Coup de tête : Quand Bilal Ag cherif tente de remettre l’Accord de Paix en cause.

Les bandits armés de Kidal et en tête, leur chef, en l’occurrence Bilal Ag Cherif, Secrétaire général des violeurs de Gao et des assassins de nos soldats, non moins, Président de la CMA, ne se privent d’aucune occasion pour tenter de remettre en cause, l’Accord de Paix et de Réconciliation, issu du processus d’Alger.
Tout cela, sur fond de prétention indépendantiste à laquelle, ils n’ont jamais renoncé malgré, le changement de discours au gré des circonstances et des interlocuteurs.
Depuis trois longues années, ils ont érigé Kidal en enclave autonome dans la République du Mali, en empêchant toute présence militaire malienne dans la ville de Kidal.
Au même moment, ils se pavanent dans les rues de Bamako, escortés, par ceux qu’ils tuent à Kidal, et passent du bon temps dans les hôtels luxueux de la capitale aux frais du contribuable malien. Quelle injustice !
Invité de RFI, suite aux affrontements entre ses affidés et le GATIA, il menace clairement de ne plus reconnaitre l’Accord de « Paix et de Réconciliation au Mali ». Un Accord faut-il le rappeler à souhait, que les maliens ont signé, le couteau à la gorge.
«A ce rythme-là, il risque de ne plus avoir d’accord auquel se référer». Quelle mauvaise foi ! Ces propos de Bilal Ag Cherif sont suffisamment explicites pour que les autorités maliennes prennent leurs responsabilités en envisageant des solutions alternatives à un éventuel rejet de l’Accord d’Alger par ces renégats.
D’ores et déjà, il semble clair que notre Etat ne pourrait en aucune façon, faire l’économie d’une guerre contre ces bandits armés qui écument Kidal et ses alentours, s’il voudrait exercer sa pleine et entière souveraineté sur l’ensemble du territoire national, y compris, Kidal. A bon entendeur, salut !
Nous y reviendrons.
Idrissa I. MAIGA
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Rodrigez-Suarezpour vous dr. AG RHISSA http://www.bbc.com/news/magazine-37344210 POUR LES AUTRES QUI CROIENT AUX BELLES PAROLES RELIGIEUSES....9 ansRépondreLike (0)
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Dr ANASSER AG RHISSABonsoir, Merci Rodrigez-Suarez pour cette histoire émouvante que vous avez bien voulu partager avec nous. Elle concerne un guerrier noir, "emporté" (esclavagisme) du Botswana par un Européen au début du dix neuvième siècle, "momifié et exposé" après sa mort dans les musées comme un animal sauvage. On retient, entre autres, DEUX points importants : - l'influence entre cultures différentes comme nous en avions parlée à travers nos contributions respectives. On remarque le traitement avilissant qu'a subi l'esclave. Une prière (acte culturel) accompagne toute cérémonie de deuil : le prêtre Chrétien du Bolswana disait : "au nom de Jésus Christ, nous souffrons avec vous", - comme dit le Ministre du Bolswana, au retour de son cercueil au Bolswana : "nous sommes prêts à pardonner mais nous ne devons pas oublier les crimes du passé, ainsi, nous ne les récidiverons pas". Par rapport à la réconciliation au Mali, ce dernier point est important lorsque des crimes ont été commis, avant d'être pardonnés, ils doivent être reconnus comme crimes (du passé) afin de ne pas les oublier et de ne pas les récidiver, ensuite justice doit être rendue et la réparation éventuelle doit être faite. Félicitations pour les leçons apprises de cette histoire émouvante. Bien cordialement Dr ANASSER AG RHISSA EXPERT TIC, Gouvernance et Sécurité TEL 00223 95 58 48 979 ansLike (0)
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Dr ANASSER AG RHISSABonsoir, APPEL A TOUS LES ACTEURS POUR UNE MISE EN ŒUVRE DILIGENTE DE L'ACCORD POUR LA PAIX ET LA RÉCONCILIATION AU MALI ET POUR L'ENGAGEMENT, FRANC, HONNÊTE ET SANS COMPLAISANCE, DE TOUS Félicitations pour l'initiative citoyenne des chefs religieux, des notabilités communautaires et de certaines composantes de la société civile, à laquelle ont pris part les parties prenantes et la médiation, sous la houlette du Haut Représentant du Président pour la mise en oeuvre de l'accord pour la paix et la réconciliation au Mali. La session associée a eu lieu à Bamako et a duré trois semaines. Merci à tous et à toutes pour vos contributions pour une sortie durable de la crise au Mali. Malgré tout, le Mali est dans une insécurité totale (embrasement qui risque de se généraliser : trop de morts dans les régions du nord du Mali ainsi qu'au centre du Mali et au sud du Mali, djihadisme, terrorisme, ...) et tout progresse lentement du fait de la non application de l'accord pour la paix et la réconciliation au Mali. Une minorité (terroristes et autres) ne doit pas prendre tout un peuple en otage. Comme certains le disent, nous avons des solutions idoines de sortie de crise, elles sont refusées ou ignorées par tous et toutes. En effet, j’ai fait des propositions pour résoudre le problème de Kidal ET pour la garantie du respect de l’accord et de l’engagement des acteurs pour la mise en œuvre et le suivi de l’accord de Bamako, pourquoi les acteurs ne les testent pas ? Ceux qui supportent l’accord de Bamako et ceux qui ne le supportent pas devront prendre de la hauteur en mettant en avant le Mali et en se rapprochant sur la base des intérêts des Maliens et de leur bien-être. Des intérêts cachés ou des mains invisibles pourront empêcher l’accord de Bamako de démarrer et de se dérouler normalement. Dans ce cas, ils doivent être mis en évidence et les auteurs exhibés devant tous pour que cesse ce qui empêche que l’accord se déroule normalement. Si toutes les parties prenantes et la médiation s’engagent honnêtement, franchement et sans complaisance, pour une mise en œuvre et un suivi stricts de l’accord, ces intérêts cachés (ou ces mains invisibles) seront débusqués (es), ainsi que ceux qui sont derrière. Nous devons, FAIRE ARRÊTER IMMÉDIATEMENT LES HOSTILITÉS, ENTRE GATIA ET LA CMA, SUR LE TERRAIN, et URGEMMENT mettre en place les autorités intérimaires, le DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion), le MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination) via les patrouilles mixtes et, graduellement, les forces de défense et sécurité Maliennes reconstituées et lancer la conférence d'entente nationale prévue dans l'accord au lieu des concertations nationales à cause de la complexité et de l'issue incertaine, à court terme, de ces dernières. ENGAGEONS-NOUS (tous les acteurs), honnêtement, franchement et sans complaisance, acceptons le partage de responsabilités (en particulier à Kidal) ET METTONS, TOUS/TOUTES, RAPIDEMENT, EN ŒUVRE, indépendamment des bords politiques, L'ACCORD DE BAMAKO, pour la paix et la réconciliation au Mali, pour l’intérêt général, pour le bonheur de TOUS/TOUTES, pour résoudre définitivement le problème de Kidal et pour éviter l'embrasement généralisé (sur lequel j'ai alerté les acteurs depuis plus d'un an). Pour ce faire, je lance un appel à tous les acteurs (parties prenantes, médiation, CSA, partenaires, ...). Dr ANASSER AG RHISSA Expert TIC, Gouvernance et Sécurité TEL 00223 95 58 48 979 ansRépondreLike (0)
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Dr ANASSER AG RHISSABonsoir, Merci Rodrigez-Suarez de vos messages qui se polarisent tous sur la culture et le fait que l’attribution du pouvoir doit être indépendante de la couleur de la peau. Vous vous trompez, une des richesses du Mali, c’est sa diversité culturelle et sa diversité ethnique. Vous avez raison, l’attribution du pouvoir doit être indépendante de la couleur de la peau et de l’appartenance à telle ou telle ethnie mais cela ne veut pas dire qu’il faille faire disparaitre les ethnies. Ces dernières permettent de véhiculer la culture ou les cultures. La religion musulmane ou toute autre religion n’empêche pas d’être ouvert (au modernisme, aux autres, …) ou de s'intégrer, elle contribue aussi à la culture mais ne la tue pas. On peut appliquer la bonne gouvernance et gérer au mérite un pays multi-ethnique, tel que le Mali, et accéder au pouvoir à partir de critères de performance (de bonne gouvernance, de compétence, …). Ces critères ne prennent pas en compte la couleur de la peau ni l’appartenance à telle ou telle ethnie. Soyons ouverts mais ne perdons pas notre culture ou nos cultures, c’est notre richesse. Bien cordialement Dr ANASSER AG RHISSA EXPERT TIC, Gouvernance et Sécurité TEL 00223 95 58 48 979 ansRépondreLike (0)
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r,suarezCHER DR. tittlesake > LES CULTURES COHABITENT, (PEUVENT verbe-ER) > LES CULTURES S'ENGAGENT DANS DES DIALOGUES, ENRICHISSANTES, DANS LE RESPECT MUTUEL. >LES CULTURES NE S'ENTRE ELIMINENT PAS (NE DOIVENT PAS verbe-ER), SINON L'AUTRE SERA ESCLAVAGISE.... > PAS DE GOUVERNANCE HORS DE LA CULTURE (LE VECU ET LE PRATIQUE DURANT DES SIECLES, L'ENRICHI PAR DES APPORTS MULTIPLES ET SECULAIRES)... > LES CULTURES AU MALI DOIVENT DIALOGUER MAIS ELLES SONT TOUTES DETRUITES OU AU MOINS BIEN DEVOREES PAR LA RELIGION ABRAHAMIQUE QUI N'EST AUTRE QU'UNE SYNTHESE DE METHODES ABRUTISSANTES ET DESTRUCTIVES POUR TOUS LES PEUPLES DU MONDE, ET VISANT A VREER UNE AUTORITEE UNIQUE VERTICALE ET BASEE SUR LA TERREUR ET LA DESTRUCTION DE L'AUTRE DES AUTRES.... >LES RELIGIONS ABRAHAMIQUES- ACCULTURELLES- ANTI-CULTURES EN ACIDE CONCENTRE, PRONENT L'UNICITE DU DIEU SI MULTIPLE ET SI DIVERS DANS SA NATURE, NOS PEUPLES L'AVAIENT BIEN SU, ET AINSI L'ADORAIT, ET JE SUIS CONVAINCU L'ADORERONT POUR LEUR PROPRE SALUT.... > LE TIC ET LA GOUVERNANCE, LA SECURITE ET LA GOUVERNANCE, DR. C'EST DEJA ASSEZ DE CHOSES, VOUS, DEVEZ Y AJOUTER LES ETUDES DE NOS CULTURES CHACUNE, ELLES ONT ETE OUVERTES MAIS DOIVENT GARDER LE BACKBONE...(le vecu le connu, le practique, le concu....) * le MALI a commencer sa degringolade depuis le jour de la planification du pelerinage a la mecque du FOU, TRAITRE, RENEGAT, kankou moussa....EN S'OUVRANT= EN OUVRANT LE MALI, SA GOUVERNANCE, EN ABANDONNAT SA CULTURE, IL A DONNER LE START DES PILLAGES, ET L'ESCLAVAGISATION DE SES PEUPLES....ca continue a nos jour... merci, la bonne gouvernance part de la culture propre, qui est en fait un ensemble de pacts elementaires mais reglementaires....9 ansLike (0)
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AG AZAMANEDe quel Accord parle encore Bilal, le retardataire dormeur ? Je préjuge que Bilal parle de l’Accord qu’il avait signé, le dernier, par réticence, Accord qui est, sinon caduque, du moins un machin qui « désaccorde » les maliens. Ce que semble dénoncer Bilal, n’est-il pas ce à quoi tout le monde devait s’attendre ? La situation actuelle de Kidal est la suite naturelle et logique des événements de 2012. Les scissions, les divisions et les haines qu’elles génèrent sont toutes inhérentes à toute rébellion de ce genre. Certes la guerre ne pourrait être la solution mais aussi toute solution n’incluant pas la guerre ne serait une solution durable. Pour que ces différents groupes parviennent à se mettre d’accord sans qu’une autre force ne les mette en difficulté, il va falloir une longue guerre d’épuisement, fratricide et encore plus meurtrière. Ce qui n’est de l’intérêt de personne. Surtout pas de la population civile. En tout état de cause, je pense que tous ceux, à commencer par le Gouvernement du Mali, qui prônent la seule négociation et qui se fient à la bonne fois des groupes de combattants ne sont pas de cœur avec ces pères et mères qui meurent ou qui voient leurs enfants mourir des conditions dans les camps de réfugiés. Dans toutes ces négociations, ces querelles et ces surenchères on n’entend rien qui fait penser au martyre de ces pauvres dont tout le monde prétend défendre les intérêts. Au regard des réalités actuelles sur le terrain, les communautés des régions du Nord du Mali, toutes ethnies confondues, doivent décider de l’avenir du Nord du Mali, y compris Kidal. Entre temps, les Ichoumar, ces SDF sahariens sans attaches sociales, comme qui dirait "des clébards sans colliers", qui se chipotent dans les environs de Kidal, n'ont encore rien vu, parce que, si hier, ces mercenaires de Kadhafi battus et débandés au Nord du Mali depuis 2011, faisaient de la propagande verbale de type "agit prop" pour leur Awadrêve et aujourd'hui voleurs, pilleurs et coupeurs de route au Nord du Mali, croient, maintenant, que la situation est grave, ils doivent s'attendre à ce que ceux - FAMAs et Affidés « gatiacilinisés » - qui les avaient combattus et qu’ils avaient battus, , furent momentanément absents – « reculer pour mieux sauter » ou « replis stratégique » - , reviennent bien armés. Ce que les Coalisés Mafieux Apatrides (CMA), amenés par le HCHA et Ançar-Chaïtan, je nomme des "enfants égarés cocaïnisés" Ifoghas, Idnan, Rguéibat et Barabiche, preneurs en otage de femmes et enfants à Kidal, avaient vécu à Kidal, de 2013 à 2016, ne serait qu’une petite sieste par comparaison à ce qui va venir, sous peu. Sincèrement9 ansRépondreLike (0)
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FIFI LA MALIENNEJe me pose la question de savoir est ce que réellement faire la guerre est la solution de la crise malienne? Nous avons fait la guerre mais elle ne nous a emmenée nulle part c'est pour cette raison que nous avons opté pour la négociation. Est ce qu'une paix obtenue au prix du sang des fils de ce pays peut apporter la paix définitif dans ce pays?9 ansRépondreLike (0)
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DamarfaIdrissa Maïga; on peut tout dire sauf que "que les maliens ont signé, le couteau à la gorge" parce que vu que nous n'ayons pas d'armée; c'est la seule option qui nous restait pour limiter les dégâts. Cet accord nous l'avons voulu car même ceux qui le rejettent aujourd'hui étaient aux premières heures des négociations. L'accord n'est certes pas parfait mais c'est le seul moyen dont nous disposons pour le moment pour que notre pays espère retrouver la paix.9 ansRépondreLike (0)