Mali: sept ministres quittent le nouveau gouvernement
Le nouveau gouvernement malien a été nommé samedi par le président Ibrahim Boubacar Keïta et se caractérise par le départ de sept ministres, dont ceux de la Défense, de l'Economie et de la Communication.
Le nouveau gouvernement malien a été nommé samedi par le président Ibrahim Boubacar Keïta et se caractérise par le départ de sept ministres, dont ceux de la Défense, de l'Economie et de la Communication.
Le nouveau gouvernement, qui compte 29 membres, outre le Premier ministre, contre 31 dans le précédent, "a pour principale tâche de relever les défis. C'est un gouvernement de combat, mais aussi une équipe qui doit faire du retour de la paix au Nord sa priorité", a expliqué un proche collaborateur du chef de l'Etat.
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Passation de service à la Primature entre Moussa Mara et Modibo Kéïta[/caption]
Les ministres de l'Industrie, de l'Education nationale et de la Communication, quittent le gouverement. Le nouveau Premier ministre, Modibo Keïta, était jusqu'alors "haut représentant" du président pour les pourparlers de paix lancés en juillet à Alger entre le gouvernement et les groupes armés du nord du pays.
Selon un décret publié dans la nuit de samedi à dimanche par la présidence, Tiéman Hubert Coulibaly, précédemment ministre des Domaines de l'Etat, des Affaires foncières et du Patrimoine, hérite dans la nouvelle équipe de l'important portefeuille de la Défense et des Anciens combattants.
Un banquier, Mamadou Igor Diarra, devient ministre de l'Economie et des Finances, alors que le portefeuille de l'Economie numérique et de la Communication est confié au chef d'un parti de la majorité présidentielle, Choguel Kokala Maïga.
Passation de service à la Primature entre Moussa Mara et Modibo Kéïta[/caption]
Les ministres de l'Industrie, de l'Education nationale et de la Communication, quittent le gouverement. Le nouveau Premier ministre, Modibo Keïta, était jusqu'alors "haut représentant" du président pour les pourparlers de paix lancés en juillet à Alger entre le gouvernement et les groupes armés du nord du pays.
Selon un décret publié dans la nuit de samedi à dimanche par la présidence, Tiéman Hubert Coulibaly, précédemment ministre des Domaines de l'Etat, des Affaires foncières et du Patrimoine, hérite dans la nouvelle équipe de l'important portefeuille de la Défense et des Anciens combattants.
Un banquier, Mamadou Igor Diarra, devient ministre de l'Economie et des Finances, alors que le portefeuille de l'Economie numérique et de la Communication est confié au chef d'un parti de la majorité présidentielle, Choguel Kokala Maïga.
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KOUYATEPOUR LES SORTANTS C'EST LA DESCENTE AUX ENFERS ET POUR LES ENTRANTS LE POSTE DE MINISTRE EST MIEUX QUE RIEN SURTOUT POUR DRAMANE DEMBELE ET CHOGUEL MAIGA ON POURRA AMORTIR LES FRAIS DE LA CAMPAGNE PRESIDENTIELLE -
Observateur100L'horizon est toujours sombre pour les maliens avec un Président désemparé aux abois dans sa gouvernance.
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L'observateurIBK se fout vraiment de ce peuple meurtri. Il a attendu le moment opportun pour procéder au partage du gâteau. Pourquoi à présent faire appel à Dramane Dembélé et Choguel?. L'un des ministres le plus médiocre qui donne de surcroît des fausses statistiques de création d'emplois au Président dans ses discours officiels se voit renforcer en lui ajoutant le portefeuille de la jeunesse. Les jeunes et les femmes sous représentés. Quels ont été les critères qui ont prévalu dans le choix de ces ministres?. Pour le cas de Igor, je préfère me réserver, et je reste perplexe car ce n'est pas qu'on a été bon banquier, qu'on devient forcément bon ministre de l'économie et des finances sans compter le lot de vengeance en perspective avec son mentor Daffé dont il devient le ministre de tutelle. Le Président doit à avoir à l'esprit que les finances publiques sont différentes des finances privées. Je propose désormais aux Maliens d'exiger aux différents candidats à la présidentielle au moment qu'ils demandent leur suffrage de laisser entrevoir les profils de leur premier ministre et surtout des ministres qui vont occuper des portefeuilles stratégiques comme la justice, la défense, l'économie et les finances, l'emploi pour éviter des erreurs du genre. Un tiéman Hubert aux commandes de la défense, c'est bonjour les dégâts. IBK Allah Ka I sara.
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jesuspeu de changement
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Le General de Corps d''Armee Amadou Haya Sanogo1filsdumaliba, JE COMPREND VOTRE REACTION A' MON POST! Des fois, nous ne pretons pas attention aux petits details qui sont...IMPORTANTS! La population malienne est plus feminine que masculine avec peu plus de 7 millions pour nos meres, nos soeurs et nos filles contre un peu moins de 7 millions pour nos peres, nos freres et nos fils. ELLES SONT DONC PLUS DE 50% DE LA POPULATION TOTALE MAIS AU SEIN DU GOUVERNEMENT ELLES SONT 3 SUR 29. (10% du gouvernement)!!!! J'espere de tout mon coeur qu'IBK et son PM trouveront les voies et les moyens pour corriger cette irregularite'!!! LE MALI DOIT AVOIR UNE LOI QUI EXIGERA 50% DES POSTES MINISTERIELS POUR LES FEMMES COMME AU SENEGAL VOISIN!!!
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nfpCapi "LE MALI DOIT AVOIR UNE LOI QUI EXIGERA 50% DES POSTES MINISTERIELS POUR LES FEMMES" Très franchement, je suis entièrement d'accord avec ton souci féministe de non-discrimination, et JE LE PARTAGE ENTIEREMENT! :wink: :wink: En revanche, là où nos vues divergent, c'est qu'en matière de politique, de gestion d'un pays, et donc de postes ministériels, je suis pour ma part convaincu que SEUL le niveau de compétence doit entrer en ligne de compte! Homme ou femme, peu importe; La COMPETENCE doit être le seul et unique critère! Cette histoire de parité 50/50 ne me paraît pas souhaitable du tout en politique. Qu'un gouvernement soit 100% masculin ou à l'inverse 100% féminin ne me parait important en soi; Ce qui est important, c'est qu'il soit constitué de 100% de ministres compétents quel que soit leur sexe! Ceci dit, ton point de vue sur la place qu'on doit réserver aux femmes est un point de vue résolument moderne qui t'honore! :wink: Bravo.
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Mahamane Ousmane ToureIL YA PEU DE CONCRET dans les processus et des prises des décisions de nos gouvernants, chacun veut jeter la responsabilité à l'autre, personne n'est décisionnaire a son actes, alors dans ce genre de gouvernance, il n'y aura jamais du sérieux . IL FAUT QUE l'homme soit l'homme.
