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ean-François Copé, président de l'UMP.[/caption]
"La stabilisation de la zone reste un combat"
Jean-François Copé, président de l'UMP, estime de son côté que la mort de deux journalistes de RFI au Mali confirmait "que la stabilisation de la zone sahélienne reste un combat".
Dans un communiqué, Jean-François Copé "exprime sa grande tristesse et sa profonde indignation à l'annonce de l'exécution lâche et barbare de deux journalistes de RFI, Ghislaine Dupont et Claude Verlon".
Le président de l'UMP "exprime sa compassion à leurs proches et souhaite que tout soit mis en oeuvre pour identifier et châtier les criminels qui se sont rendus coupables de cet acte odieux".
"Si l'opération Serval a permis d'entraver la menace immédiate de la chute de
Bamako, cet évènement tragique confirme que la stabilisation de la zone sahélienne reste un combat. Tous les acteurs politiques régionaux doivent accomplir les efforts nécessaires pour y parvenir", conclut-il.
"Consternation, révolte, tristesse"
De nombreuses personnalités politiques ont réagi à la mort des deux journalistes.
"Ce crime trahit la barbarie de ceux qui l'ont commis, comme il démontre l'idéologie fanatique et mortifère qui les habite. Il doit renforcer notre détermination a lutter contre toutes les formes de terrorisme qui menacent les valeurs fondamentales de l'homme. Au nombre de ces valeurs, la liberté de la presse, si chère a nos deux compatriotes décédés, doit être défendue en tout lieu et en tout temps. C'est ce que Paris continuera à faire pour honorer leur mémoire", a déclaré Bertrand Delanoë dans un communiqué.
Denis Baupin (EELV), Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) Rachida Dati (UMP), Valérie Pécresse (UMP) ansi que la compagne du président Valérie Trierweiler se sont exprimés sur Twitter.