Affaire des bérets rouges disparus : Le parquet demande le non lieu pour les généraux Yamoussa Camara, Dahirou Dembélé et Sidi Touré

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Les généraux , Yamoussa Camara, Dahirou Dembélé, Sidi Touré
Les généraux , Yamoussa Camara, Dahirou Dembélé, Sidi Touré Photo montage maliweb.net

L’affaire des bérets rouges (commandos parachutistes de Djikoroni) assassinés se dirige vers son épilogue. Après ses investigations, le juge du 2ème cabinet d’instruction de la commune 3 de Bamako, Yaya Karembé, a rendu une ordonnance qui retient la quasi-totalité  des hauts gradés déférés devant lui dans les liens de la prévention. Sur appel des parties en cause, l’ordonnance a été transmise à la Chambre d’Accusation de la Cour d’Appel de Bamako, seule compétente pour dire s’il existe des charges, c’est-à-dire des indices et reproches  suffisants pour être renvoyés en jugement devant la Cour d’Assises. Les débats de la Chambre d’Accusation ont eu lieu le mardi 24 novembre 2015 à huis clos. Ils ont été assez éclairants.

 

Non lieu requis pour trois généraux

Sangho, le représentant du procureur général, a demandé le non lieu pour des personnages importants: le général Ibrahim Dahirou Dembélé, chef d’état-major général des armées au moment des faits; le général Yamoussa Camara, ministre de la Défense au moment des faits, et le général Sidi Alassane Touré, patron de la Sécurité d’Etat (services secrets) à la même époque. “On se dirige vers un non lieu au profit de ces trois inculpés puisque le parquet général, chargé par la loi de les poursuivre et de rechercher contre eux les preuves nécessaires, renonce aux poursuites”, commente un proche du dossier. Notre interlocuteur ajoute que le non lieu aura pour effet d’éteindre toutes poursuites contre les bénéficiaires qui, bien sûr, ne seront plus jugés ni maintenus en détention. “Vu l’extrême sensibilité de l’affaire, le parquet général, placé sous l’autorité du ministre de la Justice, n’aurait jamais requis le non lieu sans l’aval du pouvoir politique”, note notre source. Les trois généraux que le parquet cherche à blanchir de tout crime  étaient accusés d’avoir inclus les noms de bérets rouges dans la liste de militaires à déployer au nord alors que depuis longtemps, lesdits bérets rouges étaient morts!

Sanogo reste poursuivi

Restent donc dans les mailles de la justice le général Amadou Haya Sanogo et certains de ses compagnons tels que le capitaine Amadou Konaré et l’adjudant-chef Seyba Diarra, les deux cerveaux du putsch du 22 mars 2012. Il leur est reproché des faits d’assassinats et d’enlèvement de personnes. La Chambre d’Accusation rendra son verdict le 22 décembre 2015. Elle n’est pas juridiquement obligée de suivre les réquisitions du parquet mais, en général, elle le fait car c’est le parquet qui est la partie poursuivante principale, même si les parties civiles (parents de bérets de rouges) se joignent à son action.

Rappelons que courant le dossier a trait à 21 bérets rouges assassinés après le soulèvement, en avril 2012, de leur régiment contre la junte militaire de Sanogo qui, après le putsch du 22 mars 2012, régnait à Kati. La procédure, initiée sur plainte des parties civiles sous la Transition, a connu une évolution notable après l’avènement au pouvoir d’IBK qui a ordonné l’arrestation du général Sanogo et de plusieurs de ses compagnons d’armes.

 

Tiékorobani

CHRONIQUE SATIRIQUE: Ladji Bourama au pays des juges

Jeudi 26 novembre 2015 se tenait, à Bamako, la cérémonie de rentrée des cours et tribunaux. Comme d’habitude, elle était placée sous la présidence de Ladji Bourama qui, pour rien au monde, n’eût raté pareille fête. C’est, en effet, devant une assemblée du genre qu’il pouvait parler librement en latin et en grec avec quelque espoir de se faire entendre. Mais voilà: Ladji est venu avec deux heures de retard (excusez du peu!). Vêtu d’un abacost gris (sans le chapeau melon, cette fois-ci), le président de cérémonie était flanqué de deux hommes que vous ne soupçonneriez pas: le directeur de la Sécurité d’Etat, le général Moussa Diawara, et le chef d’Etat-major particilier, le général Oumar Daw alias Baron. Que venaient faire des généraux si loin du champ de bataille du  nord et du champ de ruines de l’hôtel RADISSON ? On ne le saura sans doute jamais. Mais on comprendra aisément qu’avec ces redoutables officiers dans sa compagnie, Ladji Bourama n’ait nullement songé à présenter des excuses pour son immense retard. Surtout que tout le haut de l’amphithéâtre était rempli d’hommes en grand uniforme militaire…

Comme si les terroristes devaient être recherchés en priorité parmi les avocats et les magistrats, ces derniers ont été, avant l’arrivée de Ladji Bourama, soumis à une minutieuse fouille de leur corps et de leurs bagages. Poches, sacoches, chaussures…tout fut passé au détecteur de métaux et au peigne fin. Il ne manquait plus au menu que des interrogatoires musclés suivis de gardes à vue ! Les mauvaises langues  s’amusent d’ailleurs à souligner que les forces de l’ordre avaient toujours observé un tel zèle, Bamako serait devenue une contrée aussi sûre que le Vatican où, jusqu’à présent, aucun attentat n’a été perpétré ni aucun projet d’attentat éventé.

Le décor étant ainsi planté, Ladji Bourama a expliqué, à grand renfort de subjonctif, qu’il a transmis 200 dossiers de corruption au pôle économique et qu’à ce jour, il attend la suite. En clair, à l’en croire, les juges traînent les pieds sans raison car il les met au défi de prouver toute interférence de sa part dans les procédures. Puisque personne n’a relevé le défi (quel juge aurait pris ce risque?), on peut donc croire Ladji Bourama sur parole. Sauf à souligner qu’aucun juge n’est assez sot pour vouloir placer sous mandat de dépôt un cadre qui, bien que soupçonné de délits divers, est nommé par Ladji lui-même ministre ou directeur général d’un machin. Comme quoi, s’il n’interfère pas directement dans les dossiers, Ladji Bourama sait adroitement indiquer aux juges enquêtes les sens interdits…Pour rappel, Ladji n’a-t-il pas déclaré un jour, à la télé, qu’il détenait des dossiers sur les opposants et que si ceux-ci continuaient à le persécuter, il les transmettrait à qui droit ? Et que “petit monsieur” irait fouiller dans les tiroirs du premier magistrat, s’il vous plaît ?

 

Tiékorobani

BANQUES: Vers une nouvelle grève illimitée ?

Après la grève observée du 25 au 27 novembre par le Syndicat des agents des banques et établissements financiers du Mali (SYNABEF), nous avons rencontré le porte-parole du SYNABEF, Aguibou Bouaré pour en savoir davantage. Pour M.Bouaré, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase syndical est l’affaire de Hamadoun Boré, responsable du service commercial et des caisses de la BICIM-SA. Un commerçant du nom de Mohamed Cissé est venu ouvrir un compte à la BCIM; il a  présenté à Hamadoun Boré son comptable auquel il a remis des chèques en blanc signés et destinés à être touchés en l’absence de Cissé qui dit voyager souvent. A l’aide de ces chèques, le comptable, Adama Traoré, a effectué des retraits d’argent. Peu après, Cissé se présente à la BICIM et demande son relevé de compte. Il conteste certaines opérations faites par son comptable au motif qu’il ne les a pas autorisées. La banque décline toute faute au regard de la loi sur les instruments de paiements. “La banque, avant de payer un chèque, s’est assuré des mentions obligatoires et de la conformité de la signature”, affirme Bouaré. Cissé dépose finalement plainte contre son comptable pour détournement de fonds.

 

Procédure étonnante

 

Le dossier est confié à un juge d’instruction qui convoque le banquier Boré afin de l’entendre comme témoin. A la grande surprise de Boré, le juge le place sous mandat de dépôt. “Comment un témoin peut-il tout à coup devenir accusé?”, se demande Bouaré. Le comble, c’est que le comptable Adama Traoré, accusé principal, est mis en liberté provisoire par le juge d’instruction alors que Boré est maintenu en prison. Le  syndicat des banques de la place décide d’en référer aux autorités politiques: elles ne lèvent pas le petit doigt.  Entre-temps, le juge d’instruction est dessaisi du dossier au profit d’un second qui accorde la liberté provisoire à Boré. Le second juge est, curieusement, lui aussi dessaisi du dossier qui atterrit chez un troisième juge d’instruction. Ce dernier, qui n’a même fini de lire le dossier, est lui aussi dessaisi au profit d’un quatrième! C’est alors que les syndicalistes se révoltent, estimant que la procédure judiciaire devient hautement suspecte.

 

Débrayage

 

Après une conférence de presse restée sans suite, les syndicalistes tiennent une Assemblée générale extraordinaire à l’issue de laquelle un préavis de grève de 72 heures est déposé le lundi 9 novembre 2015. C’est seulement le 24 septembre qu’une soi-disante commission de conciliation est mise en place, par le gouvernement. “Aux membres de la commission, nos doléances ont été soumises. L’inspecteur du travail, les représentants des ministères de la Justice et des Finances, tous nos interlocuteurs  ont fait savoir qu’ils n’avaient pas pouvoir décider de quoi que ce soit”, relate Bouaré. La  ministre de la Fonction Publique se déclarera également inapte à engager ses autres collègues ministres. “Nous avons fait savoir à la ministre que nous arrêterions immédiatement la grève au cas où une solution raisonnable nous était proposée; mais jusqu’à la fin de la grève, personne ne nous a officiellement proposé quoi que ce soit!”, s’insurge Bouaré.

Notre interlocuteur juge très satisfaisant le suivi de la grève puisque tous les guichets bancaires ont fermé. L’impact  sur l’économie nationale?  Bouaré préfère ne pas épiloguer là-dessus mais il reconnaît que cet la grève a causé à l’Etat un grand manque à gagner. “Nous avons  conscience des dommages nés de la grève mais nous nous avons tout fait pour éviter cette situation fort regrettable”, déplore le chef syndical qui dénonce l’inertie de l’Etat.

 

Perspectives

 

Que fera le syndicat si ses doléances, dont l’arrêt des poursuites contre Boré, ne sont pas satisfaites ? “Dans cette hypothèse, nous observerons une grève illimitée, car cette lutte est une question de survie pour les agents de banques, annonce Bouaré. Ce n’est pas de gaîté de cœur   que nous menons une grève; cette lutte s’inscrit dans la recherche de notre sécurité juridique et judiciaire. Les banquiers vivent de nos jours dans une terreur qui doit cesser!”.   Bouaré termine son propos en présentant les excuses des syndicats de banques à l’ensemble du peuple malien, particulièrement aux clients des différents banques et établissements financiers du Mali, pour les désagréments causés par la grève.Il souhaite que les futures négociations aboutissent.

 

Abdoulaye Koné

Commentaires via Facebook :

97 COMMENTAIRES

  1. Je me demande comment est faite de notre presse ? La presse malienne. Une presse qui ne porte aucun respect à son autorité, une presse qui se met contre son propre autorité une presse qui est toujours ouverte aux critiques et à des mauvaises accusations sur son autorité.
    Nous devons changer de comportement et accompagnons notre gouvernement voilà ce qui est de mieux pour la nation, une nation sans gouvernement est une nation en désordre, un gouvernement sans appuis de sa population est un gouvernement perdu, Alors Mr. Le journaliste pour la unième foi essayez de pousser la population de votre pays à l’accompagnement et à la patience et non aux révoltes.

  2. La vigilance, tout cela fait partie de la vigilance comme le dit le président de la république, nous ne devons pas laisser les choses au hasard. Il faut faire la fouille totale pendant tout regroupement.

  3. A Chacun ses raisons, mais les banquiers doivent faire les choses de façon vraiment douce, car les maliens ont besoin de l’argent à tout temps que Dieu vient en aide à notre Maliba.

  4. Prions pour que cette affaire de la banque puce connaitre un bon résultat final et que les choses revienne en ordre le plus vite possible.

  5. Du moment que nous ne connaissons nos ennemies, nous devons rester toujours vigilant et garder l’œil sur tout ce qui bouge, ceci est normal.

  6. La vigilance, tout cela fait partie de la vigilance comme le dit le président de la république, nous ne devons pas laisser les choses au hasard. Il faut faire la fouille totale pendant tout regroupement.

  7. J’ai du mal à comprendre qu’il ait encore des gens qui souhaitent la libération de quelqu’un qui passa tout son temps à piller le budget de l’Etat, à voler et violer toutes les lois de la république concernant la bonne gestion de l’argent public. Il a ruiné l’Etat en seulement.

  8. Je suis fatigué d’écouter les balivernes de certains individus. Vous savez si bien que moi, que ce n’est pas IBK qui est le mentor de l’arrestation du Général Sanogo. Si vous tenez tant à sa libération, il vous faudra attendre encore un peu.

  9. Pauvre journaliste, la liberté d’expression ne signifie pas dire des sottises, car tout ce que vous dites est loin de la réalité, la gestion du pays est équitable et efficace, nous devrions croire à IBK, c’est l’homme de la situation, un vrai patriote, un responsable capable.

  10. Il est important de considérer nos texte par les mots qu’il faut pendant les situations du temps, Mr. Je suis sûr que vous n’êtes pas ignorant, vous avez juste une eu mauvaise influence de l’opposition, Ladji Bouraama est l’un des présidents le plus humble alors respectons ce président au tend qu’il le mérite.

  11. Du moment que l’ennemi n’est pas connu, même nos propres parents peuvent être soupçonné. Nous devons doubler de la vigilance et c’est dans nos intérêts de rester vigilant.

  12. N’accusez pas IBK d’etre coupable de l’emprisonnement d’Amadou Aya Sanogo. Nous savons très bien que ce n’est pas lui qui l’a enfermé. Il n’est point ni le ministre de la justice ni le juge qui avait la charge du dossier de Sanogo ni le juge d’instruction qui était chargé de révéler toutes les preuves qui l’ont conduit à son incarcération.

  13. Mr. Le journaliste nous savons tous que ce moment ne doit pas être un moment ouvert aux critiques. Le Mali vient d’être frappée par le terrorisme. Nous devons être prêts même pendant notre sommeil à plus forte raison que dans nos regroupements.

  14. Vous devez au moins prendre conscience sur le dossier Amadou Aya Sanogo avant de publier cet article. Il me semble que ce monsieur était condamné bien avant l’arrivée d’IBK au pouvoir.

  15. Nul n’est et ne sera au-dessus de la loi, n’en doutez pas une seule seconde. Depuis l’avènement du président IBK à la tête de la magistrature suprême aucune impunité n’est accordé aux fautifs. Si Aya doit être jugé il le sera tôt ou tard.

  16. Je me demande vraiment ce que l’arrestation d’Aya, a bien avoir avec IBK ? Est-ce IBK quoi l’a arrêté ? Mais bien sûr que non, donc il ne peut pas ainsi le libéré aussi. Laissons la justice faire son travail.

  17. Tout pour le Mali
    Un peuple
    Un But
    Une fois…
    Ce journaliste ne connaît pas le danger, mais il doit savoir que le danger est partout. Il faut fouiller par tous, même dans nos salons s’il le faut, nous pouvons éviter une autre attaque terroriste.

  18. Vus le tas d’individus qui sont en colère contre Aya, la prison est pour le moment un lieu sure pour lui. Son dossier n’est pas dans les mains du régime actuel, mais plutôt d’autres personnes.

  19. Aya est accusé de crime, et jusqu’à ce qu’il soit blanchi, il ne peut être libéré. Et ce que vous oubliez est que ce n’ai pas IBK qui a arrêté Aya, et donc il ne peut pas ainsi le libérer. Donc fermez là s’il vous plait.

  20. Le PG Daniel TESSOUGUE se fiche d’affaires sensibles ou non. Il n’en fait qu’à sa tête. Il ne prendra jamais l’avis de sa hiérarchie, en l’espèce celui du Ministre de la Justice. Il doit son poste à ces gens et fera tout pour sauver leurs têtes.

  21. Vraiment il y a des gens dans ce pays qui n’ont pas le sens du discernement. Tous ces événements ont eu lieu avant l’accession du président IBK au pouvoir et les gens insinuent que c’est lui qui aurait donner l’ordre de réclamer le non lieu dans cette affaire; vraiment malade ces journalistes de merde.

  22. Je présente mes condoléances aux familles de ces personnes qui ont été lâchement assassinées pendant qu’elles servaient la patrie. Je souhaite que ce crime ne reste pas impuni. Que la justice fasse tout son possible pour faire la lumière sur ces et que les responsables payent pour leurs actes.

  23. Moi je pense que la justice est en train de faire son travail et par conséquent nous devons la laisser faire. Est_ce la première fois qu’une poursuite soit classée pour non lieu?.
    Alors arrêtez vos suppositions calomnieuses, car nous sommes dans un pays de droit et la justice s’applique à ceux qui sont reconnus coupable et ceux qui ne le sont pas sont relaxés.

  24. “Vu l’extrême sensibilité de l’affaire, le parquet général, placé sous l’autorité du ministre de la Justice, n’aurait jamais requis le non lieu sans l’aval du pouvoir politique”,
    Je me pose la question de savoir pourquoi aucune décision de justice dans ce pays n’est jamais le fruit des enquêtes mais toujours le fait des politiques?
    Quand est ce que nous dissocierons le judiciaire du législatif?
    Toujours de la calomnie. Vraiment que nos journalistes changent de comportement.

  25. 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯
    COCO est catholique …et donc susceptible de mal lire le Saint CORAN —–
    DONC , S’IL VOUS PLAIT ….
    Aidez moi à trouver dans le SAINT LIVRE …..ou DIEU ,certainement faché qu’il y ait trop de pédés au MALI , a dit qu’il allait se facher , et décidé de faire descendre les berets rouge ….les gars de la Terrasse , et ceux du Radisson …. 😯 😯 😯 😯 😯 😯 et peut etre meme décidé de faire égorger les militaires d’Aguel hoc …..

    Comme je sais que la religion tient une grande place au Mali et que je ne dispose que d’une traduction en Français du Saint Livre , n’étant point arabisant ….je vous le transmet ….
    Vous pouvez m’aider ❓

    http://www.lenoblecoran.fr/wp-content/uploads/Le-Coran-Essai-de-traduction-par-Jacques-Berque.pdf

    • ….Il se trouve des gens , sur le site , qui s’interrogent sur le comportement du Syndicat des Banques …. ❓ ❓ ❓ ❓
      En vérité , en vérité ….
      Meme Aguibou BOUARE ne semble pas trop savoir ce qui va advenir de sa vie … 😉 😉 😉
      Il suffit de lire le droit de réponse du “vertueux” au journaliste du SPHINX …pour comprendre que le SEGAL du syndicat est “un peu nerveux ” …. 😉 😉 😉 😉 😉
      http://www.journallesphynxmali.com/droit-de-reponse-saida-mohamed-cet-autre-debiteur-mafieux-de-la-bhm-sa-ayant-bute-a-la-vigilance-du-garde-fou-aguibou-bouare/
      😉 😉 😉

      • La vie de SEGAL de syndicat des banquiers ne semble pas etre très aisée …
        😉 😉 😉 😉 😉 😉
        POURQUOI AGUIBOU BOUARE N A T IL DONNE AUCUNE SUITE A LA REPONSE D ‘ADAMA DRAME ? ❓ ❓ ❓ ❓
        http://www.journallesphynxmali.com/notre-reponse-a-aguibou-bouare/
        ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓
        Hummmm …… ❓ ❓ ❓ ❓ ❓
        Peut etre que ….comme les tripatouillages ne semblent pas etre oeuvre de pédés …DIEU n’a pas choisi de manifester sa colère ❓
        😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
        En tout cas …..Ce qui est certain , c’est que sur les tripatouillages bancaires , l’IMAM DICKO ne s’est pas encore prononcé !
        😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  26. « Au camp de Kati, 83 soldats et militaires, auteurs présumés du contre-coup ont été entassés dans la cellule souterraine communément appelée la « Fosse », « La Chute » ou « Le Trou », dans une chaleur étouffante, sans lumière et sans contact avec l’extérieur, dans des conditions d’hygiène déplorables, avec deux toilettes débordantes d’excréments et de vers. La Mission a été informée que certains soldats détenus au camp de Kati auraient été forcés par les militaires responsables du camp d’avoir des rapports sexuels entre eux pendant que leurs geôliers filmaient la scène avec amusement. Ces mêmes militaires auraient écrasé des cigarettes allumées sur différentes parties du corps de leurs victimes. Durant les premiers jours de leur incarcération, l’ensemble des 83 détenus n’aurait eu droit qu’à un bidon d’eau et une portion de riz. Certains jours, ils auraient été obligés de choisir entre se nourrir et boire. D’autres étaient tout simplement acculés à boire leur urine ou celle des autres codétenus2.

  27. D’après le premier bilan d’un responsable militaire, le combat a fait un mort et une demi-douzaine de blessés, il ajoute que « Les blessés, c’est des deux côtés, le mort, de leur côté (des Bérets rouges). » Un civil affirme avoir vu trois morts après les combats, un garçon et deux femmes, et cinq femmes blessées par balle8.

    Selon le communiqué du gouvernement malien, deux adolescents ont été tués et 13 personnes blessées, dont trois gravement1. Selon les bérets rouge, six personnes ont été tuées, dont deux femmes et quatre jeunes, tandis que d’après un porte-parole de l’armée il y a trois morts des deux côtés

  28. Les premiers coups de feu auraient éclaté à 7 heures du matin et les affrontements se seraient prolongés jusqu’à la mi-journée. Selon un riverain : « Il y a des bérets verts qui sont venus encercler le camp. Après cela, des enfants et des femmes pourchassés sont sortis. J’ai vu des femmes et des enfants des bérets rouges courir derrière les bérets verts. Les forces de l’ordre n’ont pas tiré, elles se sont mises à courir aussi, elles sont partis. Et puis ensuite, des renforts sont venus vers 7 h du matin

  29. Selon les déclarations d’un médecin habitant le camp des paras, les gardes nationaux et les gendarmes, surnommés les bérets verts, investissent le camp à 5 heures du matin : « Ils ont tiré dans le camp, fait des tirs de sommation. Ensuite, un jeune de 18 ans aurait été tué par balle. On dénombre cinq femmes et une dizaine d’enfants blessés par balle. »

  30. Gabriel dans investigation À l’ORTM, chaîne de la télévision nationale malienne, le général Tahirou Dembélé, chef d’état-major, déclare que les Bérets rouges vont être envoyés au front combattre les groupes islamistes aux côtés des soldats français, cependant si le régiment n’est pas officiellement dissout, les soldats seront affectés dans différentes unités. 417 hommes rejoignent leurs unités d’affectation mais 800 restés à Bamako refusent la dispersion du régiment6.

  31. Merci Maoga , ensuite Le 30 janvier 2013, 29 prisonniers, dont 26 parachutistes et trois civils, dont Malamine Konaré, fils d’Alpha Oumar Konaré, sont libérés après la signature par un juge d’instruction de l’ordonnance de mise en liberté4. 20 personnes restent emprisonnées, néanmoins les soldats et leur familles organisent une fête au camp de Djicoroni le 31 janvier, espérant un réconciliation de l’armée malienne. À la mi-janvier, les bérets rouge écrivent au président Dioncounda Traoré, pour demander l’autorisation d’être envoyés au nord pour combattre les islamistes5.

  32. Ces journalistes nous racontent du blas blas , Après le Coup d’État militaire de 2012 au Mali, les bérets rouges du 33e régiment des commandos parachutistes prennent le parti du président Amadou Toumani Touré. Leur tentative de contre-coup d’état échoue cependant après les affrontements du 30 avril et du 1er mai.
    Je ne comprends pas pourquoi ces jounalistes ne diffusent pas de vrai informations .

  33. ““Vu l’extrême sensibilité de l’affaire, le parquet général, placé sous l’autorité du ministre de la Justice, n’aurait jamais requis le non lieu sans l’aval du pouvoir politique” 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿

    Malheureusement, la précision ne s’imposait pas tant elle était EVIDENTE! 🙄 🙄 🙄

    Voilà comment un régime pourri jusqu’à la moelle, après avoir fait un simulacre de justice histoire de faire bonne figure en arrêtant ces COMPLICES (et acteurs!) DIRECTS des scandaleuses magouilles visant à dissimuler la barbarie de cette exécution collective, va aujourd’hui blanchir les interessés! 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥

    Et ce, bien sûr, avec “l’aval du pouvoir politique”, façon probablement pudique de dire “sur ordre du…”! 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳

    Décidément, c’est bel et bien sur TOUS LES PLANS A LA FOIS que ce régime est pourri jusqu’à l’os! 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥

    Ca explique qu’il en soit réduit à devoir payer de vulgaires pintades pour tenter de masquer l’écoeurement général qu’il suscite! 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳

    • Comme dit YUGO …
      çà doit etre la faute de DIEU ……
      Doit y avoir trop de pédés ….. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 Si l’on en croit l’IMAM DICKO ❗
      😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

      • Tapez votre commentaire ici : 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 , coco; elle est bonne cele la ton d’apres Dicko 😆 😆 😆 .
        Tu n’a pas tord kopin nfp, pas du tout et il faut admettre que c’est ca Notre Maliba 😥 , helas.
        C’est tres dommage qu’au Mali c’est du pareil au meme. Quand meme le president se presente etant pourri comme chef d’un parti de politicards et les autre manipilateurs et manipules rentrent dans la dance alors qui sera Juge et qui sera le coupable 🙄 ❓ . Au Mali il y a ni juge ni coupable quand on a le bras long et potes avec les politicards et argentiers.
        Comment il y aura une petite justice au Mali dans ces circonstances la 🙄 ❓ .
        Qui et je dis bien qui peut relever ce defit de nettoyeur de la Republique 🙄 ❓ .
        Tres certaineemtn je peux comprendre certaines choses qui ne seront jamais sues comme dans tout pays mais chez Nous, au Maliba, C’est PIRE.

    • Toi et ta bande d’idiot n’avez rien à dire vous passez votre temps à cacaber pour emmerder le peuple.
      😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳
      Vous êtes vraiment des cinglés tant la jalousie que vous avez contre le régime en place vous sort par le trou derrière… 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
      Vos actions sont vaines car nous voyons clair et nous prêterons jamais l’oreille à vos sottises.
      Ouvrez un peu les globes que vous avez à la place des yeux qui ne vous servent à rien. 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)
      Yugu 8) 8) 8) 8) ; nfp 💡 💡 kassin 😳 😳 😳 :oops

  34. Je me demande qu’ils mettent fin à la grève pour le bien des clients. Cela entrave nos activités dont nous refusons de payer pour une erreur qu’on n’a pas commise

  35. Finalement au Mali vous pouvez faire de grandes économies : supprimer le ministère de la justice ,le ministre ,les procureurs ,les juges ,voir meme les criminels ce qui vous éviterait d’avoir des gardiens de prison corrompus 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 pas de prison ,pas de repas a servir !! 😉 😉 😉 😉
    Et dire qu’on voit des articles écris par des imbéciles qui voudraient voir ATT jugé et emprisonné 😉 😉 😉 😉 😉 mais il n’a tué personne lui !

    • d’icidemain on trouvera bien un couillon qui va nous faire croire que les bérets rouges se sont suicidés :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

      • 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

      • Ou que tout ça n’est qu’un montage de la France sinon ils ne sont même pas morts !! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 :mrgreen: 😆 😆 😆 :mrgreen: 😆 😆 :mrgreen: 😆 💡 😆

  36. Tout lieu de rassemblement actuel doit passer en peigne fin comme cela s’est fait à Paris lors de la COP 21 donc ne cherche pas à faire penser au peuple comme si IBK abusait de son pouvoir ou fait de trop

  37. Le syndicat des banquiers doivent laisser la justice fait sont travail. Ce n’est pas avec les grèves qu’une issue sera trouvé à ce problème.

  38. En nommant les magistrats, il attend un résultat positif donc il veut savoir à quel stade se trouvent les dossiers qui sont à leur possession

  39. Il faut reconnaître dans ce pays , le pouvoir IBK connait ses limites avec le pouvoir judiciaire. Il ne fait pas d’ingérence dans leur manière de juger donc ne fait pas croire les poulets ont des dents pour se laisser mordre.

  40. Le cas SANOGO est très grave au point où si on le libère aujourd’hui c’est le même journaliste qui allez écrire n’importe quoi ici.
    Il est poursuivi pour plusieurs délires dont il périra dans le trou

  41. Après tout ils peuvent être graciés pour servir rendu à la nation à travers les premières heures de la crise au nord

  42. Je pense que si les généraux sont relâchés et après enquête s’ils sont reconnus coupables ils seront arrêtés donc pas inquiétude

  43. Si les parents des victimes retirent les plaintes c’est qu’il y a plus de poursuites donc ils peuvent être libres. On doit pas oublier tout ces paramètres mais vous pensez à une ingérence du président IBK

  44. La justice est équitable donc elle n’a pas de parti pris alors si elle estime que les généraux doivent être relâchés c’est qu’elle a une belle raison. Ceci n’est pas une occasion de polémiquer monsieur le journaliste.

  45. Les généraux payeront pour leurs crimes, la justice malienne sous le régime d’IBK est une vraie justice. Les putschistes devraient finir leur vie en prison. Les bérets rouge assassinés ne doit pas rester impuni. La justice malienne essuiera les larmes de ces bérets rouge assassinés de sang froid.

  46. As-tu reçu combien pour faire cet article de diffamation, il faut donner au moins une minute au président en paix et faire son boulot. Vous faites tout à chaque fois pour remonter la population contre le régime qui et pourtant joue pleinement son rôle.

  47. « Nul n’est et ne sera au-dessus de la loi » ➡ ➡
    « La justice est pour tous et contre tous » ➡ ➡
    « La Séparation des pouvoirs, comme le souligne la démocratie » IBK n’a rien n’à avoir de le dossier Sanogo. ➡ ➡

  48. Je pense que si Amadou A Sanogo doit être libérer par la justice, IBK n’a rien n’avoir avec cela. La justice est indépendante, après tout la junte c’est aussi des maliens comme nous.

  49. Les charges retenus contre Sanogo, ses complices et les trois généraux ne sont pas des charges a prendre à la légère. Des crimes d’une manière atroces, des disparitions sans suite et aussi la tortures des prisonniers sont des crimes très grave. La justice doit être au point de l’attente de la population malienne.

  50. Je me demande réellement si ce journaliste est conscient de ce qu’il est en train de marteler dans son article? Il faut être un malade mental pour dire une telle connerie au sujet de l’affaire dite des bérets rouges. Amadou Haya est un complice de ces trois généraux. Donc il ne peut pas lui seul être poursuivi sans ces trois généraux. Soyez un peu raisonnable, cher journaliste. 🙁 🙁 😀 😀 😀 😀

  51. Dans la démocratie, un pouvoir ne peut interférer dans le domaine d’un autre pouvoir, c’est-à-dire que le pouvoir exécutif ne peut pas intervenir dans le domaine du pouvoir judiciaire, donc n’indexons pas le président IBK sa gestion concernant le sort du dossier Sanogo. La justice fait déjà son travail. ❗ ❗ ❗ ❗ ❗

  52. Sanogo ainsi que les trois généraux restent tous poursuivis dans l’affaire de bérets rouges. Si ces généraux acquièrent un non-lieu ce sera aussi valable pour leur coauteur, Amadou Haya Sanogo. Aucun de ces généraux ne peut être déclaré innocent sans les autres. C’est une affaire les impliquant tous. 😛 😛 😀 😀

  53. Ceux sont des assassins 😳 😳 😳
    Ceux des individus ont ni loi, ni foi. 💡 💡 💡
    Ceux sont les apatrides. 👿 👿 👿
    Ceux des recalés de l’armée malienne 😯 😯 😯
    Ils coupable tremper jusqu’au osseux 👿 👿 👿

  54. Toutes mes félicitations à ce journaliste incompétent de la bande des fripouilles journalistes de cette nation. J’ai honte de dire aux étrangers que ce journaliste est un malien. Il n’a aucune compétence. Il se contente de faire des “speech report”. Honte à ce journaliste. 😆 😆 💡 💡

  55. Je demande à ce journaliste de ne pas prendre les maliens pour des cons comme lui. Aucun procureur n’a demande un non-lieu pour ces trois personnes impliquées dans l’affaire des bérets rouges. S’il doit y avoir de non-lieu ce sera pour tous ceux qui sont impliqués dans cette affaire y compris le général Amadou Haya Sanogo. 😛 😛 😀 😀

  56. La procédure judiciaire menée au Mali contre Amadou Haya Sanogo, l’ex-capitaine promu général et meneur du coup d’Etat militaire du 22 mars 2012, se poursuit avec la requalification et alourdissement des charges contre lui.
    Détenu et poursuivi depuis novembre pour « complicité d’enlèvements » dans le cadre de l’affaire de la disparition des bérets rouges, ces militaires proches de l’ancien régime et dont une tentative de contre coup d’Etat avait été violemment réprimée en avril 2012 par la junte militaire, Sanogo voit se renforcer, depuis mardi, les charges retenues contre lui.

  57. Des crimes ont été commit pendant cette période et cela tout le monde le sait. Les charges retenus contre les putschiste sont véridique. La justice n’aura fini avec eux si seulement cette histoire n’est point éclairer. Les commandos parachutistes tué de toute les manières, justice doit être rendu à qui de droit.

  58. Merci à la justice malienne, il faut continuer à bosser il y’a trop de dossier que nous attendons les résultats. Aucune personne n’est parfaite et on ne peut pas satisfaire tout le monde aussi, seulement il faut faire l’essentiel.

  59. Il ne peut pas y avoir de non-lieu pour le moment pour les trois personnes dont les noms sont mentionnés dans cet article. Si le procureur se désintéresse du dossier, le ministre tutelle demande à qui de droit de le remplacer en suivant les règles de droit. Cela n’est pas synonyme du fait qu’ils doivent bénéficier d’un non-lieu. 💡 💡 😆 😆

  60. Je sens que nos journalistes commerçants vont se servir de ces décisions dans ces deux jours-là pour se faire de la poche avec. Qu’Allah nous sauve !!!

  61. Les détracteurs ont tendance a accusé le régime en place pour le sors dont vie aujourd’hui les acteurs du soulèvement du 22 juin passé. Bien avant l’arrivé d’IBK au pouvoir, les charges retenus contre les putschistes avait commencé à faire surface. C’est le pouvoir judiciaire qui dispose des putschistes pas IBK.

  62. Certes Amadou Haya Sanogo a été une solution ayant permis de stopper un régime budgétivore dont le numéro était un affamé du pouvoir qui voulait réviser la constitution pour qu’il puisse faire un troisième mandat. Malgré que le coup d’Etat soit un acte anticonstitutionnel. Mais celui de Sanogo est légitime. Car il a été salué par l’opinion nationale. Mais l’homme fort de Kati de l’époque, le Dadis Camara du Mali, a un peu dépassé les bornes avec les bérets rouges. 💡 💡 😆 😆

  63. Amadou Haya doit être jugé pour le crime qu’il a commis à ce peuple. On doit donner du temps à la justice de faire son travail. S’il s’avère qu’il est innocent il sera libéré ; dans le contraire il sera condamné. Ainsi que les trois personnes au nom des quelles le procureur demande un non-lieu. Que la vérité triomphe ! 😀 😀

  64. Cet crime commit sur les bérets rouge ne doit pas rester impuni. Les acteurs de ces crimes en particulier les trois ne doivent s’en tirer ainsi facilement. Ils doivent croupit en prison.

  65. Chers journalistes mettez un peu d’eau dans votre vin SVP, notre pays veut avancer et nous ne voulons plus revivre les situations déjà vécues durant ces quatre dernières années. On veut la stabilité dans notre pays. La justice a rendu ses décisions et c’est elle qui est habilitée à le faire aussi. Donc évitons la polémique.

  66. Vous devez au moins prendre conscience sur le dossier Amadou Aya Sanogo avant de publier cet article. Il me semble que ce monsieur était condamné bien avant l’arrivée d’IBK au pouvoir.

  67. Amadou Haya est un criminel. Je me justifie. Le coup d’Etat est classé parmi la catégorie des crimes par la constitution de 1992. La personne qui commet cet acte est qualifiée de criminel. Un criminel à sa place en prison. 😀 😀 😥 😥

  68. La réconciliation nationale malienne passe par la libération d’Amadou Haya Sanogo et plein d’autres. Le coup d’Etat est, certes, condamné par la constitution malienne du 25 février 2015. Mais on doit souvent faire des sacrifices en pardonnant certaines personnes. 😯 😯 😛 😛

  69. Je me demande vraiment ce que l’arrestation d’Aya, a bien avoir avec IBK ? Est-ce IBK quoi l’a arrêté ? Mais bien sûr que non, donc il ne peut pas ainsi le libéré aussi. Laissons la justice faire son travail.

  70. Si la liberté d’Amadou Haya Sanogo est la solution à la crise malienne, pourquoi ne pas le faire. Mais je sais que jusqu’à preuve de contraire l’acte qu’a commis Haya est un crime contre le peuple malien et condamnable pour une peine allant de 5 ans à 20 ans. 😯 😯 😀 😀

  71. Comme on le dit il faut rendre à César ce qui est à César. La justice a fait ses enquêtes et les enquêtes ont montré que ces généraux soient éloignés de tout sujet de culpabilité. Je ne vois pas de quoi à polémiquer ici. Si réellement c’est elle qui est habilitée à trancher les litiges nous devons accepter ses décisions.

  72. Le général Amadou Haya Sanogo

    Après avoir été débarqué de la tête du Comité des réformes de l’armée malienne, et prié sans ménagement de « libérer » le camp de Kati où une nouvelle hiérarchie militaire a été installée, Amadou Haya Sanogo pourrait être entendu sur les événements de fin septembre survenus au camp militaire de Kati sur les cas de disparition et de morts de militaires qui défraient la chronique au bord du fleuve Djoliba.

    Est-ce la fin des haricots pour lui ? En tout cas, les nouvelles autorités maliennes ont pris le problème à bras-le-corps et semblent décidées à faire la lumière sur cette affaire.

    Et à en croire le ministre malien de la Défense et des anciens combattants, « nul ne sera au dessus de la loi et les enquêtes en cours concernant ces événements de Kati seront conduites à leur terme en vue de rechercher et traduire en justice toutes les personnes concernées ».

    Cela n’est pas étonnant quand on connait l’engagement du président Ibrahim Boubacar Kéïta à ne tolérer aucune forme d’indiscipline au sein de l’armée.

    Avec l’affaire des morts et des disparus de Kati, on est en passe de découvrir le visage hideux de la gouvernance Sanogo

    De toute évidence, la nouvelle donne au Mali, avec la brillante élection d’IBK à la tête de l’Etat malien et le retour à l’ordre constitutionnel normal, aura mis à nu la question de l’avenir des putschistes du 22 mars 2012 qui ont renversé le régime d’Amadou Toumani Touré (ATT) alors à quelques semaines de la fin de son mandat, et qui s’apprêtait à passer le flambeau sans anicroche.

    Il aura fallu que Sanogo et sa bande donnent un coup de pied dans la fourmilière pour que l’on découvre le visage du régime corrompu d’ATT.

    Aujourd’hui, avec l’affaire des morts et des disparus de Kati, on est en passe de découvrir le visage hideux de la gouvernance Sanogo.

    Dans cette affaire qui a tout l’air d’un règlement de comptes entre anciens camarades de lutte, on comprend la frustration de certains de ses proches frères d’armes aux yeux desquels Sanogo bénéficie des largesses de la République en ayant les honneurs et l’argent de la République, sans avoir véritablement été au combat pour repousser l’envahisseur djihadiste.

    A contrario, certains maliens ont payé de leur vie, mais n’ont bénéficié ni ne bénéficient des mêmes égards ni des mêmes faveurs à la hauteur de leur « investissement physique et moral » pour la nation.

    En cela, ils dénoncent l’égoïsme de Sanogo qui ne songe qu’à son seul avenir et qui bénéficie de conditions largement imméritées. Ils l’ont fait bruyamment savoir et tout porte à croire que cette dissidence a été réprimée dans le sang, par d’autres militaires acquis à la cause de Sanogo.

    Selon Amnesty International, qui a d’ailleurs demandé l’ouverture de cette enquête impartiale, il s’agirait d’une « purge » menée par un « groupe qui se considère au dessus de la loi ».

    Si tel était le cas, Sanogo, qui est mis au banc des accusés, serait tout à fait comptable de ces crimes crapuleux et de ces exécutions sommaires de contestataires devenus gênants. Car, on imagine mal ces éléments agir pour son compte, sans avoir l’aval ni la bénédiction de leur mentor.

    De toute évidence, Sanogo n’était pas un visionnaire et tout porte à croire qu’il aura usurpé ses galons de général

    Au demeurant, la purge à laquelle ses thuriféraires se seraient livrés à l’encontre de leurs frères d’armes est inadmissible, révoltante et simplement nauséabonde car, dans un Etat de droit, on ne saurait régler les contradictions à la kalachnikov.

    Et à y regarder de près, Sanogo, qui a réussi le tour de force de se faire bombarder général quatre étoiles dans ce qui a tout l’air d’un deal sordide et indécent, aura cristallisé des rancœurs à son encontre dans ses propres rangs.

    Il est loin donc de mériter ces étoiles pour n’avoir pas été un seul jour combattre les djihadistes au Nord-mali au contraire d’autres vaillants soldats maliens qui y ont perdu la vie.

    Et quand on pense qu’il avait poussé le culot jusqu’à s’ériger farouchement contre l’arrivée de troupes étrangères au secours du Mali alors occupé par les djihadistes, arguant que son armée pouvait s’en sortir, on se demande, ce qu’auraient été aujourd’hui le Mali et la sous-région si on s’en était tenu aux élucubrations de l’ancien capitaine.

    De toute évidence, Sanogo n’était pas un visionnaire et tout porte à croire qu’il aura usurpé ses galons de général (les galons de la discorde), comme il a usurpé le pouvoir un jour de mars 2012, entraînant son pays dans le chaos, et donnant l’image d’un parvenu, assoiffé de pouvoir.

    Ainsi, le monde découvre avec stupeur la face hideuse de sa gouvernance où il n’y avait pas de place pour la contestation. Il est donc heureux que cette dictature naissante ait été rapidement contenue.

    C’est le lieu de féliciter la CEDEAO qui avait, très tôt, vu clair dans le jeu de Sanogo et qui lui avait refusé certaines concessions comme cette volonté, toute honte bue, de vouloir bénéficier du statut d’ancien chef d’Etat pour se la couler douce avec tous les honneurs dus à ce rang.

    Finalement, il n’aura pas été à la hauteur des espoirs qu’il avait suscités chez certains de ses compatriotes. Il faut espérer que les enquêtes aillent jusqu’à leur terme et que le fin mot de cette affaire soit connu.

    Et si Sanogo est l’instigateur de ces événements, qu’il en réponde devant les juridictions compétentes. En cela, son titre de général ne devrait en aucun cas être un paravent au point de l’y soustraire.

    Par Outélé Keita, 29 Octobre 2013

    Source: Le Pays.BF

    • Demain on nous dira que Sanogo aussi est blanc comme neige, que ce qui est arrive’ aux berets rouges est la faute de Dieu. 💡 💡

  73. Nous devons vraiment éviter la polémique sur ces décisions de la justice, parce que c’est elle qui a mené les enquêtes et c’est elle aussi qui a déclaré qu’ils sont innocents des faits. Bravo à la justice malienne

  74. Je demande aux hommes du média de ne pas semer encore la pagaille autour de ce sujet. Ce sujet est très délicat, donc évitons vraiment d’empirer cette situation qui commence à prendre déjà fin.

  75. Ceux qui ont une part de responsabilité la dans ont été arrêtés et maintenant les enquêtes ont montré aussi que tous les incarcérés ne étaient pas coupables, je ne vois pas de polémique dans cela.

  76. Les décisions de la justice ne sont pas des décisions qu’on les prennent à tû tête, surtout sur des sujets délicats comme tel. Il y’a eu bien des enquêtes et c’est le résultat de ces enquêtes qui ont donné cela.

  77. Ce sont les résultats des enquêtes qui ont donné lieu à cela donc il ne faut pas essayer de vous servir avec cela encore pour aboyer.

  78. Pourquoi vous aimez toujours la polémique chers journalistes? La justice a fait son boulot et personne ne doit contester cela parce que c’est elle seule qui est habilité à se prononcer la dessus.

  79. OU EST CE QUE TU AS VU CES COURREURS DE JUPONS FAIRE LA GUERRE ?YAMOUSSA DONNAIT 164MILLONS A SANOGO CHAQUE FIN DU MOIS SIDY A DISSIMILE SES MILLIARDS DANS LES COMPTES DE SES AMIS ET PARENTS,DAHIROU A COMMANDITE LES EXECUTIONS ARRETE TES IDIOTIES.NOUS ON VEILLE…

  80. si vous les liberes vous allez les remplacees en prison nous allons rendre BKO ingouvernable

  81. ““Vu l’extrême sensibilité de l’affaire, le parquet général, placé sous l’autorité du ministre de la Justice, n’aurait jamais requis le non lieu sans l’aval du pouvoir politique” 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿

    Malheureusement, la précision ne s’imposait pas tant elle était EVIDENTE! 🙄 🙄 🙄

    Voilà comment un régime pourri jusqu’à la moelle, après avoir fait un simulacre de justice histoire de faire bonne figure en arrêtant ces COMPLICES (et acteurs!) DIRECTS des scandaleuses magouilles visant à dissimuler la barbarie de cette exécution collective, va aujourd’hui blanchir les interessés! 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥

    Et ce, bien sûr, avec “l’aval du pouvoir politique”, façon probablement pudique de dire “sur ordre du…”! 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳

    Décidément, c’est bel et bien sur TOUS LES PLANS A LA FOIS que ce régime est pourri jusqu’à l’os! 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥

    Ca explique qu’il en soit réduit à devoir payer de vulgaires pintades pour tenter de masquer l’écoeurement général qu’il suscite! 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳

    • nfp.
      Ce n’est qu’une simple parodie judiciaire.Cette justice différentielle et sélective qui protège les barons et les bonnets rouges de la République des camarades. ❓

  82. CES généraux ils ont combattu dans le nord pour nettoyer notre pays son ordure rien avoir avec une affaire des bérets rouges 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄

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