La Revue de Presse de la RADIO RENOUVEAU FM du 27 FEVRIER 2024
27 Fév 2024 - 11:39
27 Fév 2024 - 11:39
0

Quelle est votre réaction ?







Articles Similaires
La Revue de Presse de la RADIO LA VOIX DU MALI du 12 Mai 2025
12 Mai 2025 - 09:26 0
La Revue de Presse de la RADIO KLEDU du 09 Mai 2025
9 Mai 2025 - 09:45 0
La Revue de Presse de la RADIO CIWARA FM du 14 Mai 2025
14 Mai 2025 - 11:45 0
La Revue de Presse de la RADIO RENOUVEAU FM du 08 Mai 2025
8 Mai 2025 - 11:40 0
ORTM: Journal TV du 09 mai 2025
10 Mai 2025 - 18:16 0
-
◇□◇◇□◇ℜ◇□◇?◇□◇G◇□◇?◇□◇ℜ◇□◇ℒ◇□◇?◇□◇O◇□◇◇□◇G◇□◇?◇□◇Æ?◇□◇ℜ®◇□◇ℜ◇□◇??◇□◇G◇□◇?¥◇□◇ℜ◇□◇Deux hommes, un Letton de 37 ans et un Ukrainien de 63 ans, ont été mis en examen et placés en détention provisoire jeudi, soupçonnés d'avoir gagné des centaines de milliers d'euros au poker dans plusieurs casinos en France et en Europe. Ils utilisaient des caméras discrètes pour lire les cartes lors de leur distribution. Arrêtés en flagrant délit au casino d'Enghien-les-Bains, ils opéraient avec un complice extérieur qui leur transmettait les informations via une oreillette. L'enquête, basée sur un renseignement obtenu en juin, a révélé leur méthode sophistiquée, mais aucune complicité interne aux casinos n'a été établie. Les suspects, des professionnels du jeu et de la triche, avaient remporté plus de 200.000 euros dans un seul casino parisien. L'enquête se poursuit pour identifier d'autres complices. Ŧℜ?∁H€?ℜ€Ŧ?Ŧ$?ℕ?€ℕ... Ŧℜ?∁H€?ℜ?Ŧℒ?ℕŦ?$Ŧℳ€ Ŧℜ?∁H€?ℜO?É€ℕ? LA FRANCE RETARDE LE DEVELOPPEMENT DE L’AFRIQUE Le réel problème et le plus crucial sur lequel il faudra que l’Afrique, l’Afrique francophone se lève est celui de son extrême dépendance au système français. Le général De Gaulle affirmait en 1961, tout juste après le processus de décolonisation des anciennes colonies françaises : “Notre ligne de conduite, c’est celle qui sauvegarde nos intérêts et qui tient compte des réalités. Quels sont nos intérêts ? Nos intérêts, c’est la libre exploitation du pétrole et du gaz que nous avons découvert ou que nous découvririons”. Et, tout a été fait pour embrigader ces pays, bloquant ainsi leurs développements. La domination économique de la France sur ses anciennes colonies d’Afrique Noire, enracinée dans la devise “franc CFA” doit prendre fin. Le Bénin, le Burkina-Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo ; formant l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), le Cameroun, la République centrafricaine, la République du Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale et le Tchad formant la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) et l’Union des Comores sont les quinze Etats africains membres de cette zone franc qui ne leur a rien apporté depuis cinquante ans sinon que des problèmes et un plus grand asservissement à la France. La coopération monétaire entre la France et ces Etats africains de la Zone franc est régie par quatre principes fondamentaux que sont : 1. La garantie de convertibilité illimitée du Trésor français ; 2. La fixité des parités ; 3. La libre transférabilité ; 4. La centralisation des réserves de change (en contrepartie de cette garantie, les trois banques centrales que sont la BCEAO pour l’UEMOA, la BEAC pour la CEMAC et la BCC pour les Comores sont tenues de déposer une partie de leurs réserves de change auprès du Trésor français sur leur compte d’opérations). En échange donc de la garantie française de la convertibilité du franc CFA, ces pays ont consenti à déposer 65 % de leurs réserves de devises étrangères sur un compte spécial du ministère des Finances français et ont accordé à la France un droit de veto sur la politique monétaire à adopter au sein de la zone franc. En clair, lorsque le Bénin par exemple vend du coton aux Etats unis pour 500.000 dollars, les Etats unis payent les 500.000 dollars au Bénin mais sans que le Bénin ne voit la couleur de l’argent. En effet, les Etats-Unis envoient les 500.000 dollars qu’ils doivent au Bénin par le trésor français et celui-ci garde 65 % (la part de la banque de France) et donne 35 % à la BCEAO et ce sont finalement ces 35% soit 175.000 dollars qui nous reviennent. C’est à la limite de l’exploitation, l’exploitation d’une nation par une autre nation et même un déni de souveraineté puisque ces pays ne sont pas libres de la gestion de leur politique économique et monétaire, domaine pourtant constitutif de la souveraineté d’un État. La preuve en est la dévaluation de 1994 décidée unilatéralement par la France et qu’ont dû subir ces Etats. L’indépendance de ces Etats est alors une indépendance de façade et cet assujettissement de la monnaie de l’Afrique subsaharienne à la monnaie française ne favorise pas le développement. Au moment où ces pays croupissent sous le lourd poids de la mondialisation et qu’ils ont besoin des ressources pour diversifier leurs agricultures, promouvoir l’entrepreneuriat chez les jeunes, des milliers de milliards de FCFA sont entassés au trésor français au nom de l’appartenance à la zone franc. Le passage du franc français à l’euro devait sonner le glas de ce système mais comme les gouvernants africains se refusent à toute réflexion sur le développement et l’avenir du continent, la France a réussi à obtenir de leur part que les accords de coopération monétaire de la zone franc ne soient pas affectés par son entrée dans l’union européenne. Le système est toujours resté le même et le franc CFA est aujourd’hui lié à l’euro suite à l’intégration de la France dans l’Union européenne et à l’élab3 moisRépondreLike (0)