Célébration du 08 Mars 2014 : Message du Président de la République aux femmes du Mali
7 Mar 2014 - 21:07
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Le chef d’Etat présente ses vœux pour 2014[/caption]

La communauté Internationale célèbre, ce 08 mars 2014, la 20ème Edition de la Journée Internationale de la Femme dont le thème, cette année, est : « Paix et Réconciliation : Défis et enjeux pour une autonomisation accrue des femmes ».
En cette heureuse occasion, je voudrais magnifier le combat héroïque des pionnières qui, aux côtés des pères de l’Indépendance, se sont battues avec opiniâtreté pour la reconnaissance des droits élémentaires de la personne humaine. Par la même occasion, il me plaît de rendre un chaleureux et vibrant hommage aux Maliennes des campagnes et des villes pour leur contribution inestimable à l’effort de développement de notre pays. Au moment où notre pays émerge de la nuit noire de l’obscurantisme, par la grâce de Dieu, de nos amis et de notre volonté inébranlable à défendre notre souveraineté, comment ne pas dire notre admiration face au combat de nos mères, sœurs, épouses et filles qui ont affronté, parfois à mains nues, les hordes de barbares et de narcotrafiquants dont le seul dessein était de détruire notre pays ! Comment ne pas saluer l’engagement et la mobilisation des millions de nos concitoyennes qui ont, dans une très large mesure, porté à bout de bras le processus électoral qui a consacré le retour définitif de notre pays au sein de la communauté internationale ! Comment ne pas féliciter toutes celles qui ont conquis la représentation nationale aux termes d’élections régulières, et ne pas encourager les autres qui s’apprêtent à participer aux prochaines joutes ! Dans cette phase post-conflit où nos efforts individuels et collectifs doivent tendre à reconstruire le tissu national mis à mal, je veux vous dire toute ma fierté de vous compter à nos côtés pour l’aboutissement des vastes chantiers que nous avons entamés. Enfin, je voudrais joindre ma voix à celles déjà très nombreuses au Mali, en Afrique et à travers le monde, pour féliciter notre sœur, Mme Fatimata TOURE, qui a reçu cette semaine même, des mains de Mme Michelle Obama, Première Dame des Etats-Unis d’Amérique, le Prix International des Femmes de Courage 2014. Bonne fête du 08 mars aux Femmes du Mali, d’Afrique et du Monde. Koulouba, le 07 Mars 2014 Ibrahim Boubacar KEITA Président de la RépubliqueQuelle est votre réaction ?







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Le Genral Sanogo en repos de semainesLe President IBK peut garder ses voeux pour kui meme! Ce sont des actes concrets que les femmes maliennes attendent de lui!!! Rien qu'en regardant le nombre de femmes au gouvernement et au Parlement, on sait que l'actuel regime est encore tres loin de l'emancipation des femmes maliennes!!! QU'IBK FASSE COMME LE SENEGAL EN FAISANT PASSER UNE LOI QUI EXIGERA QUE LA MOITIE' DU GOUVERNEMENT MALIEN SOIT COMPOSE'E DE FEMMES!!! TOUT LE RESTE N'EST QU'UN DISCOURS VIDE DONT LES FEMMES MALIENNES N'ONT PAS BESOIN!!!11 ansRépondreLike (0)
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ibeFrance : ne Touche pas à mon code. Aujourd’hui, si un évènement social, et politique défraie la chronique et qui mérité qu’on s’y arrête et qu’on y réfléchisse très sérieusement, c’est bien la résurgence et la stigmatisation du code malien. Nous nous demandons au nom de quel impératif d’urgence s’imposait aujourd’hui cette levée de bouclier contre un code déjà promulgué et qui n’attend que son décret d’application. D’abord, Najat Vallaud-Belkacem, ministre française des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement, a fait une visite au Mali du 27 au 28 février, après avoir rencontré le président Ibrahim Boubacar Keïta, son homologue malien Oumou Ba. a fait une déclaration qui a fait tressaillir la Communauté musulmane du Mali. Pour la ministre française des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, le temps est aujourd’hui venu de revenir sur ce texte. « Ce moment précis de l’histoire du Mali, de reconstruction, un moment inédit est le moment idoine pour se renforcer en ce qui concerne la promotion des droits des femmes, a affirmé la ministre. Et donc, les temps qui vont venir vont être des temps utiles pour justement porter un certain nombre de sujets qui ont pu être considérés aujourd’hui comme insatisfaisants par les défenseurs des droits des femmes, comme le code de la famille ». En ce début du mois de Mars ou une journée est dédiée mondialement à la femme, une délégation suédois après une séance de travail avec les députés malien revient sur le même texte : le code, comme si le Mali va de charybde en scylla. Les conditions des aides occidentales pour le Mali en reconstruction englobe-t-elles aussi la colonisation sociale et culturelle ? Pourquoi vouloir nous exiger un « code made Europe» comme condition d’aide ? Parce que le nouveau code de la famille, adopté le 2 décembre 2011 par l’Assemblée nationale malienne, est perçu comme une déception pour l’occident et ses marionnettes, mués en défenseurs des droits des femmes. Le texte final adopté a supprimé et modifié les articles jugés, par le Maitre et ses sbires comme progressistes en faveur notamment des femmes. Dans leur entendement, le texte promulgué en 2012 a été épuré de tous les droits nouveaux qu’une première version avait d’abord envisagé d’accorder aux femmes. Par rapport à l'ancien texte et parmi les points les plus litigieux, figure l’âge du mariage chez la femme qui est passé à 16 ans contre 18 dans l’ancien texte. L’homme est consacré comme unique chef de famille contrairement à l’ancien texte qui avait remplacé cette « puissance paternelle » par une « autorité parentale » qui, pour beaucoup, consacrait l’égalité hommes/femmes. En ce qui concerne les questions relatives à la succession et au divorce, et puisque l’autorité parentale n’a pas été retenue, c’est désormais le chef de famille qui règle la question de manière coutumière ou par le droit civique en établissant un testament. Autre modification, la femme doit obéissance à son époux. Dans l’ancien texte, le terme « obéissance » avait disparu. Le mariage religieux, célébré dans les mosquées, est désormais légalisé. Dans le précédent texte, les députés maliens avaient rejeté la légalisation du mariage religieux après avoir déduit qu’il ne garantissait pas tous les droits de la femme. Le ridicule ne tue plus. Le seul crime commis par le législateur malien est la référence à nos valeurs sociétales et religieuses normatives au détriment de leur fameux droit de l’homme. Le Mali ; n’a pas de leçon de conduite sociale à recevoir de ces pays dont les point considérés comme avancées est rabaissement et honte chez nous. D’ailleurs, le Mali a-t-il de leçons de conduite sociale à recevoir d’un pays comme la France surtout, dont la célébration du1er mariage homosexuel, cette inversion des valeurs sociétales, est considérée comme une avancée avec de titres et expressions choques entre autres : « Historique ! », « Bruno et Vincent en justes noces », « le premier mariage gay en Loire-Atlantique », « l’institution du mariage vit une belle étape et symbolise l’égalité entre humains », « Après ce premier mariage homosexuel de l’histoire de France, on a le sentiment que cette loi sociétale, qui a divisé, restera comme un temps fort du quinquennat de François Hollande », et que sais-je encore ? Voila encore que chez les donneurs de leçons de conduite sociale, la notion de droit de l’homme vient de franchir le Rubicon de l’indécence avec une union contre nature, évitée même par les animaux qui au moins vivent en couple mâle-femelle. Avec les droits de l’homme, la sexualité bestiale et débridée devient la norme, et les valeurs sociétales normatives et morales comme obsolètes. Quel code de famille veut-on nous imposer comme condition d’aide ? Un code copie-conforme-certifié du modèle occidental? Nous rejetterons tout code d’inspiration et d’émanations étrangères, et nous sommes résolus au sacrifice ultime pour cela. Quant aux soit disant organisations de droits des femmes, ces11 ansRépondreLike (0)
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bableni[POLITIQUE] 14 PAYS AFRICAINS TOUJOURS CONTRAINTS PAR LA FRANCE À PAYER L’IMPÔT COLONIAL Posté le 23 février 2014 par NegroNews dans POLITIQUE avec 20 commentaires Le saviez-vous? Aujourd’hui encore, beaucoup de pays africains continuent de payer un impôt colonial en France, et ce malgré l’indépendance ! Lorsque Sékou Touré de Guinée décida en 1958 de sortir de l’empire colonial français, et opta alors pour l’indépendance du pays, l’élite coloniale française à Paris était s’est indignée, et dans un acte de fureur historique, demanda à son administration alors en place en Guinée de détruire, dans tout le pays, ce qui représentait, à leur yeux, les avantages de la colonisation française. Trois mille Français quittèrent le pays, en prenant tous leurs biens et détruisant tout ce qui ne pouvait être déplacé: les écoles, les crèches, les bâtiments de l’administration publique furent détruits, les voitures, les livres, les médicaments, les instruments de l’institut de recherche, les tracteurs ont été écrasés et sabotés; les chevaux, les vaches dans les fermes ont été tués, et les nourritures entreposées furent brûlées ou empoisonnée. Le but de cet acte scandaleux était bien évidemment, d’envoyer un message clair à tous les autres colonies sur les conséquences du rejet de la France. Le fait est que peu à peu, la peur s’empara des Élites Africaines, et après ces événements aucun autre pays ne trouva jamais le courage de suivre l’exemple de Sékou Touré, dont le slogan était “Nous préférons la liberté dans la pauvreté à l’opulence dans l’esclavage”. Pour les pays nouvellement indépendant il fallut trouver des compromis avec la France. Sylvanus Olympio, le premier président de la République du Togo, un petit pays d’ Afrique de l’Ouest, trouva une solution susceptible de calmer les Français : Ne voulant pas continuer à subir une domination française, il refusa de signer le pacte colonisation proposé par De Gaule, mais accepta en contrepartie de payer une dette annuelle à la France pour les soi-disant avantages obtenus lors de la colonisation française. Ce furent les seules conditions de la France pour ne pas détruire le pays avant de partir. Toutefois, le montant estimé par la France était si grand que le remboursement de la soi-disant « dette coloniale » était proche de 40 % du budget du pays en 1963. Dès lors, la situation financière du Togo tout juste indépendant fut très instable, et afin de se sortir de cette situation, Olympio décida de sortir du système monétaire mis en place par la France coloniale le FCFA ( franc des colonies françaises d’Afrique ), et créa la monnaie du pays. Le 13 Janvier 1963, trois jours après , qu’il ai commencé à imprimer les nouveaux billets, une escouade de soldats (soutenus par la France) s’empara et tua le premier président élu de l’Afrique indépendante : Olympio fut exécuté par un ex Légionnaire français, le sergent de l’armée Etienne Gnassingbé qui, au passage, reçu à ce moment une prime de 612 dollars de l’ambassade française locale pour le succès de sa mission. Le rêve de Olympio était de construire un pays indépendant et autonome. Mais l’idée ne correspondait pas aux volontés françaises. Le 30 Juin 1962, Modiba Keita, le premier président de la République du Mali , décida également de se retirer du système monétaire FCFA ( imposé à 12 pays africains nouvellement indépendants ). En effet, pour le président malien, qui se penchait plus vers une économie socialiste, il était clair que la colonisation qui perdurait avec ce pacte avec la France, devenait un piège, un fardeau pour le développement du pays. Le 19 Novembre 1968, comme, Olympio, Keita sera victime d’ un coup d’état menée par un autre ex légionnaire français des Affaires étrangères, le lieutenant Moussa Traoré. De fait, durant cette période turbulente où l’Afrique combattait à se libérer du joug de la colonisation européenne, la France usera à nombreuse reprises de mercenaire anciennement affiliés à la légion étrangère pour réaliser des opérations coup de poings contre les présidents nouvellement élus : Au 1er Janvier 1966, Jean- Bedel Bokassa, ex légionnaire français, portait un coup d’état contre David Dacko, le premier président de la République centrafricaine. Le 3 Janvier 1966, Maurice Yaméogo, le premier président de la République de Haute-Volta, aujourd’hui appelé Burkina Faso, a été victime d’un coup porté par Aboubacar Sangoulé Lamizana, un ex légionnaire français qui a combattu avec les troupes françaises en Indonésie et en Algérie contre ces pays l’indépendance Le 26 Octobre 1972 Mathieu Kérékou qui était un garde de sécurité au président Hubert Maga, le premier président de la République du Bénin, a porté un coup d’état contre le président, après avoir fréquenté les écoles militaires françaises de 1968 à 1970. En fait , au cours des 50 dernières années, un total de 67 coups état qui se sont passés dans 26 pays en Afrique, 16 de ces pays sont des ex- co11 ansRépondreLike (0)
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BougobaliniC'est tout simplement SCANDALEUX pour l'Afrique :( 8-O :cry: . Quelle honte!!!11 ansLike (0)
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1FILSDUMALIBABonne fête pour la journée internationale des femmes partout dans le monde.11 ansRépondreLike (0)
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1FILSDUMALIBAVotre lutte doit continuer de plus belle.11 ansLike (0)
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cocoA LIRE ABSOLUMENT : http://journallesphynxmali.com/index.php?option=com_content&view=article&id=622:confidences-et-breves-enigme-du-sphinx-connaissez-vous-ce-monsieur-de-la-federation-malienne-de-football-expert-en-trafic-dinfluence-et-escroc-patente-pour-vous-aider-a-resoudre-lenigme-quelques-indices-il-nest-pas-un-membre-du-comite-executif-enc&catid=3:enquete&Itemid=60 ........ce n'est pas fini ..... :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink:11 ansRépondreLike (0)