveau) n’est pas en sécurité, les populations s’en remettent au Tout puissant. Les populations maliennes, qui vivaient dans la trouille dès que le soleil se couche (souvent même en plein jour) sont dorénavant convaincues qu’elles sont sous ce schéma, du moins depuis samedi 5 avril dernier avec l’attaque, à l’appel du muezzin, du domicile du président Alpha Oumar Konaré. Que s’est-il passé ? Selon les témoignages recueillis sur place, des bandits armés, habillés en civil, ont tenté à deux reprises, au cours de la nuit du 4 au 5 avril, d’attenter à la vie des membres de la famille Konaré. Le mode opératoire des assaillants était bien pensé ; ce qui ne laisse aucun doute sur le caractère prémédité de l’acte. Les bandits, une dizaine environ, ont d’abord plongé la maison dans le noir en coupant l’électricité. Ils ont ensuite tenté d’escalader le mur d’enceinte sur deux fronts (côté Nord, route de Koulikoro et côté fleuve). Des coups de feu retentissent. Les bandits replient, et reviennent quelques instants après pour attaquer. S’ensuivent des échanges de tirs avec les forces chargées de la garde de la résidence présidentielle. Le président Konaré est absent (il séjourne en Egypte où il est médiateur de la crise interne dans ce pays), mais son épouse Adame Ba Konaré est à l’intérieur, au fond des chambres, avec son fils, Iba, ainsi que ses belles filles et ses petits-enfants. Au dehors, la garde de sécurité prend le dessus et repousse les assaillants. Un bandit est touché ; il s’écroule, se vide de son sang et perd la vie. Fin de la partie ; mais pas du film. Car, sur l’assaillant abattu, les gendarmes trouveront plus tard, parmi tant d’autres éléments d’indices utiles, un téléphone portable. Si l’on sait la magie de cet outil révolutionnaire, on ne douterait point que l’enquête aboutirait prestement à l’identification et à l’arrestation des criminels, mais à condition qu’elle soit menée rondement et avec la volonté franche de parvenir à un résultat. Diligenter l’enquête Après ce coup folie manqué, moult questions brûlent les lèvres des Maliens; mais surtout une grosse interrogation : A qui profite l’attaque du domicile de l’ancien président Alpha Oumar Konaré ? La question mérite d’autant plus d’être posée que cet attentat intervient à un moment où tous les phares de l’actualité nationale sont braqués sur des sujets aussi brûlants que l’affaire Tomi Michel, l’affaire des soldats disparus, la situation de Kidal, la crise financière, Ma famille d’Abord, le blocage au sommet de l’Etat, le bras de fer entre le ministre Bathily et les juges. La République, déjà éclaboussée par ces dossiers très chauds, n’a pas besoin d’autres foyers de tension. Surtout pas un attentat contre le président Alpha Oumar Konaré qui, depuis son retrait du pouvoir en 2002, ne s’est jamais prononcé sur un sujet au plan national. Il s’est complètement effacé de la scène politique nationale et ne ferait pas du mal à une mouche. Autant il n’a pas été publiquement sollicité, autant le président Konaré est resté muet comme une carpe par rapport à tous les débats d’intérêt national. C’est un grand intellectuel qui agit comme le ferait tout ancien dirigeant RESPONSABLE. Alors, comment peut-on en vouloir ou vouloir du mal à une telle personne ? Allez savoir. Dans tous les cas, il convient d’ores et déjà de renforcer le dispositif de sécurité autour et à l’intérieur de la résidence Konaré. Mais surtout de diligenter l’enquête. Sékou Tamboura FORUM DES ADMINISTRATIONS FISCALES OUEST AFRICAINES Secteur des télécommunications : Préoccupation commune La problématique de la fiscalité du secteur des télécommunications est une préoccupation qui exige des Etats à entreprendre des stratégies adéquates pour le renforcement de la mobilisation durable des recettes. Tel est le souci des Administrations fiscales ouest africaines qui se sont réunies du 2 au 4 avril derniers au Centre international de conférences de Bamako autour du thème « La fiscalité du secteur des télécommunications ». Le 8è Forum des Administrations fiscales ouest africaines (Fafoa) a examiné plusieurs dossiers relatifs à la vie de l’institution : l’adoption du règlement intérieur ; l’état de paiement des frais de souscription des pays membres de l’organisation ; les stratégies appropriées à la mise en place effective du secrétariat exécutif de l’organisation pour la facilitation, la coordination et la régulation des activités ; le bon fonctionnement de la structure. Mais, le point d’orgue des travaux de cette réunion que le Mali abrite pour la première fois fut incontestablement son thème central « La fiscalité du secteur des télécommunications ». Les travaux ont permis à ce titre d’échanger sur des aspects aussi importants que les systèmes d’informations utilisés par les opérateurs de téléphonie ; le contrôle des opérateurs de téléphonie au regard de la diversité des produits commercialisés et la complexité des techniques à utiliser pour bien appréhender les transactions et les revenus réalisés ; et les compensations de l’interconnexion des réseaux de télécommunication. Au cours de la cérémonie d’ouverture du forum (le 3 avril), présidée par la secrétaire générale du ministère de l’Economie et des Finances, Mme Sidibé Zamilatou Cissé, le directeur général des impôts du Mali, Sidima Dienta, a trouvé les mots justes pour qualifier l’impérieuse nécessité de débattre du sujet. « Le thème sur la fiscalité du secteur des télécommunications est une préoccupation commune à nos administrations fiscales ; il permettra de renforcer les capacités du personnel afin de prendre en charge tous les aspects spécifiques du prélèvement fiscal dans le secteur de la téléphonie », affirme le patron de l’Administration fiscale malienne. Qui a vu en ce forum de Bamako comme un outil permettant une meilleure garantie d’une prise en compte des problèmes spécifiques des administrations fiscales des pays membres de la CEDEAO, surtout dans un contexte économique, social et politique marqué par la mondialisation et la globalisation. A propos de la fiscalité du secteur des télécommunications, Mme Sidibé Zamilatou Cissé a rappelé que la problématique de la fiscalité du secteur des télécommunications est une préoccupation qui exige de nos Etats à entreprendre des stratégies adéquates pour le renforcement de la mobilisation durable des recettes de l’Etat. En effet, poursuit la secrétaire générale du ministère de l’Economie et des Finances, les opérateurs de téléphonie génèrent des revenus importants dont le trésor public doit profiter par le biais de la fiscalité. Mais, selon elle, nos administrations fiscales sont toutefois confrontées à de réelles difficultés pour cerner l’ensemble des transactions et des revenus desdits opérateurs. Face à cette situation, elle préconise l’acquisition de compétences informatiques très spécialisées et le développement de logiciels appropriés, qui pourraient contribuer à mobiliser et à sécuriser les recettes du trésor public. « Aussi, face au manque de visibilité des revenus réels du secteur, nos administrations fiscales ne pourraient-elles pas s’appuyer sur les mêmes technologies de contrôle du trafic actuellement à la disposition des autorités de régulation ? », s’interroge-t-elle. Avant de rappeler que certains pays ont déjà expérimenté ce procédé avec succès. A l’ouverture des travaux, le président du Fafoa, Pascal Abinan, a rappelé que depuis la dernière assemblée générale tenue à Ouaga, au Burkina Faso, le forum a réalisé des avancées notables en ce qui concerne l’adoption du projet d’organigramme et du profil du personnel du secrétariat exécutif et l’adoption final des textes fondamentaux du règlement intérieur qui doivent régir l’institution. Ce qui constitue un motif de satisfaction. « Les uns et les autres peuvent se réjouir du bilan des actes déjà posés », jubile Pascal Abinan. Qui tempère aussitôt ses ardeurs, car, précise-t-il, « en dépit des progrès réalisés, des défis énormes restent à relever ». Surtout que « la responsabilité des administrations fiscales est très grande dans le noble combat pour la construction et l’amélioration d’un cadre communautaire dédié aux services fiscaux », conclut-il. Quant au président de l’Union des ordres fiscaux de l’Afrique de l’Ouest, Mike Kofi Afflu, il a insisté, dans son message, sur la maîtrise de nos assiettes fiscales pour le développement harmonieux de nos pays. Pour lui, ce n’est pas en augmentant les taxes que nos Etats amélioreront les recettes fiscales, mais plutôt en consentant des allègements pour faciliter le recouvrement et la collecte des taxes. Ce qui permettra d’atteindre les différents objectifs de recettes. La Fafoa, qui regroupe une quinzaine de pays, est une plate forme qui sert à promouvoir et à faciliter la coopération mutuelle entre les administrations fiscales des pays membres de la Cedeao, en vue d’améliorer l’efficacité de leurs législations. Etaient présents à Bamako, les participants venus du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Ghana, du Niger, du Nigeria et du Sénégal. Sékou Tamboura
Alpha Oumar Konaré

Amener les anciens présidents la République du Mali à se prendre main dans la main est perçu dans certains milieux associatifs comme une initiative qui donnerait corps et vie à un départ vers la réconciliation nationale.

 

Il faut dire que l’initiative a toute sa place dans un monde où les déchirures ont amené les fils du pays à ne plus s’écouter ou se faire secourir.

 

Les anciennes blessures d’un passé marqué par les divergences de points de vue, sont si brûlantes que certains ne prononcent plus le simple nom de leur précédent ou ancien allié d’une certaine époque. Pire, l’élection d’IBK à la tête du Mali n’avait donné espoir à l’épisode pour enfin, connaître son épilogue. Tel un lion fâché, IBK qui s’est vu président grâce à Dieu, selon sa propre expression, n’avait au départ, eu de cadeaux à faire à ses prédécesseurs qu’à leur prouver que contre leur gré, ses prières et aspirations ont été exaucées. Pour annoncer son retour pour une véritable revanche, il flatte l’un des plus grands dictateurs de l’Afrique au sud du Sahara en « grand républicain». Cette éloge qui ne tient pas débout est loin de frustrer le président Konaré, directement visé. Car ce dernier qui sait combien son ancien élève politique sait entretenir les rancunes, n’ignore pas ce qu’il ressent pour lui après leur séparation en 2000. Quoiqu’il fût son homme de confiance, en président de son parti(ADEMA), ambassadeur, ministre et premier ministre, Alpha n’avait approuvé de le préparer à sa succession. Les raisons furent selon certaines indiscrétions, du simple fait qu’il ne correspondait pas au profil adéquat d’un homme d’Etat pour diriger un Etat des diversités. Durant leur combat commun, Alpha a connu un homme « hautain, rancunier, budgétivore et héritant de cette dilettante qui se couche tôt et se réveille tard.»

 

C’est ainsi qu’IBK quitta le parti avec fracas pour s’en créer le RPM en juin 2001. Le verset de « Allah ka tignè dèmè=Que Dieu aide la vérité » connaissait le jour. Depuis, rien ne va plus entre les deux hommes.

 

Une fois investi, IBK aurait pu profiter de la lettre de félicitation à lui envoyée par ATT afin d’apaiser les tensions, se rapprocher d’Alpha et faire ensemble face à l’essentiel. Mais que non ! L’homme avait cru diriger le grand ensemble malien si facile pour faire recours ou donner du temps à ses illustres prédécesseurs. Il faut dire qu’Alpha le connaît mieux que quiconque pour l’éviter et continuer à vivre sa retraite en toute sagesse.

 

Sur la même lignée, et contrairement à ce qui se trame à nos jours, IBK , dès le début du deuxième trimestre de son régime, étale qu’en plus d’Alpha qui n’a pu l’empêcher d’atteindre son sommet, le Président ATT également doit payer, et très cher. De « haute trahison » l’accuse-t-on et menace de le traduire devant la haute Cour de Justice. Avec des arguments dévêtus de tout sérieux dans le fond. « Si Dieu facilitait tout pour IBK, Alpha et ATT seraient actuellement écroués », commente un ancien député.

 

Mais comme son excellence Ibrahim Boubacar Keïta semble descendre de son piédestal de revanchard, il tente d’aller à la conquête des cœurs de ses prédécesseurs. Le hic en est qu’il ignore encore comment y procéder.

 

Et selon de bonnes sources, des délégations d’émissaires du régime se succèdent depuis peu, au domicile de l’ancien Président Alpha afin de le réconcilier avec ses autres frères. Quant à ATT, « c’est aussi en vue », estime-t-on dans certains cercles du pouvoir. « Aller demander pardon à ATT » fut dernièrement une idée pour la réconciliation nationale qu’un député de la mouvance présidentielle fit entendre à ses homologues du même bord.

 

Curieusement, du côté de la famille d’Alpha, « venir demander à l’ancien Président démocratiquement élu de se réconcilier avec les maliens » est perçu comme une façon de le mettre à dos avec les maliens.

 

En effet, l’ancien Président à la fin de son deuxième mandat, a constitutionnellement laissé le pouvoir à ATT démocratiquement élu. A parler de bilan, Alpha a plus quoi s’en flatter qu’à se reprocher.

 

En outre, s’il y a un Président qui a quelque chose à se reprocher au Mali, c’est bien le forcément repenti Général Moussa Traoré. Ce militaire autocrate qui est venu mettre fin à l’option socialiste adoptée pour un équitable partage des richesses par le feu Modibo, fût classé parmi les plus grands dictateurs de l’Afrique au sud du Sahara, tant son long séjour de 23 années au pouvoir s’est illustré en cauchemar pour les générations maliennes du lendemain des indépendances à la veille du multipartisme intégral.

 

Les affres du régime de Moussa Traoré ont tant fait de victimes que l’ancien général, deux fois condamné à la peine capitale(pour crime de sang et crime économique), apparaît comme le plus grand sanguinaire de l’histoire du Mali. Et s’il a dû laisser le pouvoir, c’est bien par la force. Et pourtant, à la différence du sort qu’il avait réservé à Modibo, ses successeurs ATT et Alpha lui ont réservé des conditions de vie très favorables en prison.

 

Qu’il soit malchance ou simple coïncidence, l’ancien Président résidant depuis 12 ans à Titibougou, n’a connu d’attaque sur son domicile que sous le régime IBK. Et de la réconciliation ? C’est maintenant qu’on lui en parle. Avant, « en marge d’avoir été ministre du sinistre dictateur, il a deux fois accordé la grâce présidentielle à Moussa Traoré alors en prison. Il conseilla résolument son successeur Amadou Toumani Touré au cours de ses deux mandats. Avec Dioncounda, les relations sont très bonnes », a commenté un homme politique. Alors doit-il se réconcilier avec des gens qu’il n’a jamais quittés?

 

C’est sûr qu’il va encore falloir, au régime, changer de cap et rendre à César ce qui est à César. Au lieu de passer par quatre chemins, au risque de créer d’autres problèmes à son ancien mentor, IBK doit tout simplement aller en personne demander des excuses à Alpha. Sinon, à entendre ses amis, l’ancien Président n’a absolument rien à se reprocher au point de se sentir le premier concerné de ce qu’on appelle « Réconciliation nationale ». Mieux, « IBK doit aller demander des excuses à ATT d’abord, car c’est lui qu’il a menacé de traduire devant la Haute Cour de Justice. Après, tout est possible », aurait proposé l’ancien président Konaré, aux sept émissaires de la Présidence dépêchés à son domicile.

 

I M T

 

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15 COMMENTAIRES

  1. Que les anciens présidents et l’actuel président soient à couteau tiré les maliens s’en fichent comme de l’an quarante. Après tout c’est leur vie privée ,ils ont le droit de ne plus se saquer ou de ne plus se sentir.
    Franchement ce qui compte pour les maliens,c’est leur pouvoir d’achat et leur condition de vie.
    Que les loups se bouffent entre eux ,cela les regarde
    Ils n’étaient obligés de montrer leur mésentente à la face du monde
    On peut ne pas aimer ou estimer quelqu’un et garder cela pour soi sans le montrer au monde entier.
    C’est tout simplement un comportement de gamin,dommage!!

  2. une réconciliation nationale n'est possible q'avec tous les maliens donc le président IBK doit se déplacer personnellement pour aller reconquérir le cœur de ses prédécesseurs ALPHA et ATT

  3. Le temps passé ne revient plus donc laissons le . Il a été un grand homme donc nous le respectons pour cela . Le présent c’est IBK donc nous souhaitons le meilleur . bon vent .

  4. Vous êtes des égoïstes . Laissez IBK travailler ! Alpha et ATT ont fait leur temps. le Mali doit avancer et le Mali avance .
    Vive le Mali !

  5. Laisser le vieux en paix
    nous malien on sait même pas ce qu’on veut
    ce qui ont détruis l’école malienne, l’armée;le patriotisme, qui ont dilapidés nos terres de culture qui détruis nos us et coutumes.
    vous ne voulez pas qu’on les reconstruis .
    qu’est ce que vous voulez?
    je sais,
    vous vous voulez laisser ce pays a la merci des corrompu
    tous sauf ça.
    ce que dit l’autre ce pays la, on vas le faire insah allah.

  6. (Suit) Nul n’est sensé détenir le savoir pourtant Alpha et ATT sont des bibliothèques pour le Monde, l’Afrique et le Mali. Chacun d’eux ont fait mieux que SOUNDIATA KEITA a qui la légende et le mythe veulent confier des succès non ressenti par nous aujourd’hui. IBK se glorifie d’un passe lointain qui ne nous sert pas beaucoup alors que nous avons nos solutions dans le passe immédiat.
    Le défis du moment s’appellent rassembler les maliens autour de l’essentiel au risque d’une partition du pays A bon entendeur salut.

  7. Un article simple et instructif. IBK doit lire cet article pour apprendre et en tirer des leçons. La rancune et la heine ne construisent jamais une famille encore moins un état. Jamais le Mali n’a été aussi en danger que sous IBK. Depuis son investiture, nous voyons les mêmes agitations que sous Sanogo alors même que le comportement de ce dernier peut être compréhensible comparer au regard de son parcourt et son niveau d’instruction, car dira-t-on qu’il n’est qu’un simple militaire ne connaissant rien de la gestion d’un état. Pourtant ce n’est pas le cas d’IBK qui se targue d’être un homme d’état, un homme de culture qui étale chaque jour sa heine et ses rencoeurs comme un enfant de moins 5 ans qui cherche à se venger d’un camarade qui lui a pris son jouet. Il fera bien de se ressaisir car par son entêtement il risque de signer l’un des plus mauvais accords de notre existence c est a dire une autonomie déguisée au MNLA.

  8. Un article simple et instructif. IBK doit lire cet article pour apprendre et en tirer des lecon. la rencune et la heine ne construisent jamais une famille en core moins un etat. Jamis le Mali n a ete en danger que sous IBK. Depuis son investiture, nous voyons les memes agitation que sous Sanogo. Le comportement de ce dernier est acceptable car on dira qu’il n’est q’un simple millitaire ne connaissant rien de la gestion d’un etat. IBK qui se targue d’etre un homme d’etat, un homme de culture etale chaque jour sa heine et ses rencoeurs comme un enfant de 5 ans. Il fera bien de se resaigir car par son entetement il resque de signer l’un des plus mauvais accord de notre existance c est a dire une autonomie deguisee au MNLA. Nul n est sense detenir le savoir pourtant Alpha et ATT sont des bibliotheques pour le Monde, l’afrique et le Mali. Chacun d’eux peut se comparer a SOUNDIATA KEITA dont IBK se glorifie aujourd’hui. A bon entendeur salu.

  9. IBK est entrain de mettre les maliens à dos ou même à provoquer la division des maliens sur l’essentiel.
    La notion du pouvoir n’est pas jusque là maitrisé par lui.
    Il n’a pas un statut d’homme d’état et surtout il n’a pas aussi des caractères d’homme.

  10. Tant qu’il est dans sa bull, IBK ne saura éviter l’aventure dans laquelle il nous mène, et tout ça finira mal. Il a de la peine à se défaire de son ego et de son moi pour faire face aux problèmes du pays. Le réveil sera très très dur.

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