Eau minérale : La marque «Kati» s’installe

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Le marché de l’eau minérale au Mali s’agrandit d’un nouveau-né. Sous l’impulsion de Bassam Azar, la marque «Kati» a été lancée le 22 décembre 2014 à Kati Côcô, un quartier de la ville-garnison du Mali située à 15 kilomètres de Bamako. C’était en présence des notables de la ville, des autorités politiques et administratives, du ministre de l’Industrie et des Investissements et du ministre de la Justice, des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux,  Mohamed Ali Bathily, représentant le Chef du gouvernement. Disponible sur Ie marché de l’eau minérale sous les bouteilles de format 1litre, 1/2 litre, «Kati» est une eau tirée des sources des profondeurs des collines de Kati avec comme qualité principale sa nature intrinsèquement pure et sa force basée sur sa merveille de technologie. Produite par la Société Industrielle des Boissons et Eaux du Mali (SIBEM), elle assure aux consommateurs la pureté, la richesse en calcium et en sels minéraux et ce dans les proportions adéquates. L’usine dispose de deux laboratoires de dernière génération avec l’ensemble des outils et appareils pour les tests et les approbations. Elle s’étend sur 2 ha avec un bâtiment de production de plus de 1000 m2. Ce bâtiment, une véritable tour de contrôle, abrite l’essentiel des installations techniques avec un forage d’une quarantaine de mètres de profondeur et  ses installations qui répondent aux normes internationales et ont été validées par des experts dans Ie domaine. Avec ses laboratoires, SIBEM donne la garantie que chaque goutte d’eau qui quitte son usine est naturellement pure et saine pour Ie bébé, la femme enceinte, le sportif et le vieillard. Et que l’eau Kati apporte à chacun, selon ses besoins, les ressources d’une eau minérale de qualité. En souhaitant la bienvenue à ses hôtes, le maire de la commune urbaine de Kati, Cheik Hamala Haïdara, s’est dit ému par la SIBEM qui a tenu parole avec l’inauguration de l’usine. Il a donné l’assurance qu’à Kati, «on ne boira plus que Kati.»

Quant au ministre Ben Barka, il a expliqué que cette usine de Kati s’inscrit dans la dynamique du partenariat public-privé. Avant de s’engager à lancer une guerre contre l’installation anarchique des unités de production d’eau en sachet.

Pour sa part, le ministre de la Justice, Mohamed Ali Bathily, tout en se réjouissant de l’installation de cette usine, a plaidé pour le règlement à l’amiable des éventuelles difficultés entre les travailleurs et la direction de l’usine.

Yaya Samaké

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