Candidature de Dioncounda Traoré : La peur d’un cheval de Troie à l’ADEMA

La journée du mercredi a été houleuse au siège de l’Adema dont les barons étaient réunis pour parler de la désignation d’un candidat à l’élection présidentielle de 2018. Certains étaient venus avec la proposition de choisir l’ancien président de la République Dioncounda Traoré. Mais cette proposition n’a pas fait l’unanimité, surtout qu’elle n’a été soutenue que par 11 membres du Comité exécutif (CE) contre 36.
Ces 36 membres du C.E. Adema évoquent plusieurs raisons à leur refus d’entériner de facto la proposition de faire de l’ancien chef d’Etat leur candidat à la prochaine présidentielle. D’abord, ils estiment que le principal concerné a toujours déclaré qu’il n’est pas intéressé, même si la section de Nara l’a proposé tout récemment. Le candidat lui-même évoque son âge avancé comme handicap à sa candidature.
La réunion du mercredi était censée mettre fin au débat sur le choix du candidat du parti de l’abeille, mais un autre argument développé par les 36 membres du C.E. est que les textes doivent être respectés. En effet, Dioncouda était le seul choix alors qu’il y a d’autres prétendants ne serait-ce que Kalfa Sanogo et Dramane Dembelé. Tous les deux peuvent compter sur des sections qui les ont proposés.
Mais ce qui a surtout bloqué les choses mercredi dernier, c’est que la candidature de Dioncouda Traoré est perçue comme un cheval de Troie. Des militants jurent que c’est un stratagème conçu pour rejoindre la candidature du président IBK. «Si l’Adema choisit Dioncouda et que plus tard ce dernier décline l’offre à la dernière minute, que va-t-il se passer ? Ils vont dire qu’il faut se rabattre sur IBK », analyse Sambou Sissoko, un observateur du sujet.
Soumaila T. Diarra
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Nord-SudChevaux de Troie spécialité des haras de "pur sang"6 ansRépondreLike (0)
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TOURENous ne sommes opposés à aucune candidature, mais, Dioncounda devar avant expliquer aux Maliens la destination des fonds de soutien pour l'effort de guerre consacrés par des pays amis comme la Guinée Équatoriale, le Gabon et l'Angola. Plus de huit milliards en carburant et en espèces ont disparu entre sa fille, son Ministre un certain Sy selon le rapport des Guinéens et Gabonais eux-mêmes, on en sait moins pour l'Angola. Puis, les fonds récoltés au Qatar lorsqu'il y est allé pour protester contre le fait que des avions Qatari transportaient des djihadistes vers le Nord-Mali pendant l'occupation. A présent, ni le gouvernement, ni le Haut Conseil Islamique n'ont eu droit à un compte rendu de Dioncounda sur les faits précités. Et, c'est encore ce voleur que l'Adema veut imposer aux militants de leur parti? Soit, mais il devra d'abord rendre aux Maliens ce qu'il leur a volé. Décidément ce parti est devenu du n'importe quoi. Aux élections passées, ils mis de côté des candidats sérieux comme Boubèye et autres pour aller nous sortir Ali Baba et les quarante voleurs, Arsène Lupin des temps modernes, ce Dramane Dembélé qui, en seulement deux ans au Gouvernement, a piqué tout ce qui lui tombait sous la main. Malgré les milliards volés, il ne semble pas rassasié encore. Dès le départ, on savait que l'Adema était traversé par plusieurs courants, ce qui explique son démembrement continu. Les socialistes, les libéraux et les centristes qui composaient l'Adema ont tous regagné leur camarades d'idéologie. Ne reste à l'Adema que ceux qui croyaient que la cohésion allait prévaloir malgré la haute trahison d'Alpha Oumar Konaré qui à leur détriment est allé soutenir ATT. Depuis, ce parti n'a pas retrouvé ses marques. Autant réunifier ce parti en ramenant tous ceux qui sont partis. Ce qui est plus facile à dire qu'à faire. Mais, dans tous les cas de figure, pas Dioncounda en tous cas. Il préfère lui-même profiter tranquillement de l'argent volé en se la coulant douce avant d'être rattrapé par la justice au terme des enquêtes qui se poursuivent sur les affaires dont il est accusé. Démbélé, avec tout l'argent volé lui aussi, pourra bien créer un parti et aller seul aux élections pour engranger quelques points lui permettant de se faire une place dans un futur gouvernement et ensuite chercher à avoir quelques députés aux législatives. Décidément, l'avenir semble bouché pour ce parti. N'eut été la trahison de l'ancien président Alpha, l'Adema serait encore au pouvoir. Il n'y avaient pas que des minables voleurs comme IBK, Dioncounda ou Dembélé dans ce parti, ils étaient nombreux ceux qui pouvaient pérenniser le pouvoir Adema. Mais par égocentrisme, ils préfèrent toujours les minables pour les diriger, et ça, c'est une malédiction pour tout grand parti avec de nombreux courants en son sein.7 ansRépondreLike (0)
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Tous coupablesQue. ca soit jean ou paul, ca reste une mafia de l international socialisme malien et de la france afric, un réseau sous milles couleurs, et milles visages qui a mis se pays au plus bas de son histoire. Jusqu'à a la tutelle des nations unies. C est des incompétents tout simplement. Demain on va nous parlé des amis de x et y et du reste de la cosa nostra malien. De alpha a ibk7 ansRépondreLike (0)
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1FILSDUMALIBAEcoutez, nous n'avons pas besoin de ces vieux poltrons que nous voyons sur notre politique depuis plus de 25 ans. Car depuis AOK a IBK aujourdhui en passant par ATT, ca n'a ete que des deceptions, des reculs, des merdes etc...pour le Maliba. Pendant tous ces temps tous ces vampires,m escrocs, requins, crocodiles et coyotes ont ete places pour que Nous, Tous et Toutes, Aillons une meilleure vie, de la securite, de l'emergence, de la justice equitable et j'en passe mais jamais rien de ceux la ne se sont realises. Alors jetons tous ces vampires a nos depotoirs a merdes et faisons du Renouveau, amenons des gens (hommes et femmes) qui sont prets a changer le Maliba envers de bonnes directions, de bonnes justices, de meilleur bien etre et d'ameliorer nos systemes de sante et scolaire. Voila.........7 ansRépondreLike (0)
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BamakéPour répondre à Djo Bréh; ” … Ce Dioncounda, comme son prénom l’indique , il doit être un DION ( un esclave). Dion (Esclave) Counda(Chez) , chez les ESCLAVES donc ! il est donc capable de tout ! … ” … /// … : Toi, tu es surement un citadin. Quelqu’un de la ville, qui connaît peut-être pas l’arrière pays. Des Citadins peuvent être bardés de diplômes d’Universités ou de Grandes Ecoles les plus célèbres et avoir moins de culture générale dans la connaissance des traditions Africaines qu’un Griot ou autre Niamakala analphabète ( c’est à dire qui n’est pas allé à l’école Française, Anglophone ou Arabe )… Renseigne-toi bien. Tu peux être un horon et t’appeler Dioncounda ou noumouké. C’est juste un prénom. ( L’exemple que je prends est impersonnel, il ne s’agit pas de toi, je ne te connais pas ). En zones rurales, un père de famille qui serait ami avec un forgeron, peut donner le prénom de cet ami à son fils. Si le forgeron s’appelle Makan et qu’il y a d’autres Makan dans le village. Pour faire le distinguo entre ces Makan, on peut en appeler Makan-le-forgeron, ou Makan-Noumouké. Et plus tard, il peut arriver que le petit-fils de Makan-Noumouké, prenne tout simplement le prénom de ” Noumouké ” tout court, alors qu’il est fils de horon. C’est très courant en zones rurales. Tu peux être un horon et t’appeler Djély-Moussa. Parce que on t’aura donné le prénom de quelqu’un qui est Djély ( Griot ). Ton explication sur le prénom de Dioncounda est erronée. Le Mot horon viendrait de l’arabe, désignant les nobles. Nos nobles étaient désignés par ” Nianci ” . En Bambara, pardon pour la traduction… ” mogho mounou nian nindo “. Ou la race des gens nobles… ! Esclave, c’est pas une race. Ce n’est pas donné à tout le monde d’être esclave. Esclave c’est un prisonnier de guerre dans l’ancien temps. Ce n’est pas donné à tout le monde d’être prisonnier de guerre… C’est il n’est pas donné à tout monde de faire la guerre, d’être soldat…7 ansRépondreLike (0)
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BamakéPour répondre àDjo Bréh; " ... Ce Dioncounda, comme son prénom l’indique , il doit être un DION ( un esclave). Dion (Esclave) Counda(Chez) , chez les ESCLAVES donc ! il est donc capable de tout ! ... " ... /// ... : Toi, tu es surement un citadin. Quelqu’un de la ville, qui connaît peut-être pas l’arrière pays. Des Citadins peuvent être bardés de diplômes d’Universités ou de Grandes Ecoles les plus célèbres et avoir moins de culture générale dans la connaissance des traditions Africaines qu’un Griot ou autre Niamakala analphabète ( c’est à dire qui n’est pas allé à l’école Française, Anglophone ou Arabe )… Renseigne-toi bien. Tu peux être un horon et t’appeler Dioncounda ou noumouké. C’est juste un prénom. ( L’exemple que je prends est impersonnel, il ne s’agit pas de toi, je ne te connais pas ). En zones rurales, un père de famille qui serait ami avec un forgeron, peut donner le prénom de cet ami à son fils. Si le forgeron s’appelle Makan et qu’il y a d’autres Makan dans le village. Pour faire le distinguo entre ces Makan, on peut en appeler Makan-le-forgeron, ou Makan-Noumouké. Et plus tard, il peut arriver que le petit-fils de Makan-Noumouké, prenne tout simplement le prénom de ” Noumouké ” tout court, alors qu’il est fils de horon. C’est très courant en zones rurales. Tu peux être un horon et t’appeler Djély-Moussa. Parce que on t’aura donné le prénom de quelqu’un qui est Djély ( Griot ). Ton explication sur le prénom de Dioncounda est erronée. Le Mot horon viendrait de l’arabe, désignant les nobles. Nos nobles étaient désignés par ” Nianci ” . En Bambara, pardon pour la traduction… ” mogho mounou nian nindo “. Ou la race des gens nobles… ! Esclave, c’est pas une race. Ce n’est pas donné à tout le monde d’être esclave. Esclave c’est un prisonnier de guerre dans l’ancien temps. Ce n’est pas donné à tout le monde d’être prisonnier de guerre… C’est il n’est pas donné à tout monde de faire la guerre, d’être soldat…7 ansRépondreLike (0)