"Aujourd'hui, c'est une réalité qui s'écrit. [... ] Les dirigeants des pays ont vraiment cru que le G5 Sahel était une solution sur la question du terrorisme. Mais au fil du temps, ces pays-là se sont rendus compte que le G5 Sahel a été un instrument de la France pour mieux maîtriser les États", déclare Abdoulaye Nabaloum, membre fondateur de l'association Actions pour la souveraineté des peuples (ASP), président de la Confédération des associations et mouvements panafricains de l'Afrique de l'Ouest (CAMPAO).
"C'est vraiment la
fin avec les anciens partenaires occidentaux qui se sont illustrés avec le temps par la domination et la prédation", ajoute le militant burkinabé