Document de l'Accord pour la paix et la réconciliation au Mali issu du processus d’Alger
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27 Fév 2015 - 12:02
4 Mar 2015 - 04:37
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ACCORD POUR LA PAIX ET LA RECONCILIATION AU MALI
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So KeitaPour moi si parle de la paix 'c'est patriotisme ,le respect de l'un et l'autre.cesse d'etre l'enemi de soi meme qui aboutira à la richesse et au developpement equilibre.10 ansRépondreLike (0)
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So KeitaPour moi si parle de la paix 'c'est patriotisme ,le respect de l'un et l'autre.cesse d'etre l'enemi de soi meme qui aboutira à la richesse et au developpement equilibre.10 ansRépondreLike (0)
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Pap SinaTu n'as pas raison de t'exprimer ainsi mon ami. Notre pays sera jamais divisé inchallah.10 ansRépondreLike (0)
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Ibrahim ToureCompte rendu La paix signée par tous les belligérants au Mali Le Monde.fr avec AFP Le 20.06.2015 à 20h07 • Mis à jour le 20.06.2015 à 22h34 Sidi Brahim Ould Sidati, représentant de la coalition de la rébellion touareg, signant l'accord de paix au Mali, le 20 juin. Un mois après l’annonce d’un accord de paix par les autorités au Mali, la rébellion touareg a finalement joint sa signature au texte, samedi 20 juin. L’absence des représentants de la Coalition des mouvements de l’Azawad (CMA) avait considérablement affaibli l’accord, négocié depuis de long mois, et signé le 15 mai à Bamako. Les membres de la CMA, les groupes armés, touareg ou djihadistes qui contrôlent encore des pans entiers du territoire malien et qui sont à l’origine des troubles qui déstabilisent le nord du pays depuis 2013, avaient paraphé l'accord négocié mais exigeaient pour le signer des discussions supplémentaires, estimant que le texte était « très en deçà [de leurs] revendications ». Lire aussi : Les Touareg du Mali boycottent la signature de l’accord de paix L'accord prévoit la création d'assemblées régionales dotées de pouvoirs importants, élues au suffrage universel direct, mais, comme le souhaitait Bamako, ni autonomie ni fédéralisme. Les pressions internationales qui n’ont cessé de s’exercer, les dernières concessions accordées par la partie malienne telles que la levée des mandats d’arrêt qui planaient encore sur quinze cadres de la CMA, la crainte de se voir marginalisés, la lassitude et la pénurie de moyens face à une guerre qui s’enlise, ont finalement permis d’engager toutes les parties jusqu’au bout de ces négociations. Le Drian au Mali lundi L’accord signé vise à instaurer une paix durable dans le nord du pays, territoire de nombreuses rébellions touareg. En 2012, cette vaste région a été transformée en sanctuaire et en base d’opérations djihadistes, jusqu’au lancement par la France de l’opération Serval en janvier 2013. Bien que les djihadistes aient été dispersés et en grande partie chassés de cette région par l’opération Serval – relayée depuis août 2014 par « Barkhane », dont le rayon d'action s'étend à l'ensemble sahélo-saharien – des zones entières échappent encore au contrôle des autorités maliennes comme des forces internationales. Lors de la signature de l’accord, samedi, le ministre des affaires étrangères algérien, Ramtane Lamamra, chef de file de la médiation internationale dans ces pourparlers, a salué « un nouveau départ » pour le Mali. Le représentant de la CMA, Mahamadou Djeri Maïga, a« il ne faut pas que ça ressemble aux accords précédents » entre Bamako et les rébellions antérieures, restés pour l'essentiel lettre morte. « Il faut que chacun respecte ses engagements », a-t-il déclaré. Le ministre de la défense français, Jean-Yves Le Drian, a fait savoir qu'il se rendrait lundi au Mali « pour marquer la présence et le soutien de la France à cet accord », selon son entourage. Dans une tribune publiée vendredi dans Le Monde, les ministres des affaires étrangères français et néerlandais, Laurent Fabius et Bert Koenders, avaient encouragé la rébellion à franchir le pas et les pays européens à soutenir davantage la force de l'ONU.10 ansRépondreLike (0)
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Ibrahim ToureCompte rendu La paix signée par tous les belligérants au Mali Le Monde.fr avec AFP Le 20.06.2015 à 20h07 • Mis à jour le 20.06.2015 à 22h34 Sidi Brahim Ould Sidati, représentant de la coalition de la rébellion touareg, signant l'accord de paix au Mali, le 20 juin. Un mois après l’annonce d’un accord de paix par les autorités au Mali, la rébellion touareg a finalement joint sa signature au texte, samedi 20 juin. L’absence des représentants de la Coalition des mouvements de l’Azawad (CMA) avait considérablement affaibli l’accord, négocié depuis de long mois, et signé le 15 mai à Bamako. Les membres de la CMA, les groupes armés, touareg ou djihadistes qui contrôlent encore des pans entiers du territoire malien et qui sont à l’origine des troubles qui déstabilisent le nord du pays depuis 2013, avaient paraphé l'accord négocié mais exigeaient pour le signer des discussions supplémentaires, estimant que le texte était « très en deçà [de leurs] revendications ». Lire aussi : Les Touareg du Mali boycottent la signature de l’accord de paix L'accord prévoit la création d'assemblées régionales dotées de pouvoirs importants, élues au suffrage universel direct, mais, comme le souhaitait Bamako, ni autonomie ni fédéralisme. Les pressions internationales qui n’ont cessé de s’exercer, les dernières concessions accordées par la partie malienne telles que la levée des mandats d’arrêt qui planaient encore sur quinze cadres de la CMA, la crainte de se voir marginalisés, la lassitude et la pénurie de moyens face à une guerre qui s’enlise, ont finalement permis d’engager toutes les parties jusqu’au bout de ces négociations. Le Drian au Mali lundi L’accord signé vise à instaurer une paix durable dans le nord du pays, territoire de nombreuses rébellions touareg. En 2012, cette vaste région a été transformée en sanctuaire et en base d’opérations djihadistes, jusqu’au lancement par la France de l’opération Serval en janvier 2013. Bien que les djihadistes aient été dispersés et en grande partie chassés de cette région par l’opération Serval – relayée depuis août 2014 par « Barkhane », dont le rayon d'action s'étend à l'ensemble sahélo-saharien – des zones entières échappent encore au contrôle des autorités maliennes comme des forces internationales. Lors de la signature de l’accord, samedi, le ministre des affaires étrangères algérien, Ramtane Lamamra, chef de file de la médiation internationale dans ces pourparlers, a salué « un nouveau départ » pour le Mali. Le représentant de la CMA, Mahamadou Djeri Maïga, a« il ne faut pas que ça ressemble aux accords précédents » entre Bamako et les rébellions antérieures, restés pour l'essentiel lettre morte. « Il faut que chacun respecte ses engagements », a-t-il déclaré. Le ministre de la défense français, Jean-Yves Le Drian, a fait savoir qu'il se rendrait lundi au Mali « pour marquer la présence et le soutien de la France à cet accord », selon son entourage. Dans une tribune publiée vendredi dans Le Monde, les ministres des affaires étrangères français et néerlandais, Laurent Fabius et Bert Koenders, avaient encouragé la rébellion à franchir le pas et les pays européens à soutenir davantage la force de l'ONU.10 ansRépondreLike (0)
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Isselmou Abdel Kader, ancien ministre mauritanienJe suis heureux, très heureux de la signature de cet accord entre mes frères maliens. J'ai toujours pensé et je pense toujours que l'Etat post colonial a épuisé sa marge d'efficacité et que la seule voie pour le dépasser serait d revoir la forme et les modalités de mise en oeuvre d'un système intelligent de décentralisation qui se se situe entre l'autonomie et le simple démembrement formel de l'Etat ont l'unicité est un impératif majeur, mais qui ne doit en rien ignorer la nécessité historique de permettre aux populations de vivre et d'assumer leur diversité culturelle. J'espère que la mise en oeuvre de cet accord sera confiée à une structure quasi permanente qui saura mesurer la pesanteur des enjeux. Il faut surtout éviter le jeu de cache-cache qui a parfois réduit l'efficacité des consensus nationaux précédents. Ensuite, le scepticisme naturel et les sceptiques de mauvaise fois ne manqueront pas. Il faut les éliminer autant que possible en commençant pas l'application urgente des aspects les plus sensibles et les plus faciles à résoudre, comme la délivrance des documents de voyage et d'état civil et la réparations des préjudices qui ont été causés à des personnalités innocentes comme l'ancienne ministre Zakietou Walate Halatine dont on a détruit le patrimoine mobilier et immobilier et confisqué la fortune en la réduisant à la mendicité. EN TOUT ETE AT DE CAUSE, NOUS DISONS BRAVO AU MALI, AUX MALIENS, AU PRÉSIDENT IBRAHIMA BOUBACAR KEITA ET A NOS FRÈRES ALGÉRIENS QUI ONT PILOTE CES NEGOCIATIONS D'UNE MAIN DE MAITRE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!10 ansRépondreLike (0)