Propos mémorables : Alpha O. Konaré Président de la République 1996

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La nouvelle a estomaqué plus d’un, au sein de l’opinion nationale et internationale. Peu avant l’aube, samedi, des bandits non identifiés ont attaqué à l’arme de guerre le domicile de l’ancien président Alpha Oumar Konaré, situé à Titibougou, à la sortie Est de Bamako, Route de Koulikoro. Bilan : un mort du côté des assaillants. Pourquoi maintenant ? Qui sont les assaillants ? A qui en voulaient-ils ? A qui profite cet attentat contre un président qui a réellement tiré sa révérence politique nationale ? Aujourd’hui, le Mali n’a point et guère besoin de crimes qui en rajouteraient à une situation sociopolitique et économique bien roussie, voire chaotique. Dans un pays où le chef de l’Etat (ancien ou nouveau) n’est pas en sécurité, les populations s’en remettent au Tout puissant. Les populations maliennes, qui vivaient dans la trouille dès que le soleil se couche (souvent même en plein jour) sont dorénavant convaincues qu’elles sont sous ce schéma, du moins depuis samedi 5 avril dernier avec l’attaque, à l’appel du muezzin, du domicile du président Alpha Oumar Konaré. Que s’est-il passé ? Selon les témoignages recueillis sur place, des bandits armés, habillés en civil, ont tenté à deux reprises, au cours de la nuit du 4 au 5 avril, d’attenter à la vie des membres de la famille Konaré. Le mode opératoire des assaillants était bien pensé ; ce qui ne laisse aucun doute sur le caractère prémédité de l’acte. Les bandits, une dizaine environ, ont d’abord plongé la maison dans le noir en coupant l’électricité. Ils ont ensuite tenté d’escalader le mur d’enceinte sur deux fronts (côté Nord, route de Koulikoro et côté fleuve). Des coups de feu retentissent. Les bandits replient, et reviennent quelques instants après pour attaquer. S’ensuivent des échanges de tirs avec les forces chargées de la garde de la résidence présidentielle. Le président Konaré est absent (il séjourne en Egypte où il est médiateur de la crise interne dans ce pays), mais son épouse Adame Ba Konaré est à l’intérieur, au fond des chambres, avec son fils, Iba, ainsi que ses belles filles et ses petits-enfants. Au dehors, la garde de sécurité prend le dessus et repousse les assaillants. Un bandit est touché ; il s’écroule, se vide de son sang et perd la vie. Fin de la partie ; mais pas du film. Car, sur l’assaillant abattu, les gendarmes trouveront plus tard, parmi tant d’autres éléments d’indices utiles, un téléphone portable. Si l’on sait la magie de cet outil révolutionnaire, on ne douterait point que l’enquête aboutirait prestement à l’identification et à l’arrestation des criminels, mais à condition qu’elle soit menée rondement et avec la volonté franche de parvenir à un résultat. Diligenter l’enquête Après ce coup folie manqué, moult questions brûlent les lèvres des Maliens; mais surtout une grosse interrogation : A qui profite l’attaque du domicile de l’ancien président Alpha Oumar Konaré ? La question mérite d’autant plus d’être posée que cet attentat intervient à un moment où tous les phares de l’actualité nationale sont braqués sur des sujets aussi brûlants que l’affaire Tomi Michel, l’affaire des soldats disparus, la situation de Kidal, la crise financière, Ma famille d’Abord, le blocage au sommet de l’Etat, le bras de fer entre le ministre Bathily et les juges. La République, déjà éclaboussée par ces dossiers très chauds, n’a pas besoin d’autres foyers de tension. Surtout pas un attentat contre le président Alpha Oumar Konaré qui, depuis son retrait du pouvoir en 2002, ne s’est jamais prononcé sur un sujet au plan national. Il s’est complètement effacé de la scène politique nationale et ne ferait pas du mal à une mouche. Autant il n’a pas été publiquement sollicité, autant le président Konaré est resté muet comme une carpe par rapport à tous les débats d’intérêt national. C’est un grand intellectuel qui agit comme le ferait tout ancien dirigeant RESPONSABLE. Alors, comment peut-on en vouloir ou vouloir du mal à une telle personne ? Allez savoir. Dans tous les cas, il convient d’ores et déjà de renforcer le dispositif de sécurité autour et à l’intérieur de la résidence Konaré. Mais surtout de diligenter l’enquête. Sékou Tamboura FORUM DES ADMINISTRATIONS FISCALES OUEST AFRICAINES Secteur des télécommunications : Préoccupation commune La problématique de la fiscalité du secteur des télécommunications est une préoccupation qui exige des Etats à entreprendre des stratégies adéquates pour le renforcement de la mobilisation durable des recettes. Tel est le souci des Administrations fiscales ouest africaines qui se sont réunies du 2 au 4 avril derniers au Centre international de conférences de Bamako autour du thème « La fiscalité du secteur des télécommunications ». Le 8è Forum des Administrations fiscales ouest africaines (Fafoa) a examiné plusieurs dossiers relatifs à la vie de l’institution : l’adoption du règlement intérieur ; l’état de paiement des frais de souscription des pays membres de l’organisation ; les stratégies appropriées à la mise en place effective du secrétariat exécutif de l’organisation pour la facilitation, la coordination et la régulation des activités ; le bon fonctionnement de la structure. Mais, le point d’orgue des travaux de cette réunion que le Mali abrite pour la première fois fut incontestablement son thème central « La fiscalité du secteur des télécommunications ». Les travaux ont permis à ce titre d’échanger sur des aspects aussi importants que les systèmes d’informations utilisés par les opérateurs de téléphonie ; le contrôle des opérateurs de téléphonie au regard de la diversité des produits commercialisés et la complexité des techniques à utiliser pour bien appréhender les transactions et les revenus réalisés ; et les compensations de l’interconnexion des réseaux de télécommunication. Au cours de la cérémonie d’ouverture du forum (le 3 avril), présidée par la secrétaire générale du ministère de l’Economie et des Finances, Mme Sidibé Zamilatou Cissé, le directeur général des impôts du Mali, Sidima Dienta, a trouvé les mots justes pour qualifier l’impérieuse nécessité de débattre du sujet. « Le thème sur la fiscalité du secteur des télécommunications est une préoccupation commune à nos administrations fiscales ; il permettra de renforcer les capacités du personnel afin de prendre en charge tous les aspects spécifiques du prélèvement fiscal dans le secteur de la téléphonie », affirme le patron de l’Administration fiscale malienne. Qui a vu en ce forum de Bamako comme un outil permettant une meilleure garantie d’une prise en compte des problèmes spécifiques des administrations fiscales des pays membres de la CEDEAO, surtout dans un contexte économique, social et politique marqué par la mondialisation et la globalisation. A propos de la fiscalité du secteur des télécommunications, Mme Sidibé Zamilatou Cissé a rappelé que la problématique de la fiscalité du secteur des télécommunications est une préoccupation qui exige de nos Etats à entreprendre des stratégies adéquates pour le renforcement de la mobilisation durable des recettes de l’Etat. En effet, poursuit la secrétaire générale du ministère de l’Economie et des Finances, les opérateurs de téléphonie génèrent des revenus importants dont le trésor public doit profiter par le biais de la fiscalité. Mais, selon elle, nos administrations fiscales sont toutefois confrontées à de réelles difficultés pour cerner l’ensemble des transactions et des revenus desdits opérateurs. Face à cette situation, elle préconise l’acquisition de compétences informatiques très spécialisées et le développement de logiciels appropriés, qui pourraient contribuer à mobiliser et à sécuriser les recettes du trésor public. « Aussi, face au manque de visibilité des revenus réels du secteur, nos administrations fiscales ne pourraient-elles pas s’appuyer sur les mêmes technologies de contrôle du trafic actuellement à la disposition des autorités de régulation ? », s’interroge-t-elle. Avant de rappeler que certains pays ont déjà expérimenté ce procédé avec succès. A l’ouverture des travaux, le président du Fafoa, Pascal Abinan, a rappelé que depuis la dernière assemblée générale tenue à Ouaga, au Burkina Faso, le forum a réalisé des avancées notables en ce qui concerne l’adoption du projet d’organigramme et du profil du personnel du secrétariat exécutif et l’adoption final des textes fondamentaux du règlement intérieur qui doivent régir l’institution. Ce qui constitue un motif de satisfaction. « Les uns et les autres peuvent se réjouir du bilan des actes déjà posés », jubile Pascal Abinan. Qui tempère aussitôt ses ardeurs, car, précise-t-il, « en dépit des progrès réalisés, des défis énormes restent à relever ». Surtout que « la responsabilité des administrations fiscales est très grande dans le noble combat pour la construction et l’amélioration d’un cadre communautaire dédié aux services fiscaux », conclut-il. Quant au président de l’Union des ordres fiscaux de l’Afrique de l’Ouest, Mike Kofi Afflu, il a insisté, dans son message, sur la maîtrise de nos assiettes fiscales pour le développement harmonieux de nos pays. Pour lui, ce n’est pas en augmentant les taxes que nos Etats amélioreront les recettes fiscales, mais plutôt en consentant des allègements pour faciliter le recouvrement et la collecte des taxes. Ce qui permettra d’atteindre les différents objectifs de recettes. La Fafoa, qui regroupe une quinzaine de pays, est une plate forme qui sert à promouvoir et à faciliter la coopération mutuelle entre les administrations fiscales des pays membres de la Cedeao, en vue d’améliorer l’efficacité de leurs législations. Etaient présents à Bamako, les participants venus du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Ghana, du Niger, du Nigeria et du Sénégal. Sékou Tamboura
Alpha Oumar Konaré

« La terre est l’héritage commun de tous. Nul ne se sauvera sans les autres ! Nul ne se sauvera sans l’Afrique ».

 

Me Demba Diallo (Novembre 1999)

« Des juristes pour la cause de leur ventre, ça fait frémir ».

 

Chebane Coulibaly, Directeur bimensuel Cauris (Octobre 1994)

« Il y a eu plus de morts avec Moussa Traoré (1990 – 1991) que durant toute la rébellion des années 1962 – 1963 ».

 

Me Adame Bâ Konaré, épouse de l’ancien Président Alpha (Mars 2000)

« Les femmes sont encore confrontées à des problèmes de droit. Moi-même, je suis particulièrement sensible à cela. Je sais que les décisions de justice malheureusement ne sont pas toujours rendues à la satisfaction des femmes. J’enrage souvent de voir que les femmes sont les souffre-douleurs dans les foyers par rapport aux lois.

 

Colonel Youssouf Traoré, Avril 2000 (à propos de IBK)

« Le nouveau Premier Ministre, ex-conseiller à la Présidence est peu connu sur la scène politique. Mais, au fil des mois et des ans, il se révèlera comme un homme sans foi et sans loi, ayant comme seuls moyens de gouverner, l’arrogance, l’injustice et la répression de type stalinien ».

 

Alpha Oumar Konaré, Président de la République (Juin 1997)

“Nous ne pouvons considérer comme une fatalité le fait que soit concentré aux mains d’une minorité le fruit de l’effort commun, pendant que la grande majorité du peuple est condamnée à la misère et au désespoir.”

Me Abdoulaye Garba Tapo (Président du RND, 1997)

« Nous avons toujours pensé que le Mali, c’est notre Mali à tous et que nous devons le construire. Pour cette raison, nous pensons qu’il fallait éviter qu’il y ait des camps ennemis qui soient là à s’affronter inutilement ».

 

Professeur Yoro Diakité, Président du BARA 2003

« L’élection du Président du Parlement le 16 Septembre 2002 a fini de révéler toute la pourriture de la classe politique et sa capitulation devant l’envie gloutonne de partager le gâteau national. Car, des gens qui, hier encore se détestaient royalement comme des pots pourris, ont fini par s’entendre sur le dos du peuple ».

 

Général ATT Président de la République (Juin 2003)

Quelque soit votre volonté de lutter contre la corruption, si vous avez une justice qui ne soit suit pas, vous perdez votre temps. »

Rassemblés par

Boubacar Sankaré

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11 COMMENTS

  1. Un vrai FUX TYPPPPPPPPPPPPPPE CE ALPHA LE GOUROU D’ATT !

    IL FAUT QU’ON OUVRE SON DOSSIER DURANT SON RENGE CALAMITEUX ET ROCAMBOLESQUE…..RIEN QUE DES FRASQUES ET MENSONGES….UN VRAI BOULANGER ET MEILLEUR DRIBLLEUR QU’UN LIONEL MESSIE OU UN MARADONA !

  2. TOURNE CHEZ TOI EN EUROPE :___TU N’AURA AUCUN PROBLEME :wink:______________ BENITO MUSSOLLINI E MORTO —-

  3. 🙄 🙄 🙄 . Et aujourdhui Nous en sommes ou la ❓ .
    Je crois que c’est aujourdhui qui doit etre notre focus, Nous ne pouvons pas retourner en arriere ou bien ❓ . Et qui sait et connait pour Demain ❓ . :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: .

  4. _____PLEINEMENT D’ACCORD AVEC VOUS -Mme konaré ADAME BA ___TANT QU’IL A DE LA VIE ,IL Y A DE L’ESPOIR POUR LES FEMMES MALIENNES_COMME NON DIT__ QUE L’ESPOIR EST AUSSI LE PLUS GRAND VéCHICULE DU SUCCèS—TANDIS QUE LE DéCOURAGEMENT LE REND IMPOSSIBLE _______LE DéCOURAGEMENT N’EST PAS TOUT MALIENNE 😉 ____VIVRE SANS ESPOIR ,C’EST CESSER DE VIVRE —-ALORS ___VIVEVIVEVIVEVIVVVVVE MON MALIBA ___VIVEVIVRVVVVE IBK ET TOUS SES DIRIGEANTS POUR UN MALI MEILLEUR—- 😉

  5. Les Handicapés face aux jeux de l’épouse de son Excellence K2
    En partenariat avec le Club de Soutien d’IBK ou encore appelé la voix du Peuple, l’Association Malienne pour l’Intégration Socio-économique des Personnes Handicapées (AMISEPH) fut l’une des premières associations à battre campagne pour IBK au moment où toutes les autres associations de mêmes objectifs avaient signé un pacte en s’alignant derrière le FDR.
    Sur recommandation de Madame KEITA Mami, belle fille du président de la République et fille du Président de l’Assemblée Nationale, l’AMISEPH doit s’afficher sans cacher sa coloration politique au vue des autres handicapés qui les ont fuis pour suivre leur adversaire juré l’U.R.D.
    Ainsi après le coup d’Etat de 2012, suivant une lettre de partenariat, la Voie du Peuple, présidée par l’épouse de l’ honorable son Excellence Monsieur Karim KEÏTA a accepté l’association AMISEPH dans son équipe de travail dans le seul but de mettre en œuvre et de réaliser un plan de campagne national qui devait exhorter les 15,5% de la population du Mali constitués par des Personnes en situation de Handicap à voter pour IBK.
    Dès le 1er Juin 2013, à la maison des Jeunes de Bamako et sous la présidence de Mami SIDIBE, assistée par Messieurs le 3e Adjoint du Maire de la commune V, Makan CAMARA et Paul Ismaêl BORO l’actuel directeur du Centre International de Conférence de Bamako, l’AMISEPH a organisé une conférence-débat qui avait pour Thème : Handicap-Cityenneté- Démocratie.
    La première à poser ses jalons à travers l’organisation de cette conférence-débat qui a réuni plus de 300 personnes en situation de handicap, l’AMISEPH a exécuté avec satisfaction et suivant les directives de la belle fille du Président de la République cette première tâche qui lui a été confiée. Résultat atteint, puisque tous les participants présentent à l’évènement ont eu l’engouement de procéder au vote utile c’est-à-dire voter IBK.
    Au-delà de ces activités réalisées, l’AMISEPH a organisé activement des caravanes à travers les six communes du District de Bamako et cela pendant les campagnes du père et du fils.
    Par nos idées ingénieuses, on a même effectué des activités orientées par Monsieur le Ministre TERETA et le Docteur Boubacar SANDINAN, malheureusement les projets soumis à leurs appréciations ont été piraté c’est-à-dire soumis à d’autres handicapés de lien de parenté proches qui n’ont pas pu réaliser par manque de compréhension des termes de référence.
    Nous avons des preuves des activités qui nous ont liées au Bureau Politique National du RPM.
    Hélas nous ne savons pas que nous nous sommes trompés de choix et cela nous a conduit à trouver une autre appréhension de la politique définit par le philosophe Platon comme l’art de gouverner, nous les membres de l’AMISPEPH redéfinissons avec une connotation négative comme l’art de mentir.
    Quelle déception post campagne de l’AMISEPH après l’accession du candidat de la Voix du Peuple à la magistrature suprême ?
    Dès que la victoire a été emportée grâce aux efforts conjugués de tous les maliens, elle a été illustrée par des actes péjoratifs à savoir que le bureau exécutif de l’AMISEPH, dirigée par Monsieur B S D ne faisait plus partie de la famille de la Voix du Peuple comme le cas de beaucoup d’autres groupements membres, puisqu’elle n’était plus invité ou appelé comme au par avant pour des échanges stratégiques, nos coups de fils n’étaient plus décrochés, en un mot c’est carrément le rejet sinon la trahison.
    Dieu nous est témoin et jugera tous les faits. Qu’est ce que l’AMISEPH n’a pas fait pour l’atteinte des vœux de la Voie du Peuple en milieu handicapé à hisser le nom de leur candidat pendant les campagnes présidentielles et législative avec des moyens très limités et des reliquats du budget de réalisation d’activités impayés encore. Ces actes posés peuvent être témoignés par certaines presses de la place comme le Journal WAATI, AGORA JEUNES et autres.
    Au delà des promesses de campagne non tenues, comme pour se moquer de nous, la Voie du Peuple invite certaines associations pour handicapés à recevoir des cadeaux, sous prétexte que celles-ci les a claché dans la presse or ces structures ne voulaient pas du tout entendre le vocable de leur candidat. Notre regret aujourd’hui est de ne pas suivre la même ligne que nos congénères à travers leur parole fondée de l’époque.
    Depuis la nuit des temps la reconnaissance est une des valeurs cardinales au Mali, mais aujourd’hui elle a perdu son sens par la trahison, la stigmatisation et l’exploitation des politiques.
    Cette confiance que nous handicapés avons porté à la Voix du Peuple et au RPM a été une déception totale dans la mesure où les promesses n’ont pas été tenues et ces gens pensent avoir driblé tout le monde surtout à l’approche des élections communales tant attendues par les maliens.
    Vaut mieux tirer le diable par sa queue que de vouloir dribler tout le monde à la fois.
    A titre de conseil, l’AMISEPH demande aux maliens de mûrement réfléchir dorénavant avant de porter leurs choix sur certaines candidats à langues fourchues.
    Il y a un dicton de chez nous qui dit : ‘’Celui qui chie sur son chemin peut rencontrer des mouches à son retour’’
    A suivre

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