En cette période d’hivernage, le voyage entre Ségou et Bamako ou vice-versa est assez dangereux.
En plus de l’état délabré de la voie, le voyageur doit prier le Seigneur afin qu’il ne pleuve pas.
Si jamais c’est le cas : bonjour le danger. Car tout au long de trajet le goudron se trouve envahi par l’eau de la pluie à cause de l’absence de canaux d’irrigation. Il y a des endroits où il est même dangereux d’essayer de faire un dépassé. C’est le cas à Fana en face de la CMDT ou à Konodimini.
Notre photo, prise le dimanche dernier, en face d’un bureau de la CMDT, en dit long sur le risque encouru par les usagers de la route Ségou – Bamako.
Vivement donc le début de l’autoroute Bamako – Ségou dont les travaux sont prévus pour le 25 octobre prochain, date de la commémoration des 50 ans de coopération entre le Mali et la Chine.
Alassane DIARRA