De quoi je me mêle : Azawad, mode d’emploi

Frere Thiam, il faudra que nous memes en tant nationaliste, le peuple malien, doivent engager dans ce combat pour l'unicite du Mali. Dans un conflit il y a 2 batails: militaire et mediatique. Et personne le fera le Mali a notre place. On s' appuie trop sur les autres notamment nos allies, francais savent ce qu'ils veulent ( je suis convaincu que la France est la bas pour quelque chose comme au Niger avec leur uranium), nos freres tchadiens sont les seuls a etre sijcerement devoues pour la cause. Le tchad a combattu beacoup de rebellions finances par le defunt khadafi. Maintenant c ' est a nous le faire le boulot. Nos medias, vous tous et toutes, doivent plus faire leurs boulots dans cette guerre mediatiques et nos politiciens aussi surtout nordiques. Esperons que cette crise sera la derniere. Sinonon risque de finir comme le Sudan.

Nous disons que les touaregs sont nombreux et sont partout depuis le Mali en passant par la Mauritanie le Burkina Faso l’Algérie le Niger etc et s’étendent jusqu’en Libye Nous disons et insistons par contre que les MNLA ne sont que 1)des « ramassis de voyous des bandits » sans foi ni loi voleurs violeurs tueurs sur des bases tribale raciale car ils ont le racisme le tribaliste incrustés dans leurs gènes 2)des « enfants ingrats égoïstes paresseux impénitents assistés permanents du Mali » qui ne veulent pas travailler à la sueur de leur front car ils ont la paresse incrustée dans leurs gènes 3)des « collabos » qui s’allient et qui sont prêts à s’allier avec n’importe qui n’importe quel pays et même avec Satan pourvue qu’on leur promette l’assistance la pitance gratuite jusqu’à leur mort Nous disons ainsi ils n’ont pas hésité à s’allier aux faux djihadistes faux islamistes suppôts de Satan Satan fait humain fidèles et adeptes de Dajal ou Antéchrist d’Aqmi Boko Haram Mujao et Consorts pour attaquer leur pays le Mali 4)des « mafiosi touaregs » ils sont issus des mêmes familles Nous disons ils veulent 1territoire pour s’adonner aux trafics de la drogue des armes aux proxénétismes et vivre des ristournes des bases militaires pour les missiles de moyenne et longue portée de l’exploitation du gaz du pétrole de l’uranium de la zone revendiquée qu’ils auraient cédé à certains pays ou groupe de personnes Nous disons que les pays et les personnes avec lesquels cette mafia touareg sont en deal feront tout pour avoir gain de cause Nous disons que tous ces pays et personnes savent que ces criminels ne constituent qu’1 groupe minoritaire des touaregs maliens travailleurs et qu’il n’y a ni discrimination ni stigmatisation de touaregs et arabes au Mali Nous disons les touaregs arabes les autres races et ethnies vivent au centre au sud à l’ouest à l’est au nord du Mali tranquillement en parfaite harmonie Nous disons que tout le monde sait avec 1brin d’honnêteté que les touaregs n’ont point été ne sont point et ne seront pas les 1ers occupants de la zone revendiquée en sommes ils ne sont pas les autochtones Nous disons mais en bons «mafiosi» ces MNLA veulent par force avoir ce «territoire» Nous disons qu’il est temps donc que cette impunité au nom d’1 soit disant réconciliation cessent et que ces « ramassis de voyous de bandits sans foi ni loi d’enfants ingrats égoïstes paresseux impénitents assistés permanents mafiosi de collabos » de MNLA soient mis hors d’état de nuire comme cela s’est passé se passe et se passera partout dans le monde

VOILA LE GARS QUI VA NOUS SORTIR DE LA MERDE UN GENIE !!! Cissé Un politique de haut niveau, la tête bien pleine, avec qui il faudra compter pour le futur L'actuel président de la Commission de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa*) est un homme politique malien qui fera sûrement encore parler de lui dans son pays natal, une fois quittées ses responsabilités internationales qui le mobilisent à Ouagadougou où siège l'Uemoa. Question "bagages intellectuels", Soumaïla Cissé n'en manque pas. Bachelier "S" en 1968, il part poursuivre ses études à l'université de Dakar d'où il sort en 1972 avec le diplôme universitaire d'Etudes scientifiques. Puis, parcours obligé pour tout étudiant africain dans les années 70, c'est le départ pour la France. A Grenoble d'abord, où il obtient en 1974 une licence de mathématiques appliquées. En 1976, à Montpellier cette fois, où il obtient une Maîtrise des méthodes informatiques appliquées à la gestion (MIAGE) et sort major de sa pro

Je comprends les emotions implique'es et les methodes que les uns et les autres proposent mais je prefere oublier lesdites emotions afin de mettre l'accent sur la fonctionnalite' en fonction des deux buts principaux suivants que je pense etre les plus importants: 1- Le respect de l'integrite' territoriale du Mali 2- Preserver la paix, la securite', l'unite' et la laicite' de sa republique. JE VEUX DES CHOIX STRATEGIQUES MEME S'ILS FACHENT!

Aujourd'hui, l'esprit d'assiste' est devenu notre caractere dominant. Certains parmi nous pensent que ce sont les autres qui doivent faire tout pour nous. Nous faisons face a' une disconnexion inquietante des actions entreprises pour ramener la paix et la securite' au Mali. La France veut quitter le desert. La CEDEAO dit que ses soldats sont prets mais certaines puissances disent le contraire. Le Tchad veut l'argent et le commandement. Les pays du champ qui doivent etre les premiers concerne's, jouent le second role. Nous pouvons parler de "strategies" de saupoudrage constitue'es de catalogues de plans, mal evalue'es et non hierarchise'es. Nous reconnaissons que l'aide etrangere a en elle une limite structurelle de taille car elle est generalement assortie de condition severe. Pouvons-nous blamer les bailleurs de fonds sachant que plusieurs de nos cadres nationaux gerent d'abord et avant tout leurs interets personnels au detriment de ceux de l'etat? (a' suivre)

La precarite' de la situation, la faiblesse de nos moyens nationaux pour sortir de l'impasse et les nombreuses interventions etrangeres me font dire que l'action militaire de la France etait importante mais le probleme est reste' entier. Aujourd'hui les clivages persistent et l'espoir regresse. Ce constat d'une situation qui s'oriente vers une nouvelle instabilite' grandissante aux consequences incalculables, doit imposer le dialogue et les negociations qui aboutiront a' une autonomie de gestion pour la region nord. C'est frappant de voir 1000 etats, 1000 presidents et 1000 institutions internationales avec 1000 solutions pour le Mali, comme si les maliennes et les maliens ne sont plus capables de penser et trouver des solutions a' leurs propres problemes. Il importe cependant, de savoir si ces pays, ces presidents et ces institutions sont guide's dans leur geste par un souci de paix, de generosite' et d'amitie ou par celui de la domination et/ou de la partition du Mali. (a' suivre)