MALI / Communiqué de la Présidence de la République : Dr Boubou CISSE nommé Premier ministre
22 Avr 2019 - 12:30
22 Avr 2019 - 12:49
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Le Président de la République, suite à la démission du Premier ministre et du gouvernement, a engagé des rencontres avec les forces politiques de la majorité et de l’opposition pour discuter d’une part, de la situation socio-politique du pays, et d’autre part de la constitution d’un gouvernement de large ouverture.
Au cours de ces échanges, le Président de la République a insisté auprès de ses interlocuteurs sur la nécessité de mettre le Mali au dessus de tout et les a exhortés à l’accompagner dans le processus de reconstruction de notre pays.
Le Président de la République a constaté auprès de ses interlocuteurs une grande capacité d’écoute et une grande disponibilité à fédérer leurs énergies pour le développement de notre pays et le bonheur de nos populations.
Ainsi, le Président de la République a décidé de nommer Docteur Boubou CISSE aux fonctions de Premier ministre.
Le Président de la République a chargé Docteur Boubou CISSE de former une nouvelle équipe gouvernementale dans l’esprit des conclusions de ses consultations avec les forces politiques de la majorité et de l’opposition.
Koulouba, le 22 avril 2019.
Le Secrétaire général
Présidence de la République du Mali
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CHAUVIN@Le Roi Pilleur de Ségou. Dans les semaines à venir, tu nous donneras raison par rapport à ce que nous essayons de t’exposer. Ibk ne mesure pas vraiment l’ampleur de la crise multidimensionnelle que le Mali fait face. En période de guerre on a besoin d’un commandant qui ne tergiverse pas, un commandant qui sait remobiliser ses troupes, un commandant qui sait comment s’adapter aux réalités du terrain, malheureusement Ibk en tant que Chef suprême des armées, est psychologique fébrile et physiquement atteint.6 ansRépondreLike (0)
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LE ROI BITON DE SEGOULe chauvin, SABALI!!!! Le point positif de Boubou est d'etre calme par rapport aux autres jeunes de l'entourage presidentiel! Son seul cote' negatif que je vois pour le moment , est d'etre du monde des finances. UN MONDE CRIMINEL QUI N'A AUCUNE PITIE' DES PAUVRES. J'espere que Boubou est l'exception!!!! LE PRESIDENT IBK EST TOUJOURS PRESENT POUR L'ENCADRER! JE N'OUBLIE PAS QU'IL EST EN MISSION POUR LE PRESIDENT. JE LE SUPPORTE!!!!!6 ansRépondreLike (0)
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CHAUVIN@Le Roi bandit de Ségou tu nous donnes la confirmation que ton champion Boubou, neveu du Président IBK n’est pas l’homme providentiel pour gérer la primature. Si sa nomination est l’œuvre de SBM, alors le peuple doit demander illico-presco, le départ du vieux IBK. Boua IBK souffre d’une pathologie très grave et incurable (Alzheimer), je pense que l’armée ou la justice doit émettre un mandat d’arrêt contre lui pour incapacité à gérer le pays, sans quoi notre chère patrie s’enlisera dans la crise.6 ansRépondreLike (0)
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NOUS DISONS "NON" AU LARBINISME CONGÉNITAL, Á LA KLEPTOCRATIE-KAKISTOCRATIE MEUTRIERE SÉVISSANT AU MALINOUS PRIONS TOUS LES MALIENS SOUCIEUX ET DÉTERMINÉS Á EN FINIR AUX CRIMES D' ÉTAT EN SOL MALIEN, DE VISIONNER LA VIDÉO CI-DESSOUS: https://www.youtube.com/watch?v=2mgkvMWI_Gs&feature=youtu.be GRAND MERCI Á, Article 118: "Aucune procédure de révision ne peut être engagée ou poursuivie lorsqu'il est porté atteinte à l'intégrité du territoire. " EN SOMME, IBK EST LA TETE DU PROBLEME, IL DOIT PARTIR. IBK DOIT PARTIR, IL A RATÉ LA CHANCE DE NE PAS MENTIR AUX MALIENS ET DE PAS LES TRAITER COMME SOUS-HOMMES, SANS AMES. IBK EST FOUTU, IL DOIT ETRE BALAYÉ SANS AUCUNE TRACE RESTANTE, AVEC TOUTE SA SUITE.6 ansRépondreLike (0)
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VolepaspseudoMecAvec l'installation au pouvoir d'une aristocratie tricéphale (Kuluba, famille, Assemblée nationale), c'est la fin de Maliba, ce Grand Mali que nous avions tant espérer qu'il le soit. Que se cache-t-il derrière la nomination de ce novice, naguère ministre de l'économie, comme Premier Ministre ventriloque? S'agit-il de couvrir des pots bourrés de fritures d'ici la fin du second mandat ou de contribuer à faire sortir le Mali du honteux bourbier dans lequel il est désormais condamné, malgré l'engagement tristement sanguinolent des Forces Armées Maliennes (Fama)? Au delà des rhétoriques et litanies gréco-latinisées comme si cela faisait de l'homme politique un érudit, la seconde interrogation ne semble d'aucune priorité pour « Manden mansa ». Le Mali peut désormais s'écrouler mais l'histoire retiendra que je fus une des « lumières » de ses « pères fondateurs ». Tel semble être désormais la devise de l'hôte de Kuluba. Une offense au Peuple Malien ? Certainement. Sinon, comment comprendre qu'il n'aurait pas en toute sagesse choisi comme PM un homme d'expérience, de culture et de maturité politique pour mieux affronter cette phase de déliquescence totale du Mali. Nous pensions qu'au regard du danger qui plane sur l'existence même du Mali, l'hôte de Kuluba aurait privilégié un Gouvernement de « crise » avec une forte implication de l'opposition en première ligne. Tel ne semble pas être le cas. L'Opposition, composée de patriotes et d'intellectuels de hauts rangs, aura certainement toutes ses raisons de ne pas être associée au spectacle macabre de putréfaction de l’État malien, alors qu'elle aurait pu l'être, au nom du Patriotisme dès l’entame du second mandat présidentiel. Le prochain gouvernement sera exclusivement composé de porteurs ventrus et bedonnants de portefeuilles ministériels qui répéteront tous à l'unisson les mêmes discours et diatribes qui rendent hommage aux esprits illuminés du guide suprême de Kuluba pendant que le peuple meurt sur tous les plans de faim et de soif (économie, éducation, culture). Les Nations Unies imposent au Mali la « révision constitutionnelle », comme gage de son engagement (militaire, économie), en vue d'octroyer plus de prérogatives au développement des régions du Nord. Qu'en sera-t-il des autres régions du Mali, notamment celles du poumon économique méridional (Kayes, Sikasso)? Au même moment, un pays africain comme le Ghana ne souhaite désormais recevoir aucune aide du FMI. Le protocole « Guinée-Ghana-Mali » c'était encore quand? Malheureusement, un homme en détresse se pliera toujours aux exigences des pompiers. Mais pour un Malien, ce ne fut pas toujours le cas. La bataille pour l'existence du Mali Commun, fier de son histoire et de ses valeurs culturelles, ce Mali, pour lequel nous chantions à tue-tête «A ton appel Mali» et que nous chantons encore suivant la sensibilité de nos cordes vocales, vient de rentrer dans une nouvelle phase politique. Au nom du Mali, le défi mérite d'être relevé dans nous-mêmes et par nous-mêmes. Battons-nous pour le Mali.6 ansRépondreLike (0)
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HerrmanUn non évènement!! On essaie de faire du nouveau avec de l'ancien. Quel sera le choix pour un président corrompu caractérisé par une mauvaise gouvernance et des détournements de fonds et autres deniers publics que de serrer contre lui comme un semblant de bouée de sauvetage, que son bras financier, son ministre des finances, autre fois ministre des mines et qui est l'un des anciens ministres du régime IBK, tel Modibo SIDIBE au temps de ATT.6 ansRépondreLike (0)